"L'auteur pose un geste de survie. Non plus, selon la formule d'Adorno, comment écrire de la poésie, écrire tout court après Auschwitz, mais comment ex-crire, exister, se tenir dans l'être, dans le cri à l'ère d'un numérique généralisé, comment poser mots, images, souffles après Auschwitz, Tchernobyl, Fukushima, le clone Dolly."
"On verra moins en Mathias Richard l'enfant de Pierre Guyotat, des situationnistes, de Burroughs et ses cut-up, de Timothy Leary, de son Chaos et cyberculture, qu'un explorateur visionnaire qui vient après l'ère Gutenberg, après des siècles d'humanisme, après l'enlisement de la société du spectacle."
"Visionnaire en sa radiographie de l'état mental de la planète, Mathias Richard invente l'arme d’une linguistique comprimée."
"Ce livre est avant tout un éblouissant chant où tous les états matériels, spirituels de la langue sont explorés."
"À qui acceptera d'être déstabilisé par une germination textuelle inédite, le livre délivrera un choc absolu né de la densité de pensée et de langue que Mathias Richard libère au fil de son odyssée cosmique. Il trace très exactement ce que Deleuze et Guattari nomment des lignes de fuite."
"Livre d'une audace sans précédent, à l'écart de ce qui s'expérimente sous le label littérature."
"UNE NOUVELLE PRATIQUE DE LA LETTRE", article de Véronique Bergen, dans La Nouvelle Quinzaine littéraire n°1161 (16 novembre 2016) à propos de s y n - t . e x t de Mathias Richard
https://www.nouvelle-quinzaine-litteraire.fr/mode-lecture/une-nouvelle-pratique-de-la-lettre-1177
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire