les seules histoires sans fin possible sont celle qui n'on jamais commencer
il était une fois a la fin du début le début de la fin et dans le même temps cette histoire que je raconterais encore demain cet aujourd'hui qui me dit que si je ne finit jamais rien c'est peut être pacque que ma passion est tournée vers l'infini, en continu, a suivre pour mieux survivre a ce vertige de l'éternité qui rend ivre quand il se saisi de l'instant sans laisser ni d'après ni d'avant juste le moment présent
il n'y as pas d'amour a ce qu'on dit il n'y as que des preuves d'amour alors qu'en est il de la haine, n’existe elle pas que par la preuve d'un incommensurable manque d'amour et si de l'amour peut naître la haine il se peu que de la haine naisse l'amour, quand le manque, le vide, devient trop plein, et vice et versa, tour a tour, amour et haine sans pouvoir se passer l'une de l'autre se joue de bien vilain tour
Le monde ressemble de plus en plus a un supermarché ou on devient tous produit a l'étalage tout le monde a quelque chose a vendre mais pratiquement personne n’achète jamais rien a ces vendeurs a la criée qui élèvent sans cesse la voix tous ensemble et font naître ce bruits cette cacophonie qui rend tout le monde sourd ici on n'aspire tous qu'a être écouter mais personne ne peut s'entendre...
nostalgie de l’exil qui fait qu'on est nul part a sa place et qu'il y as tout un monde entre nous qui rappel que tout ce dégoût laisse un arrière goûts de mort qu'il faudra trouver la force encore pour survivre a un jour de plus a ce lendemain qui nous livreras a notre triste sort loin des yeux et du coeur la ou la parole est un danger permanent et ou le silence nous endors...
Notre passé notre histoire notre souffrance est niée tronquée par notre besoin de se rassurer d'oublier et comme on ne retiens que le pire alors on transforme nos souvenir en ne gardant que le meilleur croyant pouvoir échapper a notre destin qui auras raison de nous a la fin malgré nos paradox temporel qui crée des fissures dans le tissus interdimensionnel de l'univers le continu-homme espace temps...
Le déni de nos trajectoires le mépris de nos ancêtres de ce chemin qui fut le notre ne peut nous mener qu'au néant si s'oublier et renier son parcours c'est d'une certaine manière changer son regard et prendre de la distance avec l'existence même, si nous n'avions pas été, si nous n'avions pas vécu ce qui s'est passé alors le présent aurait été un autre futur un autre point de vue ...
je suis le vide le silence un malaise une pulsion un cri un lendemain tout gris sans hier encore une journée a rien faire a tout vomir a fuir pour foncer dans le mur encore une rature une tache une éclaboussure de sang pour peindre la fracture la déchirure l'odeur putride de l'horreur de la démesure du froid du doute d’être plus sur de rien du désir sans fin d'une faim d'infini qui revient sans cesse comme un refrain...
je n'arrive plus a coller a ses étiquette a ses mots vidé de sens qu'on s’attribue et s'approprie qu'on dénature a l'usure comme l'amitié et l'amour qui s’efface au fur et a mesure qu'on s'éloigne et que s'oublie nos coeur perdu suspendu dans le temps qui cours cherche en vain l'espace ou savoir vivre est un art et survivre un espoir jusqu’à ce qu'on arrive plus a croire en rien même pas en nous même jusqu'ici je rêve!
Au clair d'une lune d'un soir ou se ruine l'âme ou la fortune damne le premier venu en panne d'envie qui a comme un goûts pour la tragédie et le drame d'une existence veine ou seul l'exploration de l'inconnu distrait de la peine de jouir de nous même de cet enfer qu'est l'autre qui transforme notre paradis en néant par son absence qui remplace notre coeur par le vide d'un trou béant ...
Préoccuper par notre personne on finit par ne plus avoir rien a se dire même quand on se parle entre nous pourtant tout reste a faire il faudrait mille ans pour se comprendre et un seul instant pour se sentir mais la peur la honte finit par détruire les sentiment qui nous inspire pour ne laisser que du vents que la tempête qui souffle en nous la dernière bougie et remplit l’espace des ténèbres de l’ennui...
A chercher la lumière on en devient obscur comme l'ombre de nous même qui grimace et se joue de nous quand on lui tourne le dos sans inventer de nouveaux mots le langage devient un handicap une nature morte qui nous rattrape et nous met au pied du mur de ces concept abstrait qui façonne le monde en une image dans une autre un visage un symbole une métaphore éphémère du vivant ..
Même si les charognard me dévore de leur regard qui se nourrit de cette viande qui avant de pourrir a pleinement pu jouir de ce don qu'est la parole même si le temps sur ce sol pour moi n'est pas venu encore de mourir même si l’indifférence des puissant arrive sans trêve a détruire la passion et le désir même si mon ciel dois s'assombrir il resteras toujours des étoiles pour briller bien au delà de nos rêves
Quelque part entre les contradiction et les paradoxe la ou se trouve l'exception comme au delà de la matière il y as l'antimatière j'imagine je crois suppose mais au fond je n'en sait rien on peut toujours essayer de faire de l’esprit si le mental est dérangé qui peut vraiment se vanter d'avoir la conscience tranquille quoi qu'il en soi ...
il faut d'abord se perdre pour se trouver et sans cesse recommencer pour se retrouver si le seul bénéfice vrai est celui de douter alors on peut le faire en y trouvant un peu de sérénité en étant détaché mais entre ce qu'on pense ce qu'on dit et ce qu'on fait ... le faux le vrai rien n'est sur et le sens devient un gouffre sans fond le bord d'une falaise d'ou on est prêt a se jeter sans aucun regrets.
le vide le néant est un équilibre un début et une fin au milieu rien n'est juste tout est rien tout est dans le regard de l'observateur et dans l'intention qui vas de pair avec l'intensité de la passion, le bonheur c'est l'exploration et le courage de dépasser sa peur face a l'inconnu l'infini l'éternel mystères sans égal que nous sommes pour nous même et devenir les enfants des étoiles ...
de l'un as l'autre il n'y as qu'un pas et d'une certaine manière nous sommes tous connecté a la manière d'une toile d'araignée a la croisée des lien et des chemins a travers nos réseaux humains on finit tôt ou tard par se croiser par hasard si on peut dire se retrouver si ce qui nous rassemble c'est qu'on se ressemble enfin il me semble ;)
je peine tellement a vivre qu'il se demande si la seule vrai joie qu'il connaîtras jamais sera celle de mourir. Peine a jouir morte de peine en ma chair putride je ne vois plus que cette viande qui parle pour ne rien dire me livrant a ce silence assassin bruit meurtrier désintégration totale de l'idée d’être et devenir ce cri qui déchire cette longue nuit qui dureras tout une vie en un instant a ce jour tout est dit...
je suis forcement le con de quelqu'un mais surement pas convaincu, a flirter avec la mort ce qui ne tue pas rend plus fort et ma force est dans le bénéfice que je tire de mes doutes qui font que seul mon coeur me guide sur la route d'autres appelleront ça l'instinct mais peu importe si l’essentiel et de comprendre que l'issue est une fin en soi et que ce qui compte et qui donne du sens a nos vies c'est le combat...
si je pardonne a autrui c'est que j'ai finit par apprendre que j'était mon pire ennemi , personne n'échappe a lui même et se laisser envahir par la haine c'est se soumettre a ce qu'il y as de pire en nous même, on peut mener une guerre a ce monde pour avoir la paix mais être un guerrier c'est être maître de soi même et cela demande un minimum de présence d’esprit ... rien n'est jamais acquis...
Selyan 2011
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"Ce qui compte, ce n'est pas d'où viennent vos idées mais ce que vous en faites"
– Godard...
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«Restons ce que nous avons toujours été : des gens libres.
C'est devenu suffisamment rare pour qu'on s'accroche ne serait-ce qu'à l'idée.»
[ Enki Bilal ] - Le sommeil du monstre