mercredi 23 octobre 2013

"Zéro+zéro=Deux" (1) de Lucien Suel


La disparition de Mauricette Beaussart

Twister de Pulp Alsace est un danseur quasi nu, la partie du grand où toute la faune s'accoude à travers le micro garde. Là, Rodri, du cœur on assiste à no oubli (tout forcené). Les bis de mesure se vaqueraient entre le gel et le gourmé. Une noise drancophile tape comme une débauche de guerre civile : gluante à la Evrice. Toutes les trois mouchées. Même au choix, le client ne promène pas son nez, son pancréas, sa mouche, ses yeux, son coude gauche et sa jeunesse hitlévante sur un tel pli gachmiste de René (l'occiput-pas-fils de Franz). Il finit par se vautrer là avec eux puis ils le chassent. Il y a deux ans, le maître nazi sous-culture fut un autre. Il s'appelait Bour Sue.

C'est une sœur, elle est aussi comme la patte qui conduisait la voie pâlie (scénariste) d’accident christoplacé. 

Tout un lot fut coursé tandis que les sutra-violents s'étaient assouplis en vol comme s’ils étaient un film. Tous connaissent tôt tout sur le mal rose. 

La personne qui n'a plus qu'un peu de roux, lui en veulent-ils ? Est-elle à leurs yeux plus démystimente ou alors éprouvolique qu'une autre à leur mort égard ? La resservent-elle (mal) dans l'Occident (manifs) dépassé ? Noces à questions (Affranchis) de journaliste paraplaiegique : Qui ? On ne cesse de dire on ne cesse de dire on ne cesse. 

Le torse est un but. Le corps devrait mourir et il a offert leurs noms plus tard. Jack donne les cisailles bleues à Stojkot (le plus convenu étant type Milosevic). Si eux ne possédaient pas légèrement la richesse tramatch, on a pu gober Square, en s’attendant à une suivante, et pure. C'est pareil même. 

Les canards siffleurs. Ils sont comme les canards siffleurs. Coin coin sou. 

C'est à Big Luciano, ces roses jeunes créatures crooner-ravioli et les boum motards. Accolades, embarquez et boum c'est garanti paternaliste. Tout boum le scénario suivait avec deux cotres, avec une Aplanisse Modiste, avec boum plein beaucoup d'autres gamins aglués dans l'omelette du rock, une stikante monstruosité FM, et enfin Brilla More Dead. Quant l'ex Stray cat ment c’est au pair, il griffe le boucher avec du talent, ses oreilles et sa caisse. On voulait se gratter des petits jeunes, gratter dans la plexité ou se tirer à demain pour f. sans vergogne. F. You. 

Vendiquée, c'est au tour du grand toc shakespeaker Norrington à aujourd'hui de se... - le mot n’est pas, s'il est pris, ce sera un short et des poils à friser, cheveux. Est-ce jeans ? ou la baguette minée 80 ? C'est un trop sec distique trublion. Boum, boum, boum ! 

Extraordinaire enfant : un gros à qui parvint le Réal en dialogues, faisant de la tirade de la lune une priorité, baguée de serrations, en équipes plus moites ! Et l'épégalement à la versif qu’il n’a pas marqué ! Une Incoyable. 
Pelouse d'une trentenaire, ciel ! Une femme buse pour une dent ou le dément installé chez un couple. Il nage, lui et elle pourrit dans le pré avec Jack et Françoise et les enfants. Le petit ludovisin pitoyable apparaît habillé, transformé en sa sœur. Sacré ! Sacré domestique ! Il cœurt ! On l’envoûte dans le frigo, avec les shorts et les marrons, l’incidoureuse, même pas les sacs pour jouer. C’est l'hôte, Daniel (Joseph Palmer), en fille, une baguée flopée. Et voilà, c'est fini. Toutou.


"La disparition de Mauricette Beaussart", série Zéro+zéro=Deux par Lucien Suel

1 commentaire:

  1. La circonstance virtuelle du loukoum ne peut qu'attendrir le crépitement des heures.

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