lundi 10 octobre 2011

Noyeau de prune en fusion : Destruction absolue de l'exisdanse jusqu'a la plus profonde pensée. Début d'un nouveau chapatre des mondes. Une sphère, deux sphères, trois sphères, quatre sphères et ainsi de suite. Une invention qui ne fera que préceder les suivantes. Un être fou et protéiforme qui pense et qui fait : avalanche cosmique d'idées, commencons par les plus simplexes. Dedans, dehors. Puis une terrible centrifugeuse, cosmique et gigantitanesque, qui fait peser sur la moindre particule chimique et/ou minérale son inconcevable puissance dispersesque. Incrémentation subnaturelle soudaine, continue, infinie et exponentielle de la distance AB à tous niveaux de perception et de non-matérialisation. Cependant la damoiselle Gravitée fait de la maitrise de son art les plus beaux sacrifices elle aussi. Le tourni, j'en ai mal aux synapses virtuelles. Des filaments de célérité se morphent par l'interaction de cette bipolarité avec elle même, et puisent leur jaillissance dans sa nature motricielle. Ils s'enfuient, se croisent et se connectent, s'absorbent et se dérobent, s'enroulent et se démêlent, se lient et se déploient. Une nébuleuse de vourbillons célestes aspirent et crachent de gigantesques tétraèdres de lumière par paquets de cent milliards . Tout ça en même temps et sans respirer. Les astres de plomb tournicotent et s'entrechoquent, s'accouplent et fusionnent pour en former de plus vastes puis explosent en une infinitée de microscobilles insignifiantes. La distance gagne du terrain et le flou l'emporte. Les ultraformes generées par le cristal liquide de la cosmoscience géniale s'étirent puis se disversent et enfin se dissolvent dans la causalité primale. Et c'est reparti pour un tour.

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