L’homme est si beau.
Il adore et il est adoré.
Il déchire et sera déchiré.
Il monte dans son corps.
Les doigts des arbres griffent son crâne.
Aucune phrase dans l’espace des hommes.
Aucune phrase dans l’espace de son corps.
Aucune phrase sur les genoux des pucelles de la
ville.
Aucune phrase dans les yeux de la jeune fille.
Aucune phrase grouillante dans la viande.
Aucune phrase dans la volupté de ses offrandes.
Aucune parole dans l’amertume de cet espace.
Aucune parole de la bouche.
Aucune parole.
Aucune parole dans l’espace de ce corps.
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