bonjour monsieur, bonjour madame, une petite minute, un petit instant pour discuter ?
vous marchez vite et bien droit, vous regardez rien même pas la vue, ça s'en va bien comme un petit peu.
quelle impression impressionnante, l'estime de foie court pas les rues.
vous êtes vivants j'en suis pas sûr, j'articule plus comme vos godasses.
bandes de pétasses. bouffez votre merde en afrique morte, peignez vos glandes avec du pu.
je vous arracherai bien vos globes tout creux pour y tasser un peu de belle crasse.
j'en attend plus du retour moite, vous savez bien que c'est comme le reste.
négresse clownesque, chinetoque lombric et rabzouz punk.
l'arthrite bien blanche qui crèvera bien le plus tôt possible, c'est espéré.
je te cloue la bouche sur le métro. j'affiche tes nerfs sur l'abribus.
je découpe ta moelle avec le bord d'une plaque d'égout, pourrie rouillée par les rats noirs du poulet free.
frémit coupable et puis m'échappe, prend pas la peine d'apprendre pourquoi t'es limité à tes orteils qui suintent le gras.
t'active ta langue pour mépriser le con qui rigole, comme une carcasse qui se prend pour toi.
le coeur ouvert ça pulse pour rien, sa t'éclabousse ya des morceaux partout par terre qui sentent le chien.
attrape ma fièvre c'est du cancer pré-emballé, cadeau de luxe pour les gagnants des jeux lointains.
j'écorche ton foie et prend plaisir à suivre ton regard qui s'amuse plus quand tu t'écartes.
burger au souffre, t'y captes quoi ?
ça se transmet pas par voie buccale sauf si je te bouffe les intestins, maintenant c'est froid.
machine qui purge, qui te nique la tête et qui t'encule avec une batte au citron noir.
smartphone technique, te froisse phalanges jusqu'à pleurer du sperme en poudre de lait humain.
attache ton crâne au môme qui passe, écrase l'échelle de papier bulle contre un cadavre de bœuf verdâtre qui te fixe longtemps, j'en saurai rien.
l'enclume qui fonce à ta vitesse, et qui me défonce le fœtus propre que j'ai plus mâché depuis bien longtemps.
l'atroce fissure des côtes fragiles, j'écarte encore ça grince à sec, t'es immobile.
susurre l'ennui, dégotte le fric la tête en brique.
pique toi toujours avec du jus de cuir en vitrine, ça sème la trique dans les trous noirs.
tu suces même plus pour faire la fête, t'as plus de mâchoire.
comment tu trouves le flouze qu'il faut pour ta dosette de pixel propre ?
tu ranges le soir, t'attrape la mort parce que tu penses comme une maquette.
dimanche 15 juin 2014
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