Vous savez, je l’ai compris depuis peu : écrire ne sert à rien.
Je veux dire, ne protège pas contre le désespoir ou la dépression.
Je l’ai cru, lorsque j’avais dix-huit ou vingt ans. Plus maintenant.
Non, écrire ne guérit de rien… On recoud la plaie au fil des mots.
On enfouit le mal sous l’écorce du langage. La plaie se referme, ligneuse. En dessous, ça s’enkyste. Ou ça suppure."
une douleur de la langue : il dit que les mots ne disent rien.
une temporalité troublée, toujours décalée, et même l’errance est toujours circonscrite, tournant finalement en rond dans des espaces clos, deux bancs de boulevard ou un carré entre deux tours d’immeubles.
Les enfants de l’actuel , qui hantent le social et certains divans ne sont pas tous psychotiques ni même pervers, loin de là... Mais si la folie enferme dehors, ceux dont je parle sont exclus de l’intérieur.
tout ce que j'ai fait jusqu'a ce jour n'auras de sens pour autrui que le jour de ma mort car c'est tout ce qu'il restera d'une vie de solitude et de chagrin amère de douleurs et souffrance veine a lutter contre l'ironie du sort et la fatalité, a comme tout un chacun être prêt a se damner éternellement juste pour être aimer et finir livrer a l'oubli ne devenir qu'un vague souvenir qu'il en soi ainsi ...
il n'y a de futur que cet ici ce maintenant ce status coéxistant avec ce moi projeter sur le mur de mes émois que je tue et fracasse et foudroie jusqu'a ce qu'il n'en reste rien et que renaisse d'instinct cette projection qui lie la création virtuel a la fiction qui est une forme de conscience au dela de toute science... je suis ce bruit qui lui aussi est un silence si chaque mouvement peut étre une danse ...
Vision de vie et hallucination lucide qui dérive en l'exploration de l'inconnu que nous restons pour nous même qui fait que l'on passe nos vies a se demander a nous même mais qui est tu ? c'est vous ou c'est moi ? nan! c'est toi!!! ha! ha! ou p't'étre bien que c'est nous ou que c'est la spirale de nos dégoûts et de nos délires de fou qui s'ignore qui cri victoire je l'ai eu ce soir encore 1 fois mon ego est mort .
Que porte ce contrat entre deux âmes tendres et honnêtes? les obligations en sont plus fortes et plus faibles, selon les degrés de sensibilité et le nombre des services rendus, etc.
il n'y as pas d'amour a ce qu'on dit il n'y as que des preuves d'amour alors qu'en est il de la haine, n’existe elle pas que par la preuve d'un incommensurable manque d'amour et si de l'amour peut naître la haine il se peu que de la haine naisse l'amour, quand le manque, le vide, devient trop plein, et vice et versa, tour a tour, amour et haine sans pouvoir se passer l'une de l'autre se joue de bien vilain tour
le coté subtil de l'amour n'est ce pas justement la non exclusivité comme doctrine et plutot comme une preuve de libre arbitre de réciprocité une chose qui ne dois pas étre désirée mais qui dois étre tout simplement "étre" d'elle même etre naturel et couler de source bref aimer n'est ce pas l'inverse de s'approprier les choses ou les autres n'est ce pas justement faire preuve d'empathie et de partager leur bonheur dans une réciprocité qui tient du miracle cela parait peut étre utopiste ou niais ou abstrait mais pour que les choses arrive ne faut pas il commencer par y croire et la haine de vient elle pas du dégout de la frustration de la résignation ... bref paroles de célib a terre a terre qui a le regard lever vers le ciel comme si la vérité était dans les étoiles
... la conservation de l'âme vas de pair avec la memoire de notre histoire qui suit son cours commme le fil de l'eau et imprime ses souvenir dans la pierre dans les mur et dans les esprit ... la seine est une fainéante qui sort rarement de son lit pourtant il suffit d'une goutte pour que deborde la vase ..
je crois que c'est universel ... l'ésprit critique... et si il est developper ici en france et ailleurs je crois que c'est uniquement grace justement a la pensée universaliste d'une certaine façon et que l'évaluation devient critique négative quand elle se frotte a l'absolutisme bref si on ne préche pas les convaincu alors ces dernier n'on rien a apprendre et sont en proie a la bétise et tout ce qui contrediras leur point de vue sera critiquable puisque non conforme a leur perception du monde ... sur laquelle en plus il sont plusieur a s'étre mis d'accord ... bref moi je ne suis ni d'ici ni de la bas et un peu les deux a la fois et un peu de partout aussi ... et ceci dit j'ajouterais aussi que malgré tout le fait de pouvoir tout critiquer est une marque de tolérance dont on ne peut se priver et tant que il y as de la censure et de l'interdit il y a de l'abus ...enfin je crois ... et si l'ésprit critique se travaille je crains qu'a l'inverse de mon statut a notre époque ce qui inspire les critique "négative" et destructrice sont plutot les mass media et la societé de consomation qui influence la morale de la societé oui l'esprit critique se travaille et les publicitaire l'on bien compris et c'est ce qu'il font au quotidien il nous travaille comme la propagande politique et tout cela ne vise qu'a l'affirmation d'une pensée unique simpliste fondée sur nos instinct primitif quelquepart qui nous rende plus prévisible et donc plus facilement manipulable .... alors la critique que je dénonce serait celle du chien enchainé qui plaint le chien errant qui n'as pas de toit ni a manger mais qui conserve sa liberté.... bref les mouton critique les autres mouton sans se douter un instant que leur berger son des loups ...
l'amour c'est devenu bien souvent presque comme si on jouais a la roulette russe oui l'amour est insaisissable comme les rêves et c'est ça qui le rend merveilleux et magique et justement il ne faut jamais y renoncer c'est pacque qu'on crois a ces rêves qu'on leur donne une chance de se réaliser et n'oublie pas que l'amour n'est qu'un concept poétique qui n'est pas si vieux que ça tu sais il est libre et il t’échappera a chaque fois que tu essaiera de l'enfermer de l'attraper l'amour c'est comme la vie... tu ne peux que la regarder passer... sans jamais pouvoir le temps arrêter... l'amour t'oublie a chaque passage... oui c'est vrai surtout si tu lui retire... cet ingrédient sans lequel il ne saurais exister: la liberté... car l'amour c'est la définition qu'on s'en fait... pour se changer et changer le monde.. il faut commencer par changer... sa manière de le regarder.. je ne dit pas que c'est facile... loin de la
si vous voyez une différence entre le virtuel et le réel il serait temps d'abolir cette frontière imaginaire car la réalité englobe le tout autant que le rien peut faire partit du tout, si le virtuel est une extension du réel alors je suis un être virtuel car je pense que nous ne sommes que ce que nous pensons être capable de nous imaginer et qu'il n'y as de limite que la mort, et surtout d'une chose c.a.d, de l’imagination... partant de la je n'existe pas, du moins, je ne pense pas être au sens ou tout le monde l'entend car tout simplement je suis ce que je dois être une projection de la diversité des possible et de l'infini complexité interactive de ce monde mutant juste un mirage une ombre qui passe une illusion une image un sentiment profond une réalité virtuelle et augmentée un paradoxe un rien et un tout un vide et un trop plein de non dits d'imprévisible et programmé de bug existentiel, j'ai vendu mon âme a ses mots dits puissent-ils me remplir d’esprit de silence profond si je ne suis qu’errance j'irais la ou m'attend mon existence, mes rêves et mes cauchemars m'attendent au détour d'un regard, si il ne reste que des souvenirs, nos vie finissent par devenir des fiction, une histoire qu'on se raconte, et qui se transmet au fil des génération, si il reste encore des chose a dire la forme ne fait que épouser le fond, si on est tous dans la même galère si on a pas encore toucher le fond et on peut encore briser nos chaine et croire en nous même, gouter a la liberté quitte a l'arrachée a la force de nos dernières volontés... toutes les blessure donne des histoire a raconter, la réalité est si dur si compliqué qu'il vaut mieux être détacher, sommes toutes, virtuel ou pas, c'est tout un art de savoir se raconter, de conter son histoire de la rendre sublime et d'y mettre du suspens et tout les ingrédient qui pourrais nous aider a nous distraire de nos souffrance qui elle n'ont rien de virtuel ...
être un bon a rien c'est un job a plein temps ... si il faut de tout pour faire un monde alors c'est une façon comme une autre de se rendre utile ... hum ... anyway ...
le discours volontariste du si on veut ont peut, ne fait naître que plus de désespoir, injustement chez nous, a l'inverse, étre capable de connaitre nos limites, même si cela donne l’impression d’être résigner, c'est aussi être modeste et modéré, deux choses bien rare par les temps qui cours, certain marche joyeusement ensemble au pas, pendant que d'autre s'envole, et même si ce n'est que lyrique, l’atterrissage n'est pas une chose qu'on réussi a tout les coup, c'est peut être pour ça que prendre soin les uns des autres devrais être la seule chose qui a de l'importance, et pourquoi on fait mine de l'ignorer, car on sait que l'adversité parfois n'as pas d'issue, que l'histoire ne se termine pas bien, on meurt tous a la fin, et si cela nous terrifie déja en soi, le pire n'est pas la, car le pire c'est que contre l'autodestruction il n'y a aucun pare feu ... si ce n'est pas la dépression qui a raison de nous alors ce sera la drogue, l'un dans l'autre tout est question d'équilibre, et tout ce qui ne se regenere pas dégénère fatalement, c'est la raison d’être de l'art de la littérature, car il ne s'agit pas de nous guérir d'un mal imaginaire mais plutôt de nous réinventer...
L’individu est mis en place d’objet, avec assistance maternelle. Le désir est réduit au besoin. On assiste à une véritable promotion du droit à : droit à l’immortalité, droit à l’enfant. Tout devient produit consommable lié à la marchandise et à la productivité,..
Notre passé notre histoire notre souffrance est niée tronquée par notre besoin de se rassurer d'oublier et comme on ne retiens que le pire alors on transforme nos souvenir en ne gardant que le meilleur croyant pouvoir échapper a notre destin qui auras raison de nous a la fin malgré nos paradoxe temporel qui crée des fissures dans le tissus de l'univers le continu-homme espace temps...
affecté du signe moins en effet par rapport à la négativité, un « moins de moins ». Ce signe moins je le marquerais plutôt dans un excès...car, à les entendre, que retrouve-t-on le plus souvent ?
Le cœur est un métronome et il s'accorde a la mélodie du destin c'est pour ça que quand il perd le rythme et n'est plus synchrone le monde entier semble être un chaos un capharnaüm une cacophonie pourtant le tempo comme le temps sont élastique et il s'en faut de peu d'un court silence d'un hasard d'une coïncidence pour retrouver une nouvelle harmonie une nouvelle expérience mentale et spirituelle un peu comme si l'univers tout entier nous chantait que nous ne sommes qu'un bruits dans cette musique qu'est l'infini c'est pour ça surement que la danse de nos esprit nous libère d'un néant absolu et crée comme une déchirure dans l'espace temps comme un cri dans la plus longue des nuit ...
moi je suis pour l'égalité a ce compte la autant détester tout le monde pacque comme ça on a pas besoin de se trouver des raison de le faire et puis on s'évite les montée d'égo et de démago ...
ce qui est dommage c'est surtout que si ce public s'ouvrait a la nouveauté et ne devenais pas obsessionel dans leur fanatisme il écouterait bien plus de chose et se cultiverais l'ésprit et ne pourrais pas tomber dans les vap et en adoration pour un artiste plus qu'un autre ... une seule chose est sur pour moi c'est que la grace l'excellence et la beauté son rare et qu'au contraire la mediocrité est la norme d'une certaine façon, aprés les comportement des gens sont les même dans la plupart des millieu c'est humain et même dans le millieu des free du rap etc ...les gens on tendance a rester dans leur délire et a étre peu ouvert d'ésprit et sans ouverture d'ésprit la création devient obsoléte, si les gens n'était pas en compétition en permanence il n'y aurais plus de super star, seulement des artistes ...
je crois que le jour ou je m'en étonnerais plus je devrais me faire du soucis pour ma santé mentale, sans parler de culture c'est effectivement un phénomene social qui montre un certain désequilibre émotionnel et en soi c'est un échec de l'éducation que de nos jour les jeune fille en fleur tombe dans les vap comme si elle rencontrais dieu... bref c'est avoir peu d'amour propre que de se laisser deborder par ses émotion pour quelqu'un qui ne pourra pas nous rendre notre affection... et bon l'amour c'est une histoire aussi d'empathie alors cette adoration et forcement malsaine car si on a pas de compassion pour soi même il est dur de se dire que les sentiment qu'on a pour autrui sont authentique et non juste l'expression d'un vide d'une carence affective, et surtout que si l'on est incapable d'étre passionner pour soi par des chose profonde qui font vraiment écho a qui nous somme, c'est pacqu'on ne crois pas qu'on soit digne d'attention et qu'on hierarchise son rapport a l'autre... bref c'est du local global et c'est un des samptome du mal de notre époque tout de même car avant que ce soit des artiste c'était des roi ou des saint qu'on adorais ou même des dieux et les star ne sont que des personnage fictif eux aussi.... et tout cela est symbolique du fait que l'égalité n'est pas un concept compris du commun des mortel et les gens adorent les privilège et n'adorent le grand vyzir que pacque inconsciemment il pense que même si il ne se crois pas capable de l'égaler il réve secretement de prendre sa place, et ce qu'il aime c'est l'empathie que leur envoie cette idole en carton son sentiment d'étre repus et gaver d'attention et d'affection chose qui est bien sur aussi une illusion et qu'en réalité connaisse seul les gens simple ceux qui ni ne rabaisse ni ne met les gens sur des pied d'éstale le plus haut pérché possible car la vie est un spectacle et que tout le monde n'attend qu'une chose c'est la chute ....
ce que j'aime bien dans le principe du "tous pourris" c'est que les gens ne termine jamais leur phrase, et n'ajoute pas ce "sauf moi" qui donne tout son sens a cette expression ...
rien n'est a moi, et le savoir pour moi n'as aucune valeur si il n'est pas partager car notre histoire c'est juste l'histoire du monde et puis tout cela relève d'une intuition d'une sensibilité qui si on la partage est au dela des mots qui ne sont qu'un vehicule pour nos émotion et dans tout ça l'important est d'arriver a bonne destination même si on ne sait pas vraiment ou on vas, pourvu qu'on profite du paysage
il n'y a plus rien c'est pour cela que de nous comprendre tient presque du miracle comme notre survie dans ce monde avare et avide, a mon gout seul les poéte savent flirter avec une incertaine vérité
je reste égal a moi même et comme tout m'est égal dans tout les sens du termes que j'y mette les forme ou pas le fond reste le même ...
faire de l'esprit au travers de vers qui dessine l'indicible et en nos coeur trouve une voie qui fait que nos regard tous unis vers le ciel nous inspire et nous fait retrouver cette magie de la poésie qui donne ce gouts a la vie qui ne peut que nous emplir de gratitude et qui fait que je me dois d'un merci
les idées sont porté par les vents et les grands esprit se rencontre en ce point précis cette 'exception cette synchronicité fruit d'un hasard qui n'existe pas ... d'ailleurs je crois que en fait c'est précisement ce qu'on appel un signe et il semblerait que l'univers a quelquechose a nous dire ....
le monde pour moi n'est que nuance subtile, nous sommes tous des funambule qui tente de garder l'équilibre sur le fil tendu de notre existence linéaire et ma propre nuance a moi c'est que je n'ai plus peur de tomber ... mais je suis comme tout le monde je m'accroche et j'ai beau tendre les bras je ne trouve pas l'equilibre c'est une chose qui vient quand on y pense plus et que le détachement nous laisse gouter un peu de légèreté et de liberté ...
il est amusant pour moi de penser que l'humain du futur a cause justement de l’évolution, ne parleras plus le même langage que nous, et il semble logique, qu'un mode de communication autre que la télépathie ce serait en fait de communiquer par un chant perfectionné et sophistiqué ou les changement de ton de note et de rythme remplacerai les mots qui ne sont pas si efficace a exprimer les émotions et rendent nos dialogue peu fluide, alors que déja dans bien des langue on entend cette tonalité proche du chant, qui porte en elle une forme d'universalité par le biais de la mélodie, qui retranscris tout en nuances subtiles la danse des sentiments qui accompagne cette parole qui comme l'eau est rarement potable, qu'elle coule a flot ou pas, ce liquide il en faut de peu pour que dedans l'on se noie, il se solidifie au contact du froid et s'évapore avec la chaleur des corps, et si au commencement était le verbe, alors il est la vie elle même, m'enfin que serait il sans le son si ce n'est que ce qu'on peut entendre, m'enfin partant de la l'on peut comprendre pourquoi les gens aime tant s'écouter parler, et nous font gouter a leur ivresse que pourtant l'on supporte pacque dans le fond on a tous la même attente et qu'on se dit, pourvu que ça chante ... car dans le fond l'on est pas séduit par les belles paroles mais seulement par les belles mélodie qui compose la symphonie de la vie et c'est celle la même qui nous enchante ...
trop blessé dans mon ego pour supporter qu'on me flatte je n'aime les critiques que quand elles sont constructive trop se mentent a eux mêmes et aux autres et empêche leur réalisation en faisant comme si tout était acquis qu'il suffisait d'un bravo ou d'un merci, d’expérience je sait que les gens de parole sont rare et la parole est dangereuse si elle n'est que du vents qui conduit au néant ...
Meow ... non je n’essaie pas de noyer le poisson ... je le fait c'est tout ... chat alors !!! ...
ce que l'on imagine jamais ne connaîtra la ruine ...
tout est destiné a disparaître on n'est jamais vraiment riche d'autre chose que de sa propre imagination, pauvre de nous simple mortel, si l'on ne vas pas d'une façon ou d'une autre au dela du réel ce n'est que pour découvrir que la banalité de la réalité a tout de l'enfer et de la damnation, après tout le paradis ce n'est qu'une vue de l'esprit un noyau abstrait qui nous reste inaccessible tout comme la perfection, ou l'infini, de nos point de vue limité qui n'est lui aussi tout autant que le reste d'ailleurs que l'idée qu'on s'en fait, un concept cruel qui vient souvent a rappeler a notre mémoire saturée que seul les mort connaisse vraiment assez celle ci pour donner un sens a cette notion même d'éternité, qui réduit a un instant notre existence dans cet espace temps, un sursaut un vertige avant de retourner au néant ...
la seule vertu n'est elle pas de rester digne en toute circonstance ? ... a moins que cela ne soit un luxe que seul ceux qui connaissent un vrai détachement puissent expérimenter... n'est il pas ... plait il ... hum ...
je crois que c'est ma fin de non recevoir qui s'exprime ici, a chaque jour suffit sa peine, et a parler a des mur et brasser du vent on a vite fait de se fatiguer et de ressentir de la frustration nous ne sommes qu'humain et c'est ce que l'on ressent je crois quand les autre ne partage pas notre enthousiasme, cela nous renvoie a notre solitude et a l'ennui qui en soi n'est rien d'autre que justement cette idée qu'on a qu'une seule vie et l'urgence d'en profiter avant que le temps imparti se soit écoulé...
j'ai fait le vide dans ma vie j'ai fait de l'espace pour me rendre disponible comme si je préparais mon départ et mes au revoir et adieu demain je serait autre ce moi sera oublier il ne resteras rien que des bribes de souvenir et des regret pour certain peut être ai-je voulu être un artiste mais ce n'était qu'un leurre comme si j’étais sur le seuil d'un devenir au porte du mystère cherchant le courage de franchir ce dernier pas qui seras le premier d'une nouvelle vie d'un nouveau je, combien d'entre nous en reste la, a se poser la question, j'y vais ou j'y vais pas? si j'y vais cela seras cause de trouble et si je reste ce sera tarif double, bref être artiste c'est être sur le seuil de découvrir la vraie nature de l'univers ce qui fait la différence c'est que certain reste centré sur l’œuvre sur le produit de leur pensée c'est un peu comme changer le monde pour se changer soi même comme pour la religion ce n'est qu'un pas vers le mysticisme et franchir ce pas pour moi c'est se changer soi pour changer le monde et focaliser toute sa conscience et sa créativité a la recréation du moi a sa transformation profonde qui devient une émanation de l'intention ou une connexion a haut débit avec le réseaux interactif et intergalactik et interdimentionnel tout est interconnecté et devient extra sensoriel instinctif et évident comme l'instant présent ....
En définitive, la science la plus “ dure ” étudie le domaine où la confusion des frontières est la plus grande, le domaine du nombre pur, de l’esprit pur ...
il est mieux que chacun sache ce qui est bon pour lui et qu'il est inutile de vouloir faire bien... car ça ne suffit pas, surtout si ce qui est bon pour soi ne dois pas l’être au dépend des autres, et c'est précisément ça le mal en soi, de se priver du bon sens qui nous fait deviner que tout est lié, le bien comme le mal qu'on se fait profite aux autres, et le mal qu'on fait aux autre ne nous profite jamais, ou pas au sens ou il y a toujours un retour de bâton, mais au sens ou si l'on se crois indépendant des autre, insensible a leur souffrance, alors on ne peut être que seul, ...
voila le chaos et la fin des temps que certain prophète nous prédise en soi c'est cette époque de l'isolement de la solitude profonde pas simplement des corps mais de nos âmes surtout si l'on peut nommer cela ainsi, car on pourrais parler de notre raison d’être, et qui n'en a pas, en soi n'est rien, si ce n'est une coquille vide ... et si il est une chose que tout le monde répète a tue tête, a en user le sens c'est bien cette évidence, que notre raison d’être c'est justement les autres, mais pas au sens ou on le dit et l'entend, bien souvent en ne pensent qu'a nos proche a notre famille, car cela va bien au delà, car ce qui nous lie c'est la vie alors les autres c'est en soi tout ce qui en est l'expression au delà des forme et au sens le plus profond qui puisse être dans un infini dégradé de nuance ...
...le monde est trop grand pour notre comprehension et on s'en fait une image fausse si on le réduit a la petite dimension de nos petit cerveaux... voila pourquoi on parle d'ouverture d'ésprit car c'est en depassant ses propres limite qu'on commence seulement a avoir un apérçu de ce que sont vraiment les chose en réalité...
tout est mouvement perpetuel et rien n'est figé même si on reste immobile la terre ne s'arrette pas pour autant de tourner et si l'on pense par soi même nos idées finissent par nous changer nous même et même par changer le monde car tout est lié et que l'existence est un paradox et un mystère qui fait que l'énergie circule celle la même qu'on aime a appeler magie et qui nous anime ....
Pour ma part je n'ai pas ma memoire c'est plutot elle qui m'as car si j'arrive a me souvenir de moi même c'est déja ça car ces souvenir qui m'on construit peu importe qu'il ait sombrer dans l'oubli ou pas car c'est de cette maniére que l'on est construit le vécu devient une partie de nous même et éfface les souvenir de... nos mêmoire qui donne forme a nos âme et deviennent la substance de l'esprit ...
si tu sait comment fonctionne la mêmoire dont la définition est claire : la memoire c'est la faculté d'oublier ... alors si c'est cela avoir la memoire pour soi ... ok ... mais je ne vois pas la difference avec la fabulation ...
encore faut il avoir le gout du mystere pour n'avoir rien a cacher et ne pas se laisser aller au jugement de valeur sans oublier que il n'y as pas une seule vérité il y as juste une infinitée de possibilitée et d'innombrable point de vue le reste est du domaine de la foie ... et moi ma foie c'est de ne pas faire comme ...si je savait alors que je ne sait pas ...
plutot inquiétant pas du domaine de la simple causalité le paradox c'est qu'il y a aussi ce qu'on ne peut expliquer...
l'on Vous aime bien mais s'en fou totalement de votre vie de vos amours et du reste je suis comme vous je veux du flouz et du sex je veux qu'on m'aime même si je haie tout le monde je veux être le centre du tout et du rien et que quand je parle tout le monde se taise et non je ne veux pas votre bien ni votre mal je veux juste qu'on m'adore et qu'on me brûle comme ces idole sur l'autel de la suffisance ...
... comme si la notion de choix de l’économie de marché s’était emparée des représentations collectives et individuelles. Tout un chacun est incité à consommer le produit quitte à devenir lui-même objet de production comme finalité ultime.
l'expression "être brancher" somme toute était prémonitoire ...
il faut d'abord se perdre pour se trouver et sans cesse recommencer pour se retrouver si le seul bénéfice vrai est celui de douter alors on peut le faire en y trouvant un peu de sérénité en étant détaché mais entre ce qu'on pense ce qu'on dit et ce qu'on fait ... le faux le vrai rien n'est sur et le sens devient un gouffre sans fond le bord d'une falaise d'ou on est prêt a se jeter sans aucun regrets...
je ne suis qu'un reflet et le monde est un miroir ...
les choses du cœur sont un festin pour ceux qui meurent de faim, l'amour est une autre forme de cannibalisme ....
Comme ils vont molester, la nuit,
Au profond des parcs, les statues,
Mais n’offrant qu’aux moins dévêtues
Leur bras et tout ce qui s’ensuit,
En tête à tête avec la femme
Ils ont toujours l’air d’être un tiers,
Confondent demain avec hier,
Et demandent Rien avec âme !
Jurent « je t’aime ! » l’air là-bas,
D’une voix sans timbre, en extase,
Et concluent aux plus folles phrases
Par des : « Mon Dieu, n’insistons pas ? »
Jusqu’à ce qu’ivre, Elle s’oublie,
Prise d’on ne sait quel besoin
De lune ? Dans leurs bras, fort loin
Des convenances établies.
Il a le don de connaître le passé et l'avenir mais ne l'exploite pas. Il est poète, musicien, météorologue, mais ne rime, ne compose, ne prévisionne qu'au secret de son cœur. On le croit alchimiste mais n'a jamais rien transmuté. Il a par contre perfectionné l'art des visions entoptiques et les voyages astraux. Ses pouvoirs et attirances magiques auraient pu faire de lui un astronome, un cosmonaute mais il répugne à équationner les paysages de l'âme et plus encore se révolte à l'idée de « conquérir » et « exploiter » les divins infinis.
La passion s'accroît en raison des obstacles qu'on lui oppose... Extrait de Tout est bien qui finit bien [William Shakespeare]
“The gravest error a thinking person can make is to believe that one particular version of history is absolute fact. History is recorded by a series of observers, none of whom is impartial….The wise person, then, views history as a set of lessons to be learned, choices and ramifications to be considered and discussed, and mistakes that should never again be made.”