Dans le trou, dans l'arbre, dans le jardin au-devant de la maison, il ne pleut plus, et je sens encore la campagne.
En fin d'après-midi, la neige, le soleil et la terre cisèlent l'atmosphère.
L'obscurité tombe, les personnes vivantes grimpent l'orée de la montagne pour une prière.
Le froid s'agrippe aux corps ; cent tombent.
Cent tomberont encore s'ils ne s'engouffrent pas dans ce flanc de montagne, là, tout près.
Et la chaleur, et l'eau les bercent.
Et la poussière du dehors reste au dehors.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
c'est bon ça! Merci Guenole.
RépondreSupprimerde rien coco.
RépondreSupprimer