Affichage des articles dont le libellé est vibrations. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est vibrations. Afficher tous les articles
dimanche 1 novembre 2020
mardi 9 juin 2015
performo(t)sonance by Kraums Notho
Tous les sons issus de cette improvisation proviennent
de la captation que fait Thomas Déjeammes avec un micro et sont
transformés sur le moment-même par Krunoslav Pticar à l'aide de pédales
et de samplers, diffusés par un système multivoie.
Engramme : n.m.-1907. Du grec en « dans » et gramma « trait, caractère, écriture ».Trace organique laissée dans le cerveau par un événement du passé individuel et qui serait le support matériel du souvenir.
Presque rien. Quelques grammes de pensées. Un souvenir. Un amas de souvenirs débris, de souvenirs présents, faisant trace et modelant la matière physique du cerveau. EN( )GRAMME. Des bouts d'essais s'entassant. De l'oubli, du mouvement, du retour, de la survivance, du symptôme, de l'inconscient.
La plupart des textes de cette pièce sonore existent déjà dans d'autres morceaux de Kraums Notho et sont modelés ici comme souvenirs qui travailleraient incessamment le corps.
Engramme : n.m.-1907. Du grec en « dans » et gramma « trait, caractère, écriture ».Trace organique laissée dans le cerveau par un événement du passé individuel et qui serait le support matériel du souvenir.
Presque rien. Quelques grammes de pensées. Un souvenir. Un amas de souvenirs débris, de souvenirs présents, faisant trace et modelant la matière physique du cerveau. EN( )GRAMME. Des bouts d'essais s'entassant. De l'oubli, du mouvement, du retour, de la survivance, du symptôme, de l'inconscient.
La plupart des textes de cette pièce sonore existent déjà dans d'autres morceaux de Kraums Notho et sont modelés ici comme souvenirs qui travailleraient incessamment le corps.
dimanche 1 juin 2014
Alyens Thug Mutant For Life!
Dans ma cellule d'isolement, le quartier est un q.h.s, je suis invendable intraitable le public ennemi number one, tellement mis a part et de coté qu'en tant qu'artiste et fils d'immigré et descendant de colonisé, cette mise au ban n'est que la preuve que je dois faire les choses bien, la dissonance, comme la misère de la promiscuité au milieu des polémique stérile et des dualités de toute façon brouille les piste et nous prive de sens, et dans ce chaos, peut importe qui mène la danse ou tartine les mots en cadence, je chéris cette indécence qui met mal a l'aise leurs privilèges et aussi vrai que je suis de ceux a qui on as promis la défaite, je la savoure comme ma souffrance que rien n’abrège et qui alimente ce désir ce besoin profond de clamer ma rage, je ne suis qu'un cri, qu'un malvenus dont le premier crime est d’être né, présumé coupable de tout juger et condamner, par l'avocat du diable, il n'est de dieu pour nous sauver, si ce n'est le souvenir vivant de nos sacrifice, la mémoire et notre dignité mise sans cesse a l'épreuve, comme pour offenser nos morts, mais la réalité a vite fait de reprendre le pas sur les illusion, après le réveil le constat d'horreur est total, et la terreur est comme un flambeau, quand l'on est dominer par les lâches, si la solitude semble être rude comme un coup de hache, c'est qu'il était temps de déterrer celle de la guerre, puisqu'il ont refuser de fumer le calumets de la paix, et organise des journée même anti-tabac, alors qu'il passe leur vie a nous mentir et sans cesse nous enfume, et si il crois que comme eux l'on a peur du tonnerre ou des nuage c'est que dans le fond ce n'est pas nous les vrai sauvages, parole d’Hermite qui ne renie pas sa propre bestialité, je suis un prédateur isolé, mais je n'ai de proie que le temps et la mort que je défie a la force du silence, mon enveloppe n'est pas la principale incarnation de mon êtres, elle n'est même qu'annexe, alors que certain parle de crise identitaire la mienne flirte avec l'infini, j'ai l'esprit ailleurs, indigène urbain, et futuriste primitif je suis et reste ce paradoxe que rien ne retient, j'avancerais même vers la fin sans peur, détaché et serein, avec l'enthousiasme même qu'on a quand on se prépare a vivre une nouvelle expérience, a la fin était le début et la vie est un éternel recommencement, je ne serait donc que l’intemporalité de la permanence d'un relativisme absolu, qui se réfléchit en vous au travers de votre peur de l'inconnu.
...
...
loin d’être pourtant anti-social, je finis par l’admettre, je ne suis pas sociable et je ne risque pas de le devenir dans les conditions actuelle, m’enfin l’ai-je jamais été en fait? … qui sait ?
...
...
en cette époque ou l’entre-soi fait loi, il ne reste guère plus que des aliénés dans les espace de liberté, l’étau se resserre dans le virtuel comme dans le réel, et a force de nous écraser de toute part, il faudra pas se plaindre quand l’explosion viendras vous éclabousser.
...
...
l’intolérance ne mérite pas d’être tolérée, j’ajouterais que si le racisme est une maladie le remède c’est aussi d’en parler et de confronter nos arguments pour mieux nous penser, et ne pas laisser passer l’injustice ou l’intolérance quand on la croise, il n’est pas si simple de la reconnaître, et ce n’est pas de la provocation de la combattre c’est aussi refuser de se rendre complice, m’enfin cela n’engage que moi bien sûr, et j’assume, car comme on dit c’est l’intention qui compte et je suis totalement désintéressé, car je sait que l’on ne tient debout que si l’on se serre les coudes, et que les division ne font qu’accélérer notre chutes a tous, au même titre que si tout a son importance rien en a vraiment, si ce n’est nous témoin impuissant d’un monde de mouvement perpétuel ou tout est sacré et rien ne l’est, m’enfin cela ne compte pas, car fort justement quand on s’aime on ne compte pas, qu’on se nomme Jean, ou Mohamed ou autres si tout est grave rien ne l’est, et a la fin on finis tous par s’en aller, et il est vrai qu’on a le choix de vivre sa vie dans le détachement ou en souffrant chaque instant, en nous brisant a chaque contrariété, pour tenter plus tard de recoller les morceaux, alors que même le verbe est liquide, et que tout ce qu’on peut faire c’est suivre le flux “and go with flow” comme un bateau ivres nos paroles s’envole parfois s’évapore ou même elle coule sans vraiment subir de pression si ce n’est celle de la gravité justement, mais malgré tout avec souplesse et légèreté, elle s’adapte au courant, pour rejoindre la mer puis l'océan qui comme l’amour lui même ne refuse aucune rivière … face a la sécheresse des coeur il ne reste qu’ a les inonder de joie ou même de tristesse et de humble mélancolie et d’humour piquant mais portant en lui la douceur que je vous souhaite de trouver dans vos rêves et sur ce je vous la souhaite belle et même plus encore excellente, c'te putain de vie, que vous soyez humanoïde ou pas, terrien ou bien même extra terrestre du reste cela ne regarde que vous, il parait que même les machines rêves ou du moins qu’elle le ferons un jour, puisse les nôtres a tous être encore divin et sublime, c’est bien la ma seule provocation et tout le mal que je nous souhaite car en soit ce qui nous définis le plus en tant qu’être humain, c’est notre sensibilité, soyons vivants, pourvu que cela chante et que cela danse et se décline dans des couleurs qu’on a même pas encore inventer, mais oui que diable pourvu que cela vibre a nous en faire chavirer …
il est des jours on l'on ravale ses mots, ou le coeur veut mourir, ou notre fardeau nous écrase, ou ce que nous sommes ne nous appartient plus, livré a l'autre et au circonstances que nous sommes, stupéfait de voir tout se liguer contre nous, s'en suit un état de mortification comme pétrifié, mais pourtant loin d'un état solide plus prés d'un gaz inodore notre condition comme notre bon sens s'évapore pour ne laisser qu' un amère souvenir, qu'une question, qu'un pourquoi est ce que je continue d'écrire malgré tout ça, de vomir des mots sans raison qui me livre un peu plus a la folie de ce monde, car encore une fois je suis aussi soumis a cet instinct de survie, de préservation qui me torture, couper en deux je ne suis plus rien, incapable de saisir le sens de toutes ces formes je m'enfonce vers le fond, vers le plat relief ou l'on écrit plus l'on crie en usant ses dernières force avant de s'éteindre a jamais, et même si je devais revenir de tout cela je hurlerais encore a la mort a la lune, a tout ce que je crois, je laisserais s'écouler mes doutes jusqu'à ce que l'ivresse m'étourdisse et que je perde conscience, si il est une revanche en ce monde c'est un esprit qui danse, jusqu'à tomber d'épuisement comme nourrissant l'espoir de ne plus avoir a se relever...
L’homme est fait pour rêver, c’est-à-dire pour combattre et non subir. Et surtout, l’homme est fait pour la poésie. Or, l’utopie est poétique. Et la poésie aura toujours raison contre le réalisme.
Miserere [ Jean-Christophe Grangé ]
« Les plus belles découvertes cesseraient de me plaire si je devais les garder pour moi. » Sénèque
“Every judgment teeters on the brink of error,” Leto explained. “To claim absolute knowledge is to become monstrous. Knowledge is an unending adventure at the edge of uncertainty.”
— Frank Herbert, Children of Dune
Cet espoir qui en soi est le seul contrôle sur notre propre haine la seule chose qui nous empêche de nous auto-dévorer, d'ailleurs tout les problèmes du monde se résume parfois a une histoire d'indigestion, mais cela, c'est une autre histoire, et je n'ai pas le temps de vous la raconter, je me dois de retourner a mon aventure a la recherche de la fugue et du fléau au royaume des devins ...
les idées sont portées par les vents et les grands esprit se rencontre en ce point précis cette 'exception cette synchronicité fruit d'un hasard qui n'existe pas ... d'ailleurs je crois que en fait c'est précisément ce qu'on appel un signe et il semblerait que l'univers a quelque chose a nous dire ....
Alyens thug mutant for life!, now is the future!!!
Selyan
dimanche 1 septembre 2013
Volodymyr Bilyk. This is visual poetry
The backstory of the series is in the aborted project of releasing Raymond Chandler novels. Pieces – which are font collages started as the illustrations. It was to be the blink into the characters mind. Then the project was shut down – but I was too much in this thing – almost obsessed. I was fulfilled by it and I had a need to exhaust it to the bottom.
The central idea is the collision of the dada-sensibility (mostly inspired by the collages of Kurt Schwitters, Hannah Hoch and Raoul Hausmann), the hard-boiled images (Raymond Chandler, Dashiel Hammett, James Cain, Jim Thompson) and the film noir atmosphere (Night of the Hunter, The Big Heat, Touch of Evil, Maltese Falcon). The link between them is Jean-Michel Basquat and his highly expressive, straight-to-the-point chaotic style. His compositional method is the most adequate for the purpose of recreating kaleidoscopical frenzy.
The reader (because the images are built with fonts which contains letter which got the forms of certain images or placed to look as the certain images) is like the private eye remembering his last job. Remembering that he looked for the thing long enough to be haunted by it, to become obsessed by it. All he can remember are this blinks and from the blinks he builds the backstory and the stories between the blinks.
jeudi 11 juillet 2013
dimanche 9 juin 2013
Machine H-1 : Peintures réactives [peinture à réaction]
Peintures non newtonienne, sonique, magnétique, toxique
La peinture réactive (ou peinture à réactions) mélange et confronte la matière-peinture à différents types de comportements et réactions chimiques, organiques, physiques.
La peinture (parfois plus une forme plastique entre peinture et sculpture) est traversée, rendue consubstantielle à différents phénomènes physiques, à des ondes sonores, à des flux magnétiques, à des fluides aux propriétés spécifiques, à des produits chimiques réactifs et toxiques.
Selon les cas, le résultat final d'une œuvre plastique de ce type est aléatoire, ou peut être dirigé.
Peinture toxique
Les peintures toxiques sont peintes, imprégnées d'acide et d'autres produits irrespirables (produits chimiques sélectionnés pour leur dangerosité, voire à usage militaire).
Les expositions publiques de ce type d'œuvre sont impossibles, sauf si le public consent à porter des masques à gaz et des tenues de protection.
Des variations imaginaires de ce concept, totalement déconseillées et de l'ordre du terrorisme pur, sont les peintures radio-actives (émanant de fortes radiations) et les peintures "guerre-bactériologiques" (grouillantes de germes et maladies).
Exemple de peinture à l'acide :
Peinture sonique
Après la création d'une matrice au sol, la toile est posée sur un caisson de basse.
Des ondes sonores de 50 à 120Hz sont imposées à la peinture, qui commence alors son déplacement.
Des exemples sont visibles ici (série intitulée "Abstraction sonique", et série intitulée "Ondes sonores") :
https://sites.google.com/site/hypsis7/turbulences
"Enthalpy", vidéo effectuée pendant une "Abstraction Sonique" ou "Peinture sonore"
Peinture magnétique
A l'aide d'électro-aimants industriels (diamètre : 40cm) imposer une onde magnétique sur une peinture chargée en fer (ou magnésium), puis fixer les turbulences grâce à une résine ou un spray.
Des exemples sont visibles ici (série intitulée “Ondes magnétiques”) :
Peinture avec fluide non newtonien + vibrations 30Hz
Mélanger la peinture avec de l'eau et de la maïzena (fécule de maïs)*, puis placer le tout sur l'enceinte vibrante d'un haut-parleur diffusant des sons autour de 30Hz : la matière prend alors d'étranges formes évoquant la vie organique, elles se créent et volent en l'air en interaction avec la vibration.
Le but ultime est d'arriver à stabiliser ce processus pour produire des toiles (placées à l'horizontale) proliférantes de formes non newtoniennes toujours changeantes.
Vidéo de référence : http://youtu.be/3zoTKXXNQIU
Certains rêvent d'appliquer cette méthode à grande échelle, pour voir des formes à taille humaine s'élever dans l'air, et soudain partir dans une direction inattendue, quitte à surprendre voire salir leurs "spectateurs" !
_____
* Le mélange de fécule de maïs avec un peu d'eau est en effet un bon exemple de fluide non newtonien, rhéoépaississant, c'est-à-dire qu'il se comporte comme un liquide peu visqueux quand on le manipule lentement (excitation à basse fréquence), mais qu'il devient très visqueux presque solide quand on le manipule rapidement (excitation à haute fréquence), au point qu'on puisse, par exemple, marcher sur une piscine remplie de ce mélange, à condition d'aller assez vite (mélange dans lequel un pied entre aisément à faible vitesse, mais ne peut rentrer à grande vitesse).
[Créateur machine : Hypsis]
Inscription à :
Articles (Atom)