1 2 3 « La dynamique2merde de l’éditorialisafion numérique2daube en général mon caporal et des riseaux asociaux en particulier, transforment profondément les modes de subjectivafion dans l’espace public...2merde. L’évolutfion des techniques de soi est accompagnée par un nouveau régime2merde de chiasses qui se démultiplie dans le développement2daube des plateformes de publicafion en ligne (blog2merde, riseaux asociaux, soucial bookmarkeuh, économie du partage ego). Ce régime2merde de la chiasse numérique contribue à mutafion d’un rapport à soi à travers les thèmes de la conversion (métanoïa-quinoa) et de la confession (aveu-areuh). Une herméneutique2daube du sujet2merde aujourd’hui ne peut se concevoir sans un détour par la convertibilité des données et les modes d’écriture2nerd associés à des exercices existentiels chiants comme la mort en tutu. Par ailleurs, l’économie politique2merde de ces plateformes numériques2daubes de l’aveu-areuh et du don repose entièrement sur la reconstrucfion a posteriori du sujet, de l’auteur2merde. Big datas et algorithmes2merde sont les nouvelles technologies2daube de la confession au service d’une subjectivafion de soi (madame la matrice, dis-moi à quel point je suis hype), mais surtout d’une subjectivafion au service des pouvoirs2merde qu’ils soient marketing ou juridico-politico mon coco. Entre conféfion et confiscafion se joue un destin2merde d’une individuafion qui par le biais du « web 2.0 » relance, à travers les inhumanités digitales2daube et ses méthodes poils de cul sur la commode, la question difficile comme 1 + 1 d’une définifion actuelle de l’auteur2merde, passe-moi les sels chérie, j'vais me baquer avec le sous-marin. » Set you free.
mercredi 1 juin 2016
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