Tout conspire contre vous mon ami, rien
ne tient dans vos tripes.
Tenez, tenez vos grands airs ;
travaillez votre voix, travaillez votre corps.
Bientôt, vous n'entendrez plus que nos
sussures.
Vous n'avez jamais rien compris, c'est
ce qui vous réveille le matin.
Mais le soleil ne s'est pas encore
levé, vous voilà dehors à sa recherche ; et cette recherche
n'est qu'une fête.
Ce qui est musique vous frappe ,
n'arrêtez pas.
Ce qui vous frappe, vous le frappez
encore jusqu'à ce que le sang s'écoule des auréoles, n'arrêtez
pas.
Il fait très beau.
Grand-père passe un très bon
après-midi en votre compagnie,
Grand-mère demande leur nom à ses
petits enfants, sans trop savoir s'ils sont vivants,
grand-mère, ses vers,
qui s'en soucie ?
Elle meurt comme on atterrit sur le
sol, après un bref étourdissement.
Je suis heureux pour elle, pour vous,
pour tout le monde.
Voltaire avait raison, il faut cultiver son jardin.
RépondreSupprimerou être un pirate
RépondreSupprimermoi je veux être un putain de pirate, cultiver son jardin c'est pour les branleurs
RépondreSupprimerGuénolé le pirate!
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