dimanche 4 décembre 2011


Le chien est trois pattes. Je peux écrire ça. Même si ça ne veut rien dire. Mais il est manifeste que j'ai des griffures difformes sur mon bras. Du gros chien de l'enfer. Le chien arrive vers sa fin. Mais le maître n'en peut plus, n'en a jamais pu. Au revoir le maître. Le chien est trois pattes. Il n'aurait jamais dû.

1 commentaire:

  1. C'est vraiment de la merde quand on se prend pour un avant-gardiste en écrivant comme le faisaient ces vieux cons de surréalistes au début du XXème siècle. Lisez cet article : http://www.editionsdelabatjour.com/pages/le-manifeste-mutantiste-de-mathias-richard-6369055.html

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