Cette impression « sauvage » que quelqu’un « aime » quelqu’un, un autre quelquonque
En coin, sans miroir ni édifice, juste des « je » qui se trouvent malgré tout entre-eux.
Cette impression qu’un quelqu’un rencontre « aime » en lui demandant « gentiment » s’il veut bien être en « aime » avec lui, sans lui soutirer quoi que ce soit, ce ne fut son « amour »
Pour lui même, ou que ce soit rien d’autre que de la foufoune à bite présentement, avec lendemain, peut-être que quelqu’ « amour » soit ou fût.
L’ »impression » dévorante d’étrange, selon la trace, de « amour » en plein soit d’abord et puis sur l’autre ensuite, sans forcément une suite en suite, et sans forcément des forceps pour pénétrer l’étrange. La douleur, le symbole, la promise « cuitée » l’attention vers l’autre, l’autre sans qui pénétrer davantage porte, en « amour » quelque chose de plus que de la baise au moment voulu, poilu et dévolu.
Sans rien en tirer d’autre que de tirer quelque chose de l’autre en partant de soi vers l’autre avec celui d’en face, fini en fesse ou presque. Car « amour n’est pas forcément fleuve de cul, ni toujours, il est « maour » parcequ’il n’existe pas au moment présent de la rencontre, mais qu’il se nomme « amour » juste après ou pendant, suivant le fil du temps, qui se construit dans l’intérieur des deux ou trois êtres d’où l’amour, déchu, échoit ; c’est en fait un choix, que l’amour fait en « patience » ou en « speed » en tout cas en présence d’un autre qui ne le sait pas forcément quand l’autre pense « amour » mais qui est la tige qui se tend profondément entre un être et puis un autre ;sans forcément que l’un ou l’autre le sache.
En vertu des lois d’ « amour » sur le marché, il faut beaucoup de patience, en définitive pour comprendre et entendre qui, de celui devant soi, crise d’ »amour », ou ne répond obstinément pas à la demande. Dans certains pays des attributs permettent de comprendre l’ »amour » : déçu ou choisit ou en « amour-futur » il y a certains animaux, dont le rût permets d’entrevoir l’ouverture de quelque fente qu’il soit où qu’elle fût. Le Paon, fait la roue, l’ado acné fait la roue, le vieux fait la troue, le moins jeune fellation, le plus vieux fait la trituration, le foetus la transition ; tandis que toutes ces demandes : un jour, si « amour », en fait, existe, ou n’est pas autre chose qu’une invention de la part d’un être envers un autre et que tout , en définitif, fut construit suivant des règles bien précises : sociétales, gouvernementables, porte-mentables, armoiries et tiroirs à double fond, pardi je n’invente rien ! alors « amour « en un sens religieux est fusion mais ne peux en aucun cas transfiguré un être vers l’autre sans y adjoindre son propre soi ; c'est-à-dire, en tissant des liens beaucoup plus nombreux et décousus que l’amitié, le regard, les attouchements, les caresses, les branlades, les embrasses etc, etc…
Dépasser, les limites d’un esclavagisme forcené comme certaines moi et je l’entende en vers vous. « amour » est très disposé à s’aimer, c’est un fait, à condition qu’il s’échoit de lui même dans sa propre viande, envers lui-même tout d’abord, ou le contraire, dans sa propre pensée.
« amour vise le déclin de l’empire du mal sur le sien. « amour » régule les passions, c’est un fait, mais il n’est rien qui puisse craindre, normalement de l’un à l’autre une fois fait et consommé ou tout simplement en secret et secrété la nuit seul dans un pieu. Comme mettre l’autre en « amour » abîme de l’inconscience quand, devant soi, rien ne puisse faire penser et présager ce tourment. Car « amour » est un tourment inventé par des pseudos –romantiques à la mord moi le nœud intérieur, des organes qu’on vas (léchant) laissé aux chiens , niches, sacristains et autres permanoncules de fleurs en bourgeons même en hiver et surtout en juillet sur des plages remplient de cœurs en émois, en succédanés de fleurettes zé de nombrillisme bronzés.
« amour » est un fleuve à craindre à moins que l’on soit assez faible pour s’y baigner dedans et y puiser toutes les maladresses humaines ainsi que leurs malheurosités monstrueuses, quand elles ne sont pas menstruelles. Il est bon de rappelé que les mâles autant que les femelles sont en normes, donc normés et que les femelles autant que les mâles ont des bites intériorisées autant par leur sexe introvertis, que par leur pensée sexuelle. Les femelles se gardent bien de sortir leur bites de leur corps et le mâle de se la rentrer par l’anus ! Il est à craindre que de nos jours, les émois soient comptés tels des ventes d’aphrodisiaques en grande surface ou dans les bureaux de libre- sévices ! « amour » étant ce qu’il est (un enculé de première) laissons le là un instant, pour comprendre la pauvreté humanistique dont les f=références vont bien au-delà de la création. Les aléas d’ »amour », ficelles spycho -péda-gogiques ne s’en saignent qu’à longueur des années, comme des patins que l’on dresse sous ses pieds pour ne pas ruiner le parquet. Il y a déférence et instrumentalisation comportementale du « bien « « vivre » « ensemble » en harmonie donc. L’essentiel étant de joindre le bonheur au malheur qui sans nul doute s’étiole tel un pissenlit en plein été ou qui se retourne une fois le soleil couché comme les tournesols ! « amour « est rut, rude, pur et pourtant, il agonise (ou le devrait) !
Il ne simplifie en rien la tâche de vivre humainement ensemble ; au contraire, il peut –être narcissique autant que prêcheur de glaviots. Il peut-être lent, court ou long suivant les habitudes des aînés ; pardi, on y avait pas pensé, seulement soulagés : Ces aînés qu’on endure, catastrophiquement, castrés, rennes et valeurs violeurs oblige n’est en aucune façon une réponse à l’humanisme gerbé d’ici et là par des penseurs qui devraient penser à la ponce plutôt qu’à la ponte. Ces enfants lugubres qui piaillent et s’étalent de père en fils et de mères en filles, des cadavres hurlant de douleur pour juste un peu de douceur de temps en temps ! les prêches de prêchi-prêcha-pêcheur de tout crins à vide d’eux même sexes- criment tel des mort-vivants sur toute la surface de la terre émanant de tristes horizon futurs.
La prouesse actuelle est autant d’authentifier le mal en le suggérant comme « bon »- « mal » et ainsi d’en rester toujours aux mêmes avis linéaires et de surfaces et d’entrtenir du : « quand dis-moi je t’aime ne me le dit surtout pas ! » « mais dis-le-moi-quand même-au-cas-zoù ! »
Quitte à se prendre une « branlée » , de se faire « jeter dans les orties » ou de se faire rembarré en devinettes de carambar, malbarré tout ça ; je ne vois en « amour » que de la fuite de sens prêchant l’inévitable prison risible d’où l’on ne peut que vouloir un jour s’en échapper.
« amour » trou du fion, ficelle à fissure, cicatrisation cautérisée en fixation immortelle, je te nique la tête d’où je peux voir d’ici le fond de ton rébus de crâne à l’œuvre en levrette.
Didier Calléja Koeurspurs DKP
Lundi 8 mars 2010 16H30
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