mercredi 21 juillet 2021

Quelle merveille!

Le PQ-r code pour toussent pour aller boire un café ou aller à la bib avec l'habibi: dernière décision en date du Résidu en chef de la start (fucked) up nasse-ion.

A bas l'injection, passons directement au puçage RFID, c'est d'autant plus innovant!

Et tellement plus drone :

Ah, ah ! Pas mécontent d'en avoir fait le moins possible pour l'éternel retour à l'anormale des maux (krr) rassie et raciste les Z'emmours.

On n'arrête pas le progrès, il s'arrête tout seul.

Alors, oui, Jah-Sum, moi Jean Ramier, j'ai préféré aller dans le sens opposé, would prefer not to, plutôt qu'être un énième triste clown du sinistre Diafoirail de ce

goule

vers

dément

des man(a)ge-merdes

de la ripoux

bleak

Farcie


(vive la lie, vive la gale, vive la putride, vive le rance)


C'était les m'aime en antre-prise cul tue r'hell. Progressivement, je les ai vus Areva ces arrivistes il y a une dizaine damnées. Remplaçant tous contents porains dare-dare la librairie par un de leurs concept-store (et son lot de mug Shop-enhauer en porno promo X-clusiv'). Nous pondant, de raye-union en raie d'oignons, des plâtrées de nouvelles plate-formes et autres merdouilles toujours plus opérationnelles mais surtout bien avidemment dysfonctionnelles du fion. Langue diarrhéique juste efficiente à stériliser et uniformiser chacun des imaginaires, nerfs déjà maltraités en profondeur par les affres de la pointeuse et des Agents-Da sans rêves.


L'une de mes dernières contributions en daté à cet Im-monde du travail aura été saisonnier dans l'arboriculture. Direction le Triangle de la Mort (Allasac-Lubersac-Le Centre Pompidour) et ses Golden, boy. Mais en Bio (lol). Les parcelles de l'entreprise éco-rurale (je ne sais plus comment on dit, pardonnez la ferme ta gueule) où je me faisais (mal) traité, était à quoi, deux mètres de celles en industriel (il faut dire conventionnel, je crois). Quarante traitements de pass phyto sanitaire sur vos fruits les Amishs !


Il y a quelques jours, mon Consigliere (nom de code THX 1138) Peau Lamproie ou Pôle Pote, souhaitant me réincarcérer dans la Sauce Eté du Spectre Acre m'a bien cordialement convié covidé à un Rendez-Moi, à un Rendu Mou, pour un traitement de synthèse.


Quelle joie!

J'avions quelque peu oublié décor et décorum de ce barnum flingué. J'étais, il est vrai, plus habitué ces derniers taons à extirper des tiques sur ma peau de bal, à compter et contempler le nombre de Douglas rasés à blanc, le ballet des hélicoptères et libellules bleutés non loin de la noire et mousseuse Gare tempes, à l'Oreno des bois.


Dans l'agence, plastique partout et pour tousse. Esthétique similaire, démocratique disons, que ce soit en i-pad et en Ehpad, salles de concert durables et de cancers responsables (hô, piteux), sales défaites, genmerderies, gensd'artj'aimeries, écoles (e-colle), motels, basse cour de justice, etc. Quant au verbiage jacté par mon con Seillières, je vous l' (Caisse d') épargne.


Alors oui, moi, Lou Ravi,

je suis bien heureux d'en avoir fait le moins possible, moi Le Fol (l), Stéphane le Crassou, d'être aller cuisiner à la Zad (vivre libre et nourrir), et ailleurs danser dans des cabanes de récup, bouffer des orties et rogatons divers avariés, que continuellement chercher à crever sur le mâchié du travail sous Xanax (sponsorisé).

Bien content malgré tout, d'être taré,

bizarre,

inadapté,

extemporaneous,

autre foie une anomalie employé,

et de tenter de trouver de nouvelles idées, de bricoler et d'expérimenter, plutôt que de m'adapter à votre futur radieux et irradiant

si flamboyant Merdier de 49,6 degrés (Canada Dry)

Insta gram de coke,

porc cayenne

sans climatisation,

ni SUV tout équipé-profitez-en-vite.


Oui, oui, c'est moi,

l'un de ces riens, de ces

ces chaotiques, mutants, varans, verlans, verrues, véreux, terreux, vireux, vautrés,

improductifs!


La biz'


ness

loques


*Le prénom a été modifié.


PS PCF FTP :

si t'as pas de Rolex à cinquante ans,

bah,

t'as juste pas de Rolex,

en fêtes

du slip


delta blues

sex

girolle

reine des prés

pute

perforeur

purée

dissipez nerfs

fluxus m'habite

travailler à lamine

gaga

oxydent du travail

claude fuel*


x

samedi 17 juillet 2021

Parution du livre "2020 : L'année où le cyberpunk a percé" de Mathias Richard


2020 : L'année où le cyberpunk a percé
de Mathias Richard

En réponse aux impossibilités multipliées depuis mars 2020, Mathias Richard publie en juin 2021 un livre fort, drôle, presque fou, entre poésie, cri et pensée

Contrairement à ce que son titre pourrait suggérer, 2020 : L'année où le cyberpunk a percé est un livre très humain, à fleur de peau, un « livre de survie ».

Dans ce texte écrit entre mars 2020 et février 2021, Mathias Richard partage avec nous des pensées, des réflexions, des poèmes, des humeurs, des visions, des perceptions, des sensations, des élans, des folies, des témoignages, des confidences, des blagues, des désespérances, des ambiances, des mantras.

Ou quand une crise extérieure rencontre une crise intérieure !

***

"Les passages fulgurants se fraient un chemin dans l'accumulation et le récit passe par plein d'états et de formes. L'ensemble fait sens et c'est un journal de bord qui change de ce qu'on a et qu'on va avoir." (Sylvain Nicolino, Obsküre Digital Media)

"Ne cherchez surtout pas un journal-de-confinement : l'année 2020 n'a pas eu lieu... En un temps où la modernité est en déroute, terrassé par le Drapeau Noir, voici un journal envide qui est aussi carnet de survie et recueil poétique." (Fabrice Thumerel, Libr-critique)

"Mathias Richard est un artiste : il a le don de l’aphorisme, celui de la trouvaille poétique et la clairvoyance de l’observateur à l’étroit dans ses confinements sanitaires, sociaux et littéraires." (Patrick Cintas, RAL,M)

"Partout dans ces textes, une compréhension intuitive de la réalité. Pour Mathias Richard, avant de ne plus penser, de refuser de penser, de ne plus rien écrire, de ne plus rien vouloir [ou pouvoir] écrire, de ne plus faire parler le souffle ; avant de fuir les apparences, l’urgence est de girer dans les couleurs, de courir tel un funambule au-dessus du vide et de ses hypothèses." (
Régis Nivelle, Lithoral.fr)

***

Acheter le livre sur le site des éditions Caméras Animales :
http://www.camerasanimales.com/commander.html

Présentation du livre sur le site des éditions Caméras Animales :

Présentation de l'auteur sur le site des éditions Caméras Animales :

Présentation du livre sur le site de l'auteur :

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Quatrième de couverture :


Mathias Richard photographié par Arina Essipowitsch

jeudi 1 juillet 2021

vive la farce

 vive la lie, vive la gale,

vissé à la terre, vive la Farce, vive le Rance,
note bau payé des maux crass
sous haute surveillance
c’est surtout de la basse cour
de sous-vaillance de poux laids
mais ce n’est qu’une rumex
monsieur le comisère
commérages de sous vaillance en sueur à l’égoutte
c’est assez drône toussa mais assez gravat
le fin’lallemand
des lyres lbd
morts-au-rat mon dégénéral
dents du nain qu’à pas citer de
dia loggé avec son sang
bla
bla
sans rein
creux yoeufs crevés
idées dyalisées
dents du nain passent
en jogging
le né crasé
le résidu de la Farce
de qui se moqueront
c’est la fête d’ul tradingue
en s’emmanuelisant tout euro qui
laid l’
ultra lêpriste
a
version
cro-mag
casse textes
Il y a les caméras intelligentes connectées mais existe t’il en corps quelques reliques de
cameras débiles* qui déconnent et se sucent la moelle déconnectées ? 
le camé rat luit dans le salon au pieds des stal néons ruraux
la chambre noire est ci git fossile à atteindre
sourires infâmes
sous le présent ciel distandu
L’assasin s’irrite sert le thé
Comment faire un cake de fake carié
quand le train avant ne fait que qu’arrière
la friture alchimique
la peau et tiques qui pneu mots nient
Nouvelle
demande de mites à l’amanite
go gogol go golgoth go golmotte lazer
retour à later
le censeur sauce yale rougissant
Et teindre la faim de l’ordonnateur
Et tendre l’oreille à
l’or rayé qui sait si bien boire le vent
et voir
sa viande rouge à l’oseille

...
*[caméras animales]