Le "bug data" est une dystopie de la théorie du "big data".
Dans cette contre-utopie, les structures opératives du big data s'effondrent sur elle-mêmes :
- la vitesse de transfert des données n'est plus assez rapide pour assurer un traitement de l'information en quasi-direct.
 - le volume de données à sauvegarder dépasse les possibilités techniques de stockage.
 - les algorithmes (et les hommes derrières les machines) sont incapables de donner un sens aux données collectées.
 
Résultat : les agences gouvernementales deviennent incapables d'assurer leur mission de surveillance de l'Internet et les publicitaires sont dans l'incapacité de cibler leurs contenus marchands.





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