Une dernière nouvelle vient de tomber... le président de la république a été vue courant en string hier a barbés a minuit et criant, criant très fort: "vite allez écouter les derniers son des Starmasters Deejays"... mais que lui arrivait il, qu'arrivais t'il au président avait il fumer un gros joint ? je ne sait pas mais en tout les cas nous sommes vraiment gouverner par des débiles ...
Sûr qu’ils tremblent les bourges devant ces hordes apathiques réclamant à grands cris le droit de se faire exploiter et de jouir de loisirs produits par d’autres exploité-e-s (les fameux droit au travail et pouvoir d’achat) ! Ami-e-s, on se fout vraiment de nos gueules…
On en a ras le bol de trimer pour avoir le droit de recommencer le lendemain, que ce soit pour une durée de 40 ou 42 ans. Même vendre une heure de nos vies nous paraît abject ! Bien sûr, comme tou-te-s, nous y sommes (souvent) contraints mais cela ne veux pas dire que nous nous y résignons.
Nous voulons brûler nos prisons, pas y installer le câble et la clim’. Nous voulons créer un monde où nous pourrons utiliser nos têtes et nos mains en accord avec nos cœurs pour faire des choses qui profitent à nous-mêmes et aux autres, pas pour engraisser les patrons et l’État.
Oui, nous sommes des révolutionnaires, mais en cette sombre époque, n’est-il pas urgent de (re)penser à la révolution ? Pas celle qui consiste à remplacer une élite par une autre, mais celle qui permet à chacun de vivre libre et responsable, solidaire entre égaux. Ceci ne dépend que de toi, lui et elle, en somme : de nous
Plutôt que de perdre notre temps en de vaines protestations et revendications, nous voulons créer un rapport de force qui rende possible la fin de l’exploitation et de la misère, pas leur aménagement.
La honte, cet "affect" ou plutôt "expérience" à la jonction du privé et du social, du plus intime et du public,du psychique et du culturel, de la subjectivité désubjectivée et du culturel, mais qui marque la violence faite à la capacité de se représenter, laisse sans mots, sans voix aussi, et le corps propulsé veut disparaître, s’enfoncer et est condamné à l’assignation immobile.
La honte, cet "affect" ou plutôt "expérience" à la jonction du privé et du social, du plus intime et du public,du psychique et du culturel, de la subjectivité désubjectivée et du culturel, mais qui marque la violence faite à la capacité de se représenter, laisse sans mots, sans voix aussi, et le corps propulsé veut disparaître, s’enfoncer et est condamné à l’assignation immobile.
Les enfants de l’actuel , qui hantent le social et certains divans ne sont pas tous psychotiques ni même pervers, loin de là... Mais si la folie enferme dehors, ceux dont je parle sont exclus de l’intérieur.
... comme si la notion de choix de l’économie de marché s’était emparée des représentations collectives et individuelles. Tout un chacun est incité à consommer le produit quitte à devenir lui-même objet de production comme finalité ultime.
L’individu est mis en place d’objet, avec assistance maternelle. Le désir est réduit au besoin. On assiste à une véritable promotion du droit à : droit à l’immortalité, droit à l’enfant. Tout devient produit consommable lié à la marchandise et à la productivité,...
les murs de la ville il ont des choses a dire... les cris de l'invisible c'est leur façon a eux de raconter le drame le silence est une arme plus ou moins valable en tout cas toujours plus... en couleur... laisser parler les murs... en couleur!!!!
CESSONS DE CREUSER NOS TOMBES EN DE VAINES NÉGOCIATIONS,
NOUS N'AURONS QUE CE QUE NOUS SAURONS CRÉER.
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