vendredi 3 décembre 2010

Nimbée de blanc, les vies des uns et des autres, à tort, s'intériorisent uniquement en face. La soirée du Pierrot ne doit pas répondre à la triste lune, par charité. Les pieds valsent et les mains sentent.
La vie, en son sein, doit voir les dents qui vagissent. Elle s'y refuse...et maintenant, nous voilà bien à nous croire. Rien de plus qu'un oubli quelque chose ne va pas les belles dents arrivent sans cesse à ce but en moi.
Puis le cerveau s'arrête un moment - oui, ce cerveau à moi s'arrête tout de suite. Et voilà -, je me présente à moi-même : bonjour voici moi. Aaah. Charité ? Oui, pourquoi pas, mais impossible de me reconnaître sans quoi j'aurais déjà cessé d'être né.
Arrivé au bord ? Ce n'est que sa ruse. Rebroussez chemin. Chaque jour, tout est semblable et rien ne fuit. Rien ne doit nous sauver, rien n'est, nous ne connaissons rien et ce sourire étrange.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire