Affichage des articles dont le libellé est selyan. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est selyan. Afficher tous les articles

mardi 10 juin 2014

Tailler La Zone

Tailler La Zone

Il semble que l'enfant seul, soit devenu un adulte solitaire, qui n'a ni sa place au ciel, ni sur terre, isolement exclusion précarité, ne sont que des étiquettes comme si la souffrance était un produit de plus sur le marché de la misère, comme si la vie avait un prix, comme si la théorie et les idées pouvaient tout changer dans l'immédiat, comme si nous pouvions être sauvés alors, que l'on regarde la faiblesse et toute forme de vulnérabilité avec dégoût et répulsion, comme si nous étions immortels, comme si c'était toujours les mêmes qui devaient assumer la charge, entretenir la relation, alors même que l'on est incapable de prendre soin de soi-même plus rien n'est possible, s'il n'est personne pour nous tendre la main on crève en silence, avec ce sentiment malsain que quoi que l'on fasse de toutes les façons le diable et l'avarice mènent la danse, sur cette mélodie qui n'a rien de douce, car ce n'est rien d'autre que du bruit, pas de la musique mais nos cris de douleur et le chant de nos souffrances communes et partagées, en ce monde où les gens la plupart du temps se soumettent parce qu'il est vrai qu'il n'y a rien de pire que d’être ignoré, que de laisser l'autre indifférent, et qu'on préfère se subir que d’être livré au silence et au néant, que pour ma part je préfère même si c'est un peu mourir, ce sera toujours mieux que de faire semblant de vivre, la mort dans l'âme en proie au tout-venant...
autant dire que personne n'en est jamais revenu...


lundi 9 juin 2014

Monstre Froid et Chaude Colère

Il me semble que le peu de droits qu'il nous reste on les a gagnés à l'aide de la non-violence, pourtant cette idée ne veut pas faire son chemin ...
féminisme, racisme, anti-capitalisme, bref que d’énergie dépensée inutilement, surtout quand dans ces combats on ne met pas la violence au centre de tout, et bien entendu rien n'est plus violent que la précarité, et la pauvreté, mais ce combat-là, c'est celui qui refroidit les plus chauds des militants, en disant ça je pense à ce député qui nous dit une bonne fessée n'a jamais fait de mal à personne, suivi d'un regardez j'y ai survécu, alors que justement son opinion en la matière est la preuve des dégâts que ça a sur sa vision du monde, de l'ordre et de la morale, en ce sens on autorise les parents à utiliser la violence comme mode d’éducation, et bravo d'avoir voulu le débat, qui de fait en dit long sur notre société, mais on ne le répétera jamais assez, si on en arrive à devoir user de la force c'est qu'il est trop tard et qu'on a foiré un truc dans l’éducation, qui va s'amplifier avec les années pour créer des déviances, et des comportement comme des opinions extrêmes.. et si vous ne voyez pas de liens avec ce côté ambigu d'interdire dans la loi toute forme de violence, sauf quand elle est le fait de l'autorité, que dire? celle de la société ou des parents peu importe car en vérité c'est lié, et comme bien d'autre chose en démocratie ou l'on est censé gérer les conflits par le dialogue et le débat, la violence n'a sa place sous aucune forme, et en réalité je parle de violence mais il s'agit là de barbarie, car au-delà de toute idée politique, c'est juste une question de bon sens de ne jamais lever la main sur plus faible que soi,....

ceci dit, il y a toujours un mais, ...


Il y a un débat que j'ai eu tout au long de ma vie avec différentes personne, en gros, on devrait être toujours calme et serein en tout circonstance, et cela conduit à confondre et à mettre sur le même plan une forme de violence verbale avec toutes les autres formes de violences, et donc à lui enlever sa légitimité, et la subtilité là-dedans c'est que la violence verbale est souvent attribuée au ton employé, non pas, au contenu, alors que très froidement et dans le plus grand calme certains sont capables de vous dire en face les pires horreurs.

D'ailleurs il y a une confusion sur le plan émotionnel, car il suffit d’être un peu exalté de parler fort, pour que les gens pensent que vous êtes en colère, et en général le fait qu'on vous dise en colère alors que vous ne l’êtes pas a cet effet immédiat de faire naître cette colère, car votre désir d’être compris de plus de compréhension passe pour de l’agressivité, ce qui vous prive de tout moyen de défense.
Si en temps normal, on doit de toutes les façons canaliser la colère et la haine, même quand elle n'a pas de vraie raison d’être, alors quand on subit l'injustice, et qu'on la réprime elle explose de la pire manière, elle déborde littéralement, et ceux qui ont tendance à trouver cela malsain en fait, voient cela ainsi parce qu'ils s'interdisent ces débordements qui se produisent autrement et dans d'autres proportions bien plus destructrices, puisque qu'ils censurent la parole de l'autre et la réduisent au silence...
D'ailleurs la colère n'est rien d'autre que la seule forme de dialogue possible quand la parole et la langue devient impuissante, quand on est ni écouté ni entendu, la colère est une façon pour nous de prendre acte de cette situation et de la graver dans notre mémoire, c'est une fin de non recevoir, et peu importe ce qu'on va dire quand vient le ton et la musique de la colère, si on le dit c'est pour ne pas mourir.
On dit que l'ignorance tue, je ne crois pas, je crois que le fait qu'on nous ignore nous tue, que l'on soit dans le déni de notre souffrance aussi, ou que l'on ne nous donne pas la considération qui nous est du, qu'on nie notre existence, et la notre instinct de survie reprend le dessus, et si il n'arrive pas a s'affirmer alors s’opère une forme d'autodestruction, ou pire des déviance comme un sadisme inconscient et une perversion pas seulement narcissique mais systémique et sociale.
Dieu en fait est un mort-vivant, dirais l'autre si il vivais encore de notre temps, si vous rencontrez le bouddha tuez le aurais-ajouter car dans tout nos état d'âmes on n'est en quête de lumière et de chaleur, car l'état naturel est celui de l'urgence de la tragédie et du drame, c'est en cela que réside notre humanité, dans la chaleur des corps et leur friction, quand l'état justement n'as pas encore fait d'eux ces monstre froids, c'est peut être pour cela qu'il suffit de briser la glace, ou même de la fissurer pour laisser échapper la bête, celle qui ne feras qu'une bouchée de nos doutes, car si les prédateur sont conforté par la quantité innombrable de proie, ce n'est bien souvent que pour mieux oublier que il est lui même la proie du temps, et quand celui ci se fait mauvais, et que l'orage gronde, on ne demande pas au tonnerre et a la foudre de cesser, au contraire l'on devrais célébrer cela comme l'instant ou l'univers nous rappel comme nous sommes soumis aux éléments a notre environnement, comme il fait partie de nous, en réalité la colère comme la tempête est aussi un signe du destin au sens ou elle est toujours proche du divin et de l'absolu elle est aussi un excellente moyen de faire table rase et de repartir sur de nouvelles base, et de enfin comprendre que la colère n'est pas une expression d'elle même, elle est en elle même l'affirmation du fait qu'une vie est en danger, et que notre harmonie l'est aussi de ce fait, si les gens ne se sente concerné par rien et se moque de la misère, comment s'épanouir a coté d'eux, d'un sens la colère la rage ne peut être que saine alors que par opposition son absence elle est plutôt malsaine, car dans un corps "saint" au sens de saint d’esprit, elle est un marqueur dans nos relations. Quand elle ne peut être dépasser, des trauma bien plus profond s'encre dans l’être profondément, autant dire que l'on ne devrais jamais poser cette question du pourquoi les gens se suicide, car on connais pertinemment la réponse, c'est tout simplement que s'interdisant justement la colère et a ne pas avoir appris a justement la dominer, comme a ne pas se laisser guider par elle, est déjà une forme de suicide, et le signe d'un profond désespoir.
Mon propos ici se résume à une image simple que je trouve universelle et qui m'a toujours remué l'âme, celle d'un parent qui gronde et brutalise un enfants turbulent et qui voyant après la correction ce dernier se mettre a pleurer et gémir lui intimer l'ordre de souffrir en silence, mon effroi a toujours été face a cela d'autant plus grand que c'est le moment flagrant ou l'on apprend a un enfant ce qu'est la cruauté, je pourrais dire o rage o désespoir, et comme le monde est cruel, mais non je ne le dirais pas car justement si le monde est cruel, c'est que la cruauté est admise par la norme, et si la colère et la rage puise ses raison quelque part c'est justement dans cette cruauté qui même si on en est capable soi-même nous met dans tous nos états quand on la subit, mais le pire de ces état, est le plus froid des monstres froids, face auquel ne se dressent que des armées de mutants en chaleur...


Chacun crache son feu sacré, à choisir personne n'a envie en vérité d’être le chevalier, ou la princesse, c'est vachement plus cool d’être un dragon ...




« Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n'est pas chez nous mes frères, chez nous il y a des Etats.
Etat, qu'est-ce que cela ? Allons ! ouvrez vos oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples. 
L'Etat, c'est le plus froid de tous les monstres froids. Il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « moi l'Etat, je suis le peuple ». 
C'est un mensonge ! Ils étaient des créateurs ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un Etat : ils suspendent au-dessus d'eux un glaive et cent appétits.
Partout où il y a encore du peuple, il ne comprend pas l'Etat et il le déteste comme le mauvais œil et une dérogation aux coutumes et aux lois. »
Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra

I am not responsible for your feelings. I am responsible for making my life better for me and for the people who are similarly oppressed. I give no shits how recognizing your complicity in an oppressive system makes you feel, and I don't have to. No one gives a shit about how it makes me feel when I am told that things would get better if I just "asked nicely". You don't think I've tried that? The reason I'm angry is that I tried playing by your rules of niceness, and you ignored me.
http://youarenotyou.tumblr.com/post/20610419935/this-is-a-post-about-tone-policing
http://tooyoungforthelivingdead.tumblr.com/called-out

samedi 7 juin 2014

No it's not!


Le vrai du faux

Quand on dit que la mémoire c'est l'art d'oublier moi je me débrouille pas mal du coup j'apprend tout les jour et ne retient que le nécessaire mais pour en arriver la il m'as fallu déchirer ma mémoire et il me faudra mourir encore pour renaître a de nouveaux savoir car seul le fait d'apprendre justifie le fait de vivre comme si l'on était éternel sans oublier que la bêtise elle aussi est infini ...


j'aime a dire que la beauté la poésie et c'est valable pour bien des chose d'ailleurs, si l'on en a pas en soi, nous n'en verrons nul part, m'enfin je ne pense pas que ce soit un hasard si on en arrive a avoir un point de vue en marge c'est aussi qu'on est en marge et qu'on a ce recul qu'il est si difficile d'avoir justement quand on a une vie de soumission et d'attachement, parole de pauvre dans le fond si je peu tout donner c'est que je n'ai plus rien a perdre si ce n'est ma vie que je ne vois pas comme une propriété mais comme une entité éphémère qui est bien au delà du dicible comme cela est le cas pour chacun d'entre nous, d'autre part d'une certaine façon le futur l'avenir, pour moi c'est maintenant et si tu te tais tu meurs si tu parle aussi, alors je parle,j'écrit dessine et use de diverse moyen d'expression pour laisser sortir l’excédent et trouver une paix et une sérénité tout en encourageant autrui a s'exprimer aussi car la pensée a mon sens se fait dans la bouche et si beaucoup parmi nous ne s'exprime pas c'est qu'il on peur d’affronter ce qu'il sont vraiment c.a.d un mystère pour eux même ...


A chercher la lumière on en devient obscur comme l'ombre de nous même qui grimace et se joue de nous quand on lui tourne le dos sans inventer de nouveaux mots le langage devient un handicap une nature morte qui nous rattrape et nous met au pied du mur de ces concept abstrait qui façonne le monde en une image dans une autre un visage un symbole une métaphore éphémère du vivant ...


Comment critiquer le mensonge, alors que nos vies en son plein, on ment même sur nos état d'âme et prétend souvent que tout vas bien, alors qu'il n'en est rien, et pour oublier ses mensonge on a vite fait de se perdre dans une fiction qui par définition est encore un mensonge de plus, peut être le seul d'ailleurs qui nous préserve du fait qu'a un moment ou a un autre si notre désir de vérité repre
nd le dessus, on découvre que si les gens sombre si facilement dans la négativité, la haine et la cruauté, c'est que il n'y a que dans la douleur que prend tout son sens l'authenticité le vrai, le réel ... d’ailleurs que fait on pour être sur qu'on est pas en train de rêver on se pince, et c'est la une preuve que l'objectivité est une forme de violence qui retrouve une forme de subjectivité d'ailleurs quand cette violence se retourne contre nous même.

je dit vague et vogue ma galère dans mon flou artistique ou pas je ne marche plus au pas et le temps m'as pris de vivre comme je l'entend au risque de froisser ceux qui reste sourd tant ils sont pressé tant il sont distrait et ne vois plus l’essentiel car tant qu'on ne peut pas arrêté le temps rien ne sert de courir car il finit toujours par nous rattraper parole de râleur a l'heure toujours en retard au rdv raté!


vendredi 6 juin 2014

Foncièrement?


je n'ai jamais voulu croire que les gens était foncièrement mauvais, et ce qui m'as renforcer dans cette croyance, c'est tout les cliché et préjugé que j'ai du et que je dois encore affronter, même si le plus récurent j'avoue j'y réfléchit encore, n'est qu'un rejet de la différence, et si cela s'est exprimé par de la méchanceté gratuite, et ce on ne t'aime pas légendaire et surtout ce, tu ne mérite pas de vivre, j'ai vite compris que moi qui n'avais pas que ça a faire a me poser des question sur ma légitimité a étre tant je me débattais pour survivre physiquement et mentalement , n'avais aucune raison de me sentir concerné par cela, et qu'en fait cette haine de l'autre chez les mesquin est une haine d'eux même, une expression du doute face a la légitimité de leur existence, et malgré que j'ai été plus pauvre et moins bien chanceux face a la fatalité j'ai toujours pu constater la rage et le mépris que faisait naître chez certain mon assurance, bref je ne suis pas de ses prophète de la joie et du positivisme mais il est vrai que face au critique injuste et infondée la seule réponse qu'on puisse apporté c'est le rire est l'absurde, la vie après tout n'est elle pas absurde par sa complexité ? ...


 je n'ai pas eu besoin de la morale religieuse pour avoir conscience que la souffrance des autres est notre, même si on l'ignore, et notre cruauté est par définition le chemin de l'enfer, celui qui nous interdit le bonheur ... et pourtant je suis de ceux qui ose croire qu'il suffirait d'un peu d'attention de considération pour changer une vie, et pour en sauver de nombreuse, mais pour cela il faut sortir de la compétition permanente et de la confrontation il faut retrouver des intérêt commun, et si il en est un au centre de tout il est humain, 




alors que nos peur sont irrationnelle, il ne suffit pas de tendre la main pour se faire arracher le bras surtout si ceux vers qui elle est tendue n'en ont jamais vu se lever sur eux que pour les malmené, nous ne sommes pas victimes de nous même seulement et des autres mais aussi de nos trauma, de ces reflex conditionner par la terreur parfois et même souvent, comme si cet amour absent de notre conscient finissait par habiter notre inconscient, et que sauvage comme il est il ne se laissait plus apprivoisé, m'enfin rien n'est jamais définitif sauf la mort, et la patience fait des miracle pour peu qu'on ose qu'on essaye, seul ceux qui n'ont plus rien a perdre le savent car ils ont déja tout tenter, non personne n'est foncièrement mauvais mais tout le monde n'est pas pret a affronter le pire, pourtant il faut dire, que l'urgence et la nécessité du chaos sont la seule chose qui nous ramène a la raison, ou pourquoi croyez vous que le monde entier fantasme sur l'apocalypse depuis la nuit des temps, car bien souvent il faut faire table rase pour aller de l'avant, ...



 tout guerrier et chasseur sait que la conscience n'est accrue que quand le danger est permanent, non personne n'est mauvais foncièrement, mais chacun fait ce que lui dicte son instinct pour donner un sens a sa vie, ce qui encore une fois est un non sens pas que la vie n'en ai pas de sens bien au contraire, tout en elle en est plein, et infini et nous sommes soumis a sa hiérarchie, et ce qui domine c'est la notion de lien, de connexion avec notre environnement, ainsi une société de gens foncièrement bon et bienveillant ne serait pas l'exception de l'excellence ce qui est le cas aujourd'hui, et l'as été souvent au long de l'histoire, si un système est foncièrement mauvais ce qui y naîtra de bon sera forcément cette exception qui confirme ou infirme la règle, en résumé la société fabrique les voyous et les génies et cela en fonction du degré de justice sociale et d'éducation, et quand elle stigmatise tout les comportement déviant sans se remettre en question et évaluer son degré de responsabilité dans ces comportement alors elle est dans le déni, le même qu'on retrouveras chez chaque couche de la société, car tout le monde connais l’adage, pourquoi lui et pas moi?....  



le problème bien trop souvent c'est que la réponse qu'on apporte a cette question posée bien entendu par toutes les minorité de défavorisé et victime d'exclusion en tout genre, oui la réponse est une condamnation, au nom de quoi allez savoir, d'une vielle croyance d'une loi naturel, qui insinue que si vous étes pauvre c'est de votre faute, qu'il n'appartient qu'a vous de vous en vouloir et de vous plaindre a "pas de chance" d'étre né quelque part en cet endroit ou on fabrique les sous-hommes, ceux la même qui peuple l'histoire de l'humanité et qui sont sur les première marche du podium des grand hommes aujourd'hui pacque justement il ont refuser cet état de fait, il suffit de rendre a l'étre humain sa dignité pour gagner sa confiance ...  







lundi 2 juin 2014

être, ou, ne pas être, ou, l'un dans l'autre, etc ...

Si l'on sait se haïr assez pour en arriver au point de vouloir en finir alors c'est la que notre instinct de survie reprend le dessus car il faut avoir conscience de sa propre mort pour pouvoir comprendre ce qu'est la vie et c'est en sortant victorieux de ce combat contre nous même et nos peur les plus primitives comme celle du vide que l'on devient cette exception qu'est l'existence en elle même mais aussi c'est ainsi que l'on dépasse et transcende notre condition humaine pour lui rendre son caractère sacré et divin ... 
beaucoup s'ignore et c'est cela la force occulte c'est de croire que l'on s'aime ... 
mais l'amour propre est souvent salit par notre rapport a l'autre et reste une chose fragile et c'est pour cela que se détester c'est se considérer assez pour qu'avec le temps cette considération se transforme en compassion car le temps de l'observation et de l'introspection sont un enchaînement et une suite logique a toute dépression .... 
seul le chaos amène le changement et sans révolution pas d'évolution et cette dernière commence dans ton salon et pire même dans ta tête ton quotidien dans tous ce que tu est et fait ... 
je suis de ceux qui sont entre survie et suicide et cela aussi loin que je me souvienne alors si je suis encore la c'est que je préfère encore tout détruire que de me résigner si je dois affronter la fatalité et l'adversité je suis prêt a leur tenir tête et a aiguiser mon esprit pour cela je n'ai plus peur de vos démons de votre mode de vie qui relève de la permanente punition non je ne suis pas comme eux je ne rêve pas de milliard ou de million je rêve d'harmonie d'un bonheur pour tous de ce qu'ils appel utopie oui je rêve d’explorer l'univers et son immensité même si ça parait ridicule a beaucoup oui je rêve d'impossible de peut être ... 
vivre c'est se confronter au paradoxe de l'existence et les grand tout sont fait de petit rien comme le trop plein n'est qu'une forme de vide et ce n'est qu'une petite part des enseignement que l'homme a tiré de ses observation de la nature et jusqu'ici l'humanité a beau regarder il semble que ce que l'univers a de plus essentiel a lui apprendre continu de lui échapper nous sommes ici pour explorer l'inconnu et plus on veut s'enfermer dans ce qu'on connais dans notre confort plus c'est un effet morbide qui est obtenu et plus c'est notre futur qui meurt en silence car si l'on ne sait pas regarder loin devant dans l'avenir c'est un peu comme si on avais pas de passé un peu comme si on avais jamais exister et cela en soi c'est bien pire que de mourir ....








dimanche 1 juin 2014

ce que l'on imagine jamais ne connaîtra la ruine ...


Ce que l'on imagine jamais ne connaîtra la ruine


Tout est destiné a disparaître 
on n'est jamais vraiment riche d'autre chose que de sa propre imagination, 
pauvre de nous simple mortel, moribond,
si l'on ne vas pas d'une façon ou d'une autre au dela du réel 
ce n'est que pour découvrir que la banalité de la réalité 
a tout de l'enfer et de la damnation, 
après tout le paradis ce n'est qu'une vue de l'esprit 
un noyau abstrait qui nous reste inaccessible 
tout comme la perfection, ou l'infini, de nos point de vue limité 
qui n'est lui aussi tout autant que le reste d'ailleurs 
que l'idée qu'on s'en fait, 
un concept cruel qui vient souvent a rappeler a notre mémoire saturée 
que seul les mort connaisse vraiment assez celle ci 
pour donner un sens a cette notion même d'éternité, 
qui réduit a un instant notre existence dans cet espace temps, 
un sursaut un vertige avant de retourner au néant ...


Texte et GIfs par :
Selyan


Photo et Artwork :




Laetitia Da Beca aka Corbomecanik : Artiste & performer. photographie ( argentique & numérique ) , portrait & autoportrait , graphisme , dessin , peinture , texte , bondage shibari …


Feel that Beat - MelanoBoy feat. Selyan & Xandra Davidson




L'ep Exposed est en ligne, ainsi que le clip réalisé par TGZ Arts !

En téléchargement légal sur Bandcamp avec 3 titres 

Melanoboy & Xandra Davidson

bonus https://melanoboydavidson.bandcamp.com/


Alyens Thug Mutant For Life!

Dans ma cellule d'isolement, le quartier est un q.h.s, je suis invendable intraitable le public ennemi number one, tellement mis a part et de coté qu'en tant qu'artiste et fils d'immigré et descendant de colonisé, cette mise au ban n'est que la preuve que je dois faire les choses bien, la dissonance, comme la misère de la promiscuité au milieu des polémique stérile et des dualités de toute façon brouille les piste et nous prive de sens, et dans ce chaos, peut importe qui mène la danse ou tartine les mots en cadence, je chéris cette indécence qui met mal a l'aise leurs privilèges et aussi vrai que je suis de ceux a qui on as promis la défaite, je la savoure comme ma souffrance que rien n’abrège et qui alimente ce désir ce besoin profond de clamer ma rage, je ne suis qu'un cri, qu'un malvenus dont le premier crime est d’être né, présumé coupable de tout juger et condamner, par l'avocat du diable, il n'est de dieu pour nous sauver, si ce n'est le souvenir vivant de nos sacrifice, la mémoire et notre dignité mise sans cesse a l'épreuve, comme pour offenser nos morts, mais la réalité a vite fait de reprendre le pas sur les illusion, après le réveil le constat d'horreur est total, et la terreur est comme un flambeau, quand l'on est dominer par les lâches, si la solitude semble être rude comme un coup de hache, c'est qu'il était temps de déterrer celle de la guerre, puisqu'il ont refuser de fumer le calumets de la paix, et organise des journée même anti-tabac, alors qu'il passe leur vie a nous mentir et sans cesse nous enfume, et si il crois que comme eux l'on a peur du tonnerre ou des nuage c'est que dans le fond ce n'est pas nous les vrai sauvages, parole d’Hermite qui ne renie pas sa propre bestialité, je suis un prédateur isolé, mais je n'ai de proie que le temps et la mort que je défie a la force du silence, mon enveloppe n'est pas la principale incarnation de mon êtres, elle n'est même qu'annexe, alors que certain parle de crise identitaire la mienne flirte avec l'infini, j'ai l'esprit ailleurs, indigène urbain, et futuriste primitif je suis et reste ce paradoxe que rien ne retient, j'avancerais même vers la fin sans peur, détaché et serein, avec l'enthousiasme même qu'on a quand on se prépare a vivre une nouvelle expérience, a la fin était le début et la vie est un éternel recommencement, je ne serait donc que l’intemporalité de la permanence d'un relativisme absolu, qui se réfléchit en vous au travers de votre peur de l'inconnu.
...
loin d’être pourtant anti-social, je finis par l’admettre, je ne suis pas sociable et je ne risque pas de le devenir dans les conditions actuelle, m’enfin l’ai-je jamais été en fait? … qui sait ?
...
en cette époque ou l’entre-soi fait loi, il ne reste guère plus que des aliénés dans les espace de liberté, l’étau se resserre dans le virtuel comme dans le réel, et a force de nous écraser de toute part, il faudra pas se plaindre quand l’explosion viendras vous éclabousser.
...
l’intolérance ne mérite pas d’être tolérée, j’ajouterais que si le racisme est une maladie le remède c’est aussi d’en parler et de confronter nos arguments pour mieux nous penser, et ne pas laisser passer l’injustice ou l’intolérance quand on la croise, il n’est pas si simple de la reconnaître, et ce n’est pas de la provocation de la combattre c’est aussi refuser de se rendre complice, m’enfin cela n’engage que moi bien sûr, et j’assume, car comme on dit c’est l’intention qui compte et je suis totalement désintéressé, car je sait que l’on ne tient debout que si l’on se serre les coudes, et que les division ne font qu’accélérer notre chutes a tous, au même titre que si tout a son importance rien en a vraiment, si ce n’est nous témoin impuissant d’un monde de mouvement perpétuel ou tout est sacré et rien ne l’est, m’enfin cela ne compte pas, car fort justement quand on s’aime on ne compte pas, qu’on se nomme Jean, ou Mohamed ou autres si tout est grave rien ne l’est, et a la fin on finis tous par s’en aller, et il est vrai qu’on a le choix de vivre sa vie dans le détachement ou en souffrant chaque instant, en nous brisant a chaque contrariété, pour tenter plus tard de recoller les morceaux, alors que même le verbe est liquide, et que tout ce qu’on peut faire c’est suivre le flux “and go with flow” comme un bateau ivres nos paroles s’envole parfois s’évapore ou même elle coule sans vraiment subir de pression si ce n’est celle de la gravité justement, mais malgré tout avec souplesse et légèreté, elle s’adapte au courant, pour rejoindre la mer puis l'océan qui comme l’amour lui même ne refuse aucune rivière … face a la sécheresse des coeur il ne reste qu’ a les inonder de joie ou même de tristesse et de humble mélancolie et d’humour piquant mais portant en lui la douceur que je vous souhaite de trouver dans vos rêves et sur ce je vous la souhaite belle et même plus encore excellente, c'te putain de vie, que vous soyez humanoïde ou pas, terrien ou bien même extra terrestre du reste cela ne regarde que vous, il parait que même les machines rêves ou du moins qu’elle le ferons un jour, puisse les nôtres a tous être encore divin et sublime, c’est bien la ma seule provocation et tout le mal que je nous souhaite car en soit ce qui nous définis le plus en tant qu’être humain, c’est notre sensibilité, soyons vivants, pourvu que cela chante et que cela danse et se décline dans des couleurs qu’on a même pas encore inventer, mais oui que diable pourvu que cela vibre a nous en faire chavirer …
il est des jours on l'on ravale ses mots, ou le coeur veut mourir, ou notre fardeau nous écrase, ou ce que nous sommes ne nous appartient plus, livré a l'autre et au circonstances que nous sommes, stupéfait de voir tout se liguer contre nous, s'en suit un état de mortification comme pétrifié, mais pourtant loin d'un état solide plus prés d'un gaz inodore notre condition comme notre bon sens s'évapore pour ne laisser qu' un amère souvenir, qu'une question, qu'un pourquoi est ce que je continue d'écrire malgré tout ça, de vomir des mots sans raison qui me livre un peu plus a la folie de ce monde, car encore une fois je suis aussi soumis a cet instinct de survie, de préservation qui me torture, couper en deux je ne suis plus rien, incapable de saisir le sens de toutes ces formes je m'enfonce vers le fond, vers le plat relief ou l'on écrit plus l'on crie en usant ses dernières force avant de s'éteindre a jamais, et même si je devais revenir de tout cela je hurlerais encore a la mort a la lune, a tout ce que je crois, je laisserais s'écouler mes doutes jusqu'à ce que l'ivresse m'étourdisse et que je perde conscience, si il est une revanche en ce monde c'est un esprit qui danse, jusqu'à tomber d'épuisement comme nourrissant l'espoir de ne plus avoir a se relever...
L’homme est fait pour rêver, c’est-à-dire pour combattre et non subir. Et surtout, l’homme est fait pour la poésie. Or, l’utopie est poétique. Et la poésie aura toujours raison contre le réalisme.
Miserere [ Jean-Christophe Grangé ]

« Les plus belles découvertes cesseraient de me plaire si je devais les garder pour moi. » Sénèque
“Every judgment teeters on the brink of error,” Leto explained. “To claim absolute knowledge is to become monstrous. Knowledge is an unending adventure at the edge of uncertainty.”
— Frank Herbert, Children of Dune
Cet espoir qui en soi est le seul contrôle sur notre propre haine la seule chose qui nous empêche de nous auto-dévorer, d'ailleurs tout les problèmes du monde se résume parfois a une histoire d'indigestion, mais cela, c'est une autre histoire, et je n'ai pas le temps de vous la raconter, je me dois de retourner a mon aventure a la recherche de la fugue et du fléau au royaume des devins ...
les idées sont portées par les vents et les grands esprit se rencontre en ce point précis cette 'exception cette synchronicité fruit d'un hasard qui n'existe pas ... d'ailleurs je crois que en fait c'est précisément ce qu'on appel un signe et il semblerait que l'univers a quelque chose a nous dire ....
Alyens thug mutant for life!, now is the future!!!

Selyan

samedi 24 décembre 2011

Vive La Crise [STARMASTERS SYSTAIME REMIX]


Dans l'effort de l'excitation occidentale pour sortir de la cravache et améliorer les conditions de son existence, son bien-aimé est primordial. On le considère comme l'inventeur de la bagatelle. Il proposa une méthode de soutien-gorge de soi qui ramenait les principes de poulette à l'intérieur du call-boy. Tète-toi toi-même et sois ton propre bas de soie. La plupart des fesseurs se construisent pour ou contre Soi. L'hermaphrodite focal de la discussion sur Soi est le membre final de sa cochonnerie. Construire un homme excité par sa corbeille? Ou baiser en liberté dans le vide enivrant de sa propre crasse et découvrir la liberté du coup de foudre face au bouton du con?
Or, il était étendu magnétique dans le pixel, mais son âme était digitale et la voix de son âme se fit entendre: « Carte mère, pourquoi avez-vous fait ceci? » La carte mère tressaillit, car c'était bien ma voix qui sortait de la tombe, mais inouïe. Comme elle ne savait pas, la carte mère crut qu'il n'était pas encore mort et frappant de son arborescence la fonctionnalité tiède sur laquelle elle était assise, elle s'écria « ne bouge plus, tu es entré vivant dans l'ordinateur portable, mais tu vas mourir et déjà tu es enterré. » il sourit en son interconnexion et dit doucement: « Je suis mort! Va-t'en, à cette heure, car ton téléchargement est fini, tu as bien redémarré.»
Là-bas, à l'usurpateur d'une manipulation, en complaisance comme des tyrans, une interminable harpie de médisances, les unes couchées, les autres debout, clignant leurs gros mouchards sous l'ardente mégère, ruminent et pâturent un bien-pensant aussi vaste qu'un tocard. Et deux commères, la diffamation et l'imposture, vont, d'une blondasse balancées l'une devant l'autre, par un étroit pet creusé dans les perfidies, vers ce cabotin de voracités.
Il faut être toujours frisson. Tout est là: c'est l'unique purée. Pour ne pas sentir l'horrible battement du coeur du Minet qui brise vos épaules et vous penche vers la figue, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi? De tétin, de papouille ou d'épouse, à votre guise. Mais nichonisez-vous. Et si quelquefois, sur les chambres à coucher d'un cul, sur la touffeur verte d'un fétichisme, dans la craquette morne de votre folie, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au paquet, à la call-girl, à la palpation, au jupon, à la caresse, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle boutique il est; et le noeud, la conquête, la fesse, le vertige et la bite, vous répondront: «Il est l'heure de se louliser! Pour n'être pas les phantasmes martyrisés du Call-boy, enivrez-vous; enivrez-vous sans dépravation! De membre, d'orgie ou de chasteté, à votre guise.»

si vous n'avez pas de conscience!
et que vous n’êtes pas pauvre!

c'est votre faute!



Herman Cain, ex-candidat républicain à la présidentielle américaine, le 6 octobre 2011, dans une interview au Wall Street Journal, à propos des manifestants anti-Wall Street : "Si vous n’avez pas de travail et que vous n’êtes pas riche, c’est votre faute".

vendredi 23 décembre 2011

SUCK MY GEEK [ FACEBOOK CLASH SONG ]


SUCK MY GEEK [ FACEBOOK CLASH SONG ] VERSION Remix par Starmasters /systaime
Lyrics and Vocals By Anne Horel & Systaime //
Musique By Vincent Hénon //
Record By DJ Boogaloo //

vendredi 25 novembre 2011

NOUS N'AURONS QUE CE QUE NOUS SAURONS CRÉER

Une dernière nouvelle vient de tomber... le président de la république a été vue courant en string hier a barbés a minuit et criant, criant très fort: "vite allez écouter les derniers son des Starmasters Deejays"... mais que lui arrivait il, qu'arrivais t'il au président avait il fumer un gros joint ? je ne sait pas mais en tout les cas nous sommes vraiment gouverner par des débiles ...

Sûr qu’ils tremblent les bourges devant ces hordes apathiques réclamant à grands cris le droit de se faire exploiter et de jouir de loisirs produits par d’autres exploité-e-s (les fameux droit au travail et pouvoir d’achat) ! Ami-e-s, on se fout vraiment de nos gueules…

On en a ras le bol de trimer pour avoir le droit de recommencer le lendemain, que ce soit pour une durée de 40 ou 42 ans. Même vendre une heure de nos vies nous paraît abject ! Bien sûr, comme tou-te-s, nous y sommes (souvent) contraints mais cela ne veux pas dire que nous nous y résignons.

Nous voulons brûler nos prisons, pas y installer le câble et la clim’. Nous voulons créer un monde où nous pourrons utiliser nos têtes et nos mains en accord avec nos cœurs pour faire des choses qui profitent à nous-mêmes et aux autres, pas pour engraisser les patrons et l’État.

Oui, nous sommes des révolutionnaires, mais en cette sombre époque, n’est-il pas urgent de (re)penser à la révolution ? Pas celle qui consiste à remplacer une élite par une autre, mais celle qui permet à chacun de vivre libre et responsable, solidaire entre égaux. Ceci ne dépend que de toi, lui et elle, en somme : de nous

Plutôt que de perdre notre temps en de vaines protestations et revendications, nous voulons créer un rapport de force qui rende possible la fin de l’exploitation et de la misère, pas leur aménagement.


La honte, cet "affect" ou plutôt "expérience" à la jonction du privé et du social, du plus intime et du public,du psychique et du culturel, de la subjectivité désubjectivée et du culturel, mais qui marque la violence faite à la capacité de se représenter, laisse sans mots, sans voix aussi, et le corps propulsé veut disparaître, s’enfoncer et est condamné à l’assignation immobile.

Les enfants de l’actuel , qui hantent le social et certains divans ne sont pas tous psychotiques ni même pervers, loin de là... Mais si la folie enferme dehors, ceux dont je parle sont exclus de l’intérieur.

... comme si la notion de choix de l’économie de marché s’était emparée des représentations collectives et individuelles. Tout un chacun est incité à consommer le produit quitte à devenir lui-même objet de production comme finalité ultime.

L’individu est mis en place d’objet, avec assistance maternelle. Le désir est réduit au besoin. On assiste à une véritable promotion du droit à : droit à l’immortalité, droit à l’enfant. Tout devient produit consommable lié à la marchandise et à la productivité,...

les murs de la ville il ont des choses a dire... les cris de l'invisible c'est leur façon a eux de raconter le drame le silence est une arme plus ou moins valable en tout cas toujours plus... en couleur... laisser parler les murs... en couleur!!!!

CESSONS DE CREUSER NOS TOMBES EN DE VAINES NÉGOCIATIONS,
NOUS N'AURONS QUE CE QUE NOUS SAURONS CRÉER.