Eurêka. Une kyrielle de chaos. Une idée vide, une mélodie ovoïde. Une intuition létale et vitale, une mutation fatale et fractale. Un rhizome bizarre, un horizon rare. Un embryon tribal, un brouhaha cérébral. Le vertige du langage, le déluge de l’image. La métamorphose de la phrase, la métempsycose de la prose. Le zigzag de l’ego, le big-bang de la langue. Une féerie prophétique, une furie philosophique. Une fable indicible, un blanc ineffable. Une énergie marginale, une orgie originelle. La dyslexie de la syntaxe, l’asphyxie du texte. Un langage anthropophage, une image érogène. Une ovulation in vivo, une révolution violente. L’artifice de la transcription, le sacrifice de la scarification. Les aléas de la folie, la mort de l’art. Giga-ego. Des mots sur du papier. La parabole de la parole, une spirale surnaturelle. Une libido cannibale, une kabbale absolue. Une nuit innée, un néant inouï. La transformation de la pensée, la transfiguration de l’espace-temps. Une création d’écriture, une concrétion de littérature. La scission de l’essence, la fission du silence. Les arcanes de la création, le secret de l’écriture. L’alphabet.
lundi 1 février 2010
LA SPIRALE DE LA PAROLE (23)
Eurêka. Une kyrielle de chaos. Une idée vide, une mélodie ovoïde. Une intuition létale et vitale, une mutation fatale et fractale. Un rhizome bizarre, un horizon rare. Un embryon tribal, un brouhaha cérébral. Le vertige du langage, le déluge de l’image. La métamorphose de la phrase, la métempsycose de la prose. Le zigzag de l’ego, le big-bang de la langue. Une féerie prophétique, une furie philosophique. Une fable indicible, un blanc ineffable. Une énergie marginale, une orgie originelle. La dyslexie de la syntaxe, l’asphyxie du texte. Un langage anthropophage, une image érogène. Une ovulation in vivo, une révolution violente. L’artifice de la transcription, le sacrifice de la scarification. Les aléas de la folie, la mort de l’art. Giga-ego. Des mots sur du papier. La parabole de la parole, une spirale surnaturelle. Une libido cannibale, une kabbale absolue. Une nuit innée, un néant inouï. La transformation de la pensée, la transfiguration de l’espace-temps. Une création d’écriture, une concrétion de littérature. La scission de l’essence, la fission du silence. Les arcanes de la création, le secret de l’écriture. L’alphabet.
Superbe !
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