oh ces phoutes de merde
quils ditent scientiphiques
justedées putains de trucrates
dl’Esclavachine
Le fossé est impressionnant entre les gens.
Dernièrement, t’as rencontré un artiste sympathique et bronzé qui prend des bains de mer les matins et
participe à des résidences à l’étranger.
Il n’a pas l’air de s’inquiéter.
Perso, t’as l’impression que tout crame depuis de nombreuses années
et t’as donc essayé d’agir un peu de façon assez vaine il faut bien le dire.
Ca doit être un problème de (dé)génération.
Le gars est à la retraite il s’en bat grave les couilles.
C’est normal.
Il fait bronzette et doit boire du roiboos bio comme toi depuis que t’as arrêté le café vieux hibou.
Il y a certains écologistes qui te font la morale pour des broutilles,
alors qu’ils font le tour de la planète régulièrement et vont faire du tourisme équitable
en Afrique. Et participent à des runnings solidaires contre le cancer.
Alors que toi t’es un conard qui s’est agité pendant quelques années dans des manifs certes stériles.
Yeux qui piquent, air irrespirable en raison du gaz, gens la tête bloquée sur le bitume, quel clown.
Tu végètes à présent débilos dans ton hlm de merde pendant qu’ils font tourner à qui mieux-mieux la machine infernale.
C’est vraiment incompréhensible pour toi
l’abruti
que les gens continuent à participer à ce cirque.
Tu trouves rien à redire.
Impossible qu’il comprennent quoi que ce soit.
T’as pas vraiment envie d’argumenter
vu que t’es déjà un ovni, un cassos cramé de plus qui baragouine.
Personne ne bouge.
Chacun dans son petit confort.
Toi le premier.
Faudrait que tu trouves un travail, un vrai métier,
que tu fasses carrière par exemple.
Que tu t’occupes quoi, merde !
C’est qui qui va encore payer les plaquettes ?
Mais t’es coincé sur Internet glandu.
C’est grave. Kéblo. A mangé du clavier les yeux éclatés.
Tu devrais te faire diagnostiquer on t’a dit.
Apparemment t’aurais des droits.
Peut-être un truc à gratter ?
Mais comme le problème c’est que t’es qu’un con à mon avis juste con t’auras droit à rien.
8 balles de l’heure à la plonge, les poubelles, un champ d’oignon.
Feignasse.
Opérateur de saisie pour une banque ?
Serveur de vin blanc pour jazzmen subventionnés pour bain moussant ?
Et puis Monarc va bien s’occuper un jour comme il le fait déjà des malades, des débiles, des profs, des gens de culture,
des soignants, des jeunes, des vieux, des ploucs, des poèèèèèèèèèètes, aaaaaaaaartistttes et des assistés, non ?
Mais non, ils ne sentent toujours pas concernés jamais au grand jamais concernés par le merdier ambiant.
Ca continue encore et encore chacun dans sa petite tête.
Les gens se chient dessus ou tout simplement n’en ont rien à foutre.
Y’a pas de train, y’a pas de médecin, vaccine toi, travaille, consomme, ferme là, ça roule tout baigne.
Pain industriel, pétrole et circus, on va pas chipoter sur des milieux de morts quand même.
On va pas mégotter du temps qu’aime pâté.
On est tout de même pépouze avec une papillote pralinée en terrasse,
au soleil,
20 degrés en décembre,
décontracté du gland,
avec avoir maté hier Endor ou une video sur les paradis fiscaux puisque tu te distrais ou t’informes
dans un fucking canapé.
T’arrive pas trop à comprendre ce qui peut relier les uns avec les autres.
La bêtise sans doute ? La constante. La divine !
Tu vis dans un département où les deux des putés sont aux rênes.
Tout va pour le mieux.
On est juste là à tourner en rond sur ce foirail, bout de terrain perdu dans l’espace.
Tu rigoles bien, sinon, c’est bien là l’essentiel,
en tapotant sur le bel ordi fabriqué en Chine
qu’on t’as gentiment prêté,
en ce joli samedi après-midi.
Le 7 décembre 2022, l'album Chansons, de Mathias Richard, paraît.
En panne. Putain. Et plus de fric. Les enculés. Il n'y a plus qu'une solution : c'est le métro et...écrire sans s'arrêter en mode automatique, écrire pour passer les nerfs parce que je vais pas aller trucider quelqu'un, ce coup-là.
Ces paroles-là je les prononce dix fois par jour mais là c'est sérieux, je n'en peux plus, le sort s'acharne, il y a un truc, passe-moi les clés, je vais démarrer, je vais m'acheter un ticket, me dépêcher, assez perdu de temps, dans une prison programmée avec télé pour fenêtre, la drogue pour l'intimité et le silence cosmique pour communication. Le trajet est long. J'arrive enfin. Les voisins ne parlent pas dans la rue. Pas même un bonjour.
Ils sont tous cons ou c'est moi. Le problème. Le virus. Le révélateur.
Le livre À travers tout de Mathias Richard (entre autres fondateur du mutantisme) paraît aux éditions Tinbad.
Informations sur le livre et dans quelles librairies le trouver :
https://www.pollen-difpop.com/A-100241-a-travers-tout.aspx#.YydSOnZBxPZ
Le livre est commandable sur la plupart des sites de vente de produits culturels en ligne.
(Exemple : https://www.lalibrairie.com/livres/a-travers-tout_0-8735126_9791096415472.html).
Et dans toute librairie francophone du monde.
Toujours pour le Maigre avorté, ce machin.
Ta cuirasse chancelante germe et ressasse
S'éreinte et se déchire
Malaise du sang noir des saute-ruisseau qui s'ulcèrent et se crevassent
Blessée
Déformée
Ta moelle malodorante se coupe et s'avilit
Tu es l'ivrogne-vipère dépravée
La resucée mal-avortée d'un troupeau de chiennes abruties
L'homme-cloporte qui s'écoule près d'un pylône de sueur écoeurée
Fouille tes entrailles
Souille tes croûtes
Et que l'écorce s'éclaire
Floraison de l'absurde aberration
Caricature abâtardie de la foire universelle
Que tes piqûres griffent les foies
Deviens le hachis inflammable et l'astrale quintessence diluée
Dans un vase tes abjects lambeaux macèrent
Tu mâchouilles des bouts d'abysses carcérales
Avec tes excrétions grelottantes tu n'es qu'un fantoche fugitif
Une stagnante brume cendreuse
Noirâtre
Tu t'écrases et tu crisses encerclé par le fatras des crachats des sangsues irritées
Les invisibles dards des animaux-humains fangeux et rouillés
Chiure pestilentielle des cieux pustuleux
Cisèle ta torpeur flasque
Méduse le délabrement des spirales du monde
Pulvérise le putrescent écarquillé
Sillonne les envoûtements dévastateurs
Enfièvre de martèlement gutturaux les lueurs écarlates qui dégorge du pandémonium équarri
Vermine assourdissante
Tu carbonises les débris
Tu es la grêle et la friche
Tu gicles et crépites dans l'ondoyante ruine
Tu fourmilles à l'intérieur du cratère squameux
Tu es la percée de gangrène mue par le purulent d'une nébuleuse
Tu es le point d'orgue nauséeux
De ta mâchoire miaulent des étincelles de spasmes et de pulpe
Tu es la pulsation suturée qui se paralyse et se consume
Un enlisement
Une craquelure qui déraille et se convulse
Un parasite qui fermente dans des décombres expectorés
L'émiettement qui bouillonne et ampute des crânes au crépuscule
Tes artères phosphorescentes dévore l'obscurité des scléroses
Tu es la goule à l'abdomen harassé et hérissée
Dont chacun des os et des nerfs gémis
Projectiles tentant vainement
De détruire cette stupide et éphémère prison-poison à ciel ouvert.
Ce bidule date de 2016. j'ai retrouvé ça dans mes mails, je l'avais envoyé pour un recueil collec'tif avorté intitulé Le Maigre et propulsé par le Kamarad Ziebertov.
...
La revue FREEING (Our Bodies) (dirigée par Yoann Sarrat et diffusée par Les presses du réel) va consacrer un numéro à Mathias Richard cette année.
Si jamais vous souhaitez participer à ce n° "spécial Mathias Richard" en écrivant sur un aspect de son travail (écrits, performances, musique, théorie...), veuillez contacter Yoann Sarrat à l'adresse suivante : yoannsarrat@free.fr
Mercredi 8 - dimanche 12 juin (place Saint-Sulpice, Paris 6e) : les livres (+ CD) Caméras Animales sont présents au Marché de la poésie, sur le stand du cipM (n°110-114)
https://www.marche-poesie.com/participants-du-39e-marche-de-la-poesie/entry/7697/
Venez :)
Voici la couverture du livre À travers tout de Mathias Richard (livre ultra-mutantiste) à paraître aux éditions Tinbad le 15 septembre 2022.
Les 12, 19 et 26 mars 2022, au Centre international de poésie Marseille (cipM), fut donné un cycle d'ateliers pour adulte intitulé "Machines de création, machines sensibles".
http://cipmarseille.fr/evenement_fiche.php?id=1376
Ce fut l'occasion d'un partage, d'une initiation et application des machines mutantistes auprès d'un nouveau public.
A continuer ! :)
polype polymorve content forain
pourri-disciplinaire
dit plombé
dégagé
à poil
itique
mou dur
habitant les fissures d'une cabane en ruines
...
Participe aux dérèglements
Et à la déformation
deviens cockroach de poètes !
Tu n'aimes pas te mettre en avant
Tu es introverti, timide, discret
Tu es un mauvais vendeur
Tu n'as pas le bon réseau,
Bonne nouvelle
c'est sans grande importance
on s’en bat grave les balecs
Démerde-toi
CE QU'ON VA VOIR :
TA VÉRITÉ VRAIE
Comprendre ce qui te rend fuyant aux yeux crevés et têtes de pêches pourries
TON INVISIBILITÉ
Mettre en place des champs magnétiques pour ne pas te faire écrasé par les connards de tous bords
TES VENTS
Ton système de cafard libre pour générer de nombreux vents
la boue tique
Tu en as peut-être déjà strictement rien à foutre,
de passer pour la personne qui est :
Incapable de prouver aux autres que tu peux vivre de ton talent
Incapable d'assurer pour tes proches
Incapable de faire mentir ceux qui ne croyaient pas en toi
Incapable d' arriver à cette vie de cafard dont tu areva
Clairement,
tu n'as pas de regrets
tu ne le sais peut-être pas encore
mais :
Tu es un cancrelat
Tu respires par le corps !!
Un insecte, un charognard,
De ceux qui font avec cette vie déglinguée, terrés dans leur trou à rat, et qui continueront à manger des
miettes, restes de petits fours, cheveux, morceaux d'ongles, gouttes de graisse, tickets de caisse, vêtements sales, moumoutes, poils d'animaux, insectes morts,
et autres bouts de mots et de papelards abandonnés.
Le 11 septembre 2021, les éditions Caméras Animales ont été invitées par le cipM (Centre international de poésie Marseille) pour une présentation des éditions et des lectures.
Lien de l'événement : http://cipmarseille.fr/evenement_fiche.php?id=1414
Lecture Annabelle Verhaeghe
Treize ans après la parution de son livre précédent, François Richard revient et publie VIE : L’asquatation aux éditions du Grand Souffle.
Informations ici : https://hefer.jimdofree.com/
Et là : http://www.legrandsouffle.com/site-edition/edition
Publication masquée. Sans nom1. Poésie Porcherie. Poésie de l’égo dégueu dégouline de l’arrière-train de nos deux. pue et zi pitres. Arrière garde Pute. Pu Uzi glauque en stock. Peaux & Cie. Roue avant des sans dents. Marée noire colère embarquée. Caméra go po easy. Mazout renvoyez les cadavres dégorgés. Grille dégoût pas d’objet. Just Abject. Automatiquement supprimés. Ta gueulex jetez je. merci joe la muqueuse. j’aime purger. txt.exe. Peste carte bleue. Vidange la vie. Soupe dégueu à la mousse. Toutes les saveurs de la rage à la ville. Asphyxia asphyxie. Orage de Pense-bête : poing commun faux ennemis. L’amorgue du pouvoir. mots moisis parquer les ploucs pourceaux vermine. Chancre soie de l’encre. Puke cavi’art c’est le néon. Infestons grêles. gou ver ment mol’art. Ici la sous-race des sous rats pelés. la classe crasse langue cassée qui sourit aux langues os gelés. Orgue brûlé à la morgue. Ring’art. Musique pendant le naufrage. chœur rauque. Restes indignes. pus pousse gonfle. Epais indociles. Gloriole coupes rases étendues tondues c’est vengeance. c’est larves venir. Vers et les mouches moches. engeance sur nos tronches. Lait la morve. la rose tousse pourri. Miaou miteux d’rathur mambo. Noircisserie du fond de la crasse. Aboyez pigeons. applaudit avec ses moignons. Compost Poésie. Êtes-vous un robot ? Oui ! A fire hydrant. Résidus en résidence. Résignés. Surveillée la résidence. Saignés à résidence. Tape sur Ehpad tes restes au sol qui grésillent. Demande de bouses. Culture essentielle du topinambour. Pêches à la patate. Patator prêche en sandales. Résine vandale versus famas. La vie la pute je suce. culture crevée. Mes jours zen l’électricité. Black boucles. S’asseoir tout simplement. sans rien attendre. sous la Douche Froide. Pantoufles paire de baffes beretta. Gingembre carnaval d’effluves. Fontaine polluée. Tronche de centrale nucléaire. Patins à glace vodka 3 décrets dans la nuit kalach. Sieste trouée dans les orties. Hallucinations chicongunya sous la luna. Cocktail trepan bien covidviales. Sales défaites des nés pâles. Molotov un peu de d’essence. Pourquoi vous ne voulez pas voir la joie des crânes canon. Remorquage 24h/24 la queue sciée. Les mots jutes des mollaires. Soyeuse geôle. Silence Cage départ. Échange Jesus contre 1500 hyènes. Jeu drapstroués un trav au réveil et des alvéoles. Pq cv en pcv wc. L’oeil attentif est un extincteur. Critical condition en ré dièse. Expansion des espaces. Tueuses d’incestutions en scierie. Série de Mc Dior requisitionné. Big bio Joël U-bot. Roter ses rtt sur le radeau. Éleveur de poussières industrielles et de lances roquettes à froufou. Mascherabe de la mouise. Pohlm aux navets. VNRF la revue. Harpon Marx Disponible en boutique. Surcycler Paté Smith en sulfatant les méduses. Attention râtures fraîches. HantoTofuLogie. 1202 début du siège de Tzara. Stalin Doner. Rainbow bloc & mathematics. Wesh pépères cap au raz. Orgue à chats gravure anonyme. 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J’ai eu froid, puis j’ai eu chaud. Puis j’ai eu froid. Puis j’ai eu chaud. J’ai eu froid, puis j’ai eu chaud. J’ai eu froid puis j’ai eu chaud, j’ai eu froid puis j’ai eu chaud, j’ai eu froid j’ai eu froid j’ai eu froid. J’ai eu froid, j’ai eu froid froid froid froid, j’ai eu froid, j’ai eu froid, j’ai eu très très très froid. J’ai eu froid, j’ai eu froid, j’ai eu grandement froid, j’ai eu vraiment froid, j’ai eu très froid, j’ai eu froid, j’ai eu froid j’ai eu froid j’ai eu froid. J’ai eu froid… J’ai eu froid… J’ai eu foi… J’ai eu froid froid froid froid froid froid froid… Puis j’ai eu chaud. J’ai eu chaud. J’ai eu chaud. J’ai eu cho. J’ai eu cho cho. J’ai eu très chaud. J’ai eu très très chaud. J’ai eu cho, cho, cho, cho, cho-cho-cho-cho-cho-sh… Cho-cho, cho-cho, cho-cho, cho-cho, cho-cho. J’ai eu cho, j’ai eu cho, j’ai eu chaud, j’ai eu très très très chaud. J’ai eu très chaud. J’ai eu très chaud. J’ai eu très chaud. J’ai eu extrêmement chaud. J’ai eu très chaud. J’ai eu très très chaud. J’ai eu trop chaud. J’ai eu chaud… J’ai eu chaud…… J’ai eu chaud… J’ai eu chaud… J’ai eu chaud chaud j’ai eu si chaud. J’ai eu extrêmement chaud, j’ai eu grandement chaud. J’ai eu chaud, chaud, chaud. Chaud, chaud, chaud.
Puis, j’ai eu une température normale, une température à laquelle je n’ai pas fait attention. Brièvement, je n’ai eu ni chaud, ni froid. J’étais bien. J’étais bien. J’avais pas trop chaud, j’avais pas trop froid. J’étais bien. J’étais bien…
Le making-of du livre 2020 : L'année où le cyberpunk a percé de Mathias Richard paraît sur le site D-Fiction (15 décembre 2021) sous le titre "CYBERNÉTIQUE ET CONFINEMENT : POUR UNE POÉSCIENCE DE LA SURVIE".
Lien : https://d-fiction.fr/cybernetique-et-confinement-pour-une-poescience-de-la-survie/