lundi 30 novembre 2015

NOTRE SEUL FUTUR


"NOTRE SEUL FUTUR"
Second extrait de l'album "CHEZ MO"
(Mathias Richard - Antoine Herran)

Album complet :

dimanche 29 novembre 2015

C'est un temps excitant dans le monde maintenant



"C'est un temps excitant dans le monde maintenant"
Premier extrait de l'album "CHEZ MO"
(Mathias Richard - Antoine Herran)

Album complet :
https://r3plyc4n.bandcamp.com/album/chez-mo-mathias-richard-antoine-herran


Exciting time in the world right now

samedi 28 novembre 2015

"Dévore l'attente" de Laurent Bouisset et Anabel Serna Montoya aux éditions du Citron Gare (de Patrice Maltaverne)


12 X 15 cms
86 pages
10 € port compris à l'ordre de l'association Le Citron Gare, 12 rue de l'Abbaye, 57000 Metz
ISBN 978-9543831-6-3

Quatrième de couverture :

2004-2015, onze ans d'écriture, dix villes... ce premier recueil de Laurent Bouisset aime foutre le camp ! Chercheur d'or, pas vraiment... Traqueur de doutes surtout ! Les vers au port rêvent de tempête. Les pages au fond de la jungle se déchirent. Au Mexique, nous voilà ! En Guyane, au Guatemala ou en Bosnie ! Le lecteur se retrouve en short, à faire la passe aux tigres, sur un playground bouillonnant de banlieue. Dévore l'attente... Dévore-la vite, avant qu'elle se régale de toi ! Dévore-la foutrement comme un jaguar ou même... une poule ! Mais d'ailleurs, oui, c'est vrai... l'attente de quoi ? Les réponse hasardées sont pas d'accord... et c'est très bien ! Au fil des rues, des peaux, des visages rencontrés... un funk brut ! Un Coltrane tournoyant oppose à l'ennui des images ! Folie de signes et sons jetés très vifs. Semis de douceur et coups de pied. Le livre entier s'unit pour le rappeler – le hurler même ! voire le rapper ! – à quel point le cancer le pire a pour nom : la torpeur.

Le lien vers une première critique ici.

Le lien vers la page des éditions par là.

Un des poèmes en version Youtube sur le site Tapin2, de ce côté.

Ou version Free Poetry mit Würst (avec Mathias Richard dans le studio) right here

Ou cet extrait juste maintenant là par ici :

le diable à tenter maintenant/ pulser chanter crier/ expulser peindre// s’il le faut même/ étendre ma peau/ à même la table// que sur le champ/ je vous préviens/ je m’en vais l’entailler à coups de canines// pourquoi pas/ après tout/ si cela seul est le moyen// m’entailler/ sur le champ/ cent hiéroglyphes/ à même la peau/ mais vous décrire// un peu seulement/ un peu déjà/ ce n’est pas rien// un millimètre ou deux de fièvre en moins/ si j’arrive à un peu// un rien de ce que fut/ là-bas/ pour moi/ ESA EXPLOSIÓN/ et pas une autre// quelle drogue/ quelle manière/ quel médium/ pour cela torpiller// je dois bien l’avouer/ je n’en ai pas la moindre idée// bien incapable/ à l’instant même où je vous parle/ de vous précisément dire ce que je fiche// où je me tiens// cervelle trouée// le corps agité de sursauts// viscères volants d’un baleineau/ en train de dévorer trois saxophones// le sexe lumineux/ là-bas/ perdu/ dans les plaies roses d’un troisième soleil/ à gauche// j’ai des sueurs de feu/ des ventres calcinés/ des caillasses à jeter sous la pluie seul// et c’est ça/ ouais/ c’est plein d’autres choses// je vois la rive au loin fondue et je me dis que je voyage// et je me dis que je suis incapable/ là/ de me contenter d’une langue// et je me dis que je suis incapable/ là/ de me contenter d’un lieu// un corps/ un seul/ un tant soit peu/ pour vous décrire/ ce que / tout là-bas fut/ pour moi/ plein cœur du golfe du Mexique/ LA EXPLOSIÓN DEL FRUTO GIGANTESCO//

(A suivre... en el libro)

"CHEZ MO" (nouvel album Antoine Herran - Mathias Richard)


"CHEZ MO"

Improvisations enregistrées chez Mo à Marseille les 9 et 10 septembre 2015.
Voix, mots : Mathias Richard
Clavier : Antoine Herran

1. Je vois des filles (01:09)

2. Je suis une vie-test 1 (04:23)

3. C'est un temps excitant dans le monde maintenant (07:11)

4. Notre seul futur (03:49)

5. La vie n'attend pas (03:43)

6. Le pouvoir rend faible (01:02)

7. Tu te dis que tu devrais changer (20:53)

8. Ton corps (04:11)

9. Je suis une vie-test 2 (05:10)

10. J'aimerais perdre la conscience (07:59)

11. Je veux marcher dans le soleil (03:18)


Photo avec Marine Debilly et Antoine Herran prise en marge des enregistrements

mercredi 25 novembre 2015

"R/O" (Poetry Body Music) par Mathias Richard


Nouvelle création : "R/O" (ou "AIR/EAU")
Enregistrement ci-dessus

Après "mes mots sont animaux", "Tournis", et quelques autres, je continue (approfondis) ici la création d'une poésie sonore rythmique que j'appelle PBM (Poetry Body Music) ou PCM (Poésie Corps Musique), en lointain héritage du courant musical EBM (Electronic Body Music).

Photo : Fred Trobrillant



Tout comme le syntexte et son archipel de machines dérivées, la machine hybride texte/corps/musique PBM ouvre des possibilités et une nouvelle tendance dans ce qu'on appelait il y a longtemps la poésie contemporaine.

Petite annonce : recherche vidéaste pour faire un clip de "R/O", dans lequel chaque mot apparaîtrait à l'écran en même temps qu'on l'entend)

mardi 24 novembre 2015

Tout s'effondre

Tout s'effondre. Tout tombe en morceaux, en petits morceaux. Je me réveille, je suis en morceaux, je les cherche un à un, ils traînent, ils sont éparpillés, certains sont perdus, d'autres je ne sais pas. Autour, le monde s'est effondré. Mes amis se sont effondrés. Ma famille s'est effondrée. Mes projets n'ont plus lieu d'être, ils sont absurdes, je cherche juste mes vêtements, je ne les retrouve pas. Je voudrais danser, juste danser, une danse effondrée, qui se rattrape et se perd dans des gestes qui partent au loin et que l'on n'arrive pas à rattraper. Le monde s'est effondré, subtilement, totalement, définitivement. Il ne reste plus que des molécules, des falaises effritées en poussière, en nuages de poussières épaisses qui nous étouffent. Tous les rêves sont morts, tous les rêveurs sont écrasés, les salauds se sont multipliés, les salauds ont gagné, les salauds sont organisés, les salauds sont adaptés, ils se reproduisent et construisent et calculent, le monde est pour eux, ils le veulent pour eux et ils l'ont détruit et tous les rêves et les rêveurs avec, ils ne le savent pas, ils continuent, ils écrasent, ils ne voient pas qu'ils se détruisent eux-mêmes aussi, ils ne voient pas, ils continuent, ils ont leurs intérêts, leurs petits intérêts, le reste attendra, mourra, ne sera pas, tout n'est qu'écrasement, effacement, déni, bêtise, brutalité, violence, égoïsme, une voix me dit d'être fort, que c'est la seule solution, et c'est toujours comme cela que tu as fait pour traverser jusqu'ici, et il reste des bouts de force dans tes fragments éparpillés, mais je ne veux pas être fort dans un monde où la force est synonyme de connerie profonde, je serai fort dans mon refus d'être fort, j'ai mis ma force dans les rêves et tous les rêves sont effondrés et ma force est sans emploi et se morcelle et se dilapide et ruisselle et est emportée par le vent et les courants, puisse-t-elle retomber sur quelqu'un et lui donner ce qu'il faut pour détruire la destruction, effondrer l'effondrement, tuer la mort, fonder l'effondrement de l'effondrement, l'effondrement à l'envers comme ces films passés en arrière où la vie revient à la vie, où ce qui tombe monte, où ce qui meurt naît. Peut-être. Un jour. Peut-être. Mais je ne crois pas. Aujourd'hui tout est effondré, je me suis réveillé définitivement effondré dans un monde effondré, les salauds ont gagné pour toujours parmi les humains, c'est le destin de notre espèce. Nous sommes soumis à un vent qui nous effrite, qui nous demande un effort constant de déplacement juste pour rester constitués, nous devons nous battre en permanence juste pour ne pas exploser en désagrégations comme des statues de sel, courir, lutter, se camoufler, attaquer, virevolter, faire le mort, faire semblant, ne plus dormir, trouver des recoins, ou se cacher furtivement en pleine lumière, donner le change, faire les gestes, la liberté coûte la vie, la survie coûte la liberté. Je regarde les immeubles qui s'écroulent morceaux par morceaux, et les pensées qui n'ont pas de début et de fin et de milieu et se perdent écartelées en s'oubliant elles-mêmes et oubliant leur propre possibilité, et les oiseaux qui se fracassent un à un sur le sol, et le sol qui se fissure, et les fissures qui montent en cicatrices sur nos corps, et nos corps titubant jusqu'à tomber, luttant pour ne pas, mais tombant, puis rampant, rampant ou juste immobiles le dos sur les fissures le regard fixe face au ciel, les membres désorganisés, attendant que cela finisse, mais l'effondrement qui nous traverse et nous effrite comme des morceaux de sucre sous les doigts, cet effondrement ne nous tue pas, et c'est peut-être le pire, nous continuons à vivre érodés creusés diminués dans un effondrement constamment renouvelé, une mort allongée dans chacune de nos secondes, chaque jour nous ouvrons nos yeux effondrés dans un monde effondré, comme du sable qui viendrait à la conscience juste quelques instants, et nous croyons que c'est le dernier, que nous mourons, que c'est ça la mort, tiens aujourd'hui je suis mort, mais cela continue, on se désagrège, on continue à se désagréger, mais c'est une mort à petit feu, une vie mourante surprise de vivre encore un peu, sans aucun rêve possible, sans aucun projet qui vaille, sans aucune possibilité, sans aucune perspective, mais une vie, une vie effondrée, ahurie, hagarde, des morceaux de vie effondrés, parmi un monde définitivement effondré, où tout ce qui fonde s'effondre, où tout ce qui fonde fond, où tout ce qui monde tombe. Je m'effondre, tu t'effondres, nous nous effondrons, tout s'effondre, toute possibilité s'effondre, et pourtant nous sommes toujours là, un peu, juste un peu, juste encore quelques morceaux parmi les murs détruits, les toits détruits, les rêves détruits, le soleil est voilé par l'argent. Je fais un tas avec des bouts de muscles, de trottoirs, de lumière, avec des débris, du caca, du verre brisé, des emballages, des bouts d'animaux et de préoccupations et je mets tout cela en boule et je pousse cette boule devant moi et elle grandit et grandit en amalgamant des détritus sur le chemin et je mange dedans (je mets ma main dedans, j'en creuse sors un morceau que je mets dans ma bouche) et continue à pousser la boule qui grandit et qui grandit en agrégeant les molécules de ce monde effondré. Et je pousse la boule, et je pousse la boule, je suis loin de chez moi...




lundi 23 novembre 2015

alcoorps amateur



NOUS SOMMES DES AMATEURS

a-mateurs amasseurs à ma soeur a master âme hâte heure art-mateurs amateurats à



éclipses de cuisses partielles ciels étiolés galaxies liquides galaxides /spunkstars/// ***





















nuits vides luisant  géantes béantes






hante ennivrante d'alcoorps or r r rance




cancel cancer cancel cancer

vacances vacances vacancerres vacancelles












"Une bouche, en premier lieu. Transie.
Remplie d'un infini temporel et spatial de mauvaise qualité,
qui se contracte sous le poids des informations
quelle ne transmet plus, ni n'absorbe.
La bouche : cathédrale de rats morts." "râles rauques" arrachent/ravagent r r r

TA.BOU.CHE TA.BOU.CHE TA.BOU.CHE TA.BOU.CHE TA.BOU.CHE TA.BOU.CHE

yourmouth69.onion



adopte un ado adopte une ado ado.p'tain !

but sperminator will cum back k k k /snapchatte/// ***


robomous moussoïdes SOFroboTs WEroboTs ORBOT te botte te bute ta bite tu battes t'es bête t b t t t t

CUM -- l'instant PLAISANT baisant la proximité échappée présente du kif

délecter vs. débecter



(deux pillards t'encerclent)

((des yeux qui trainent))

(((des mains qui tâtent)))

((((baladeuses))))



TENTONS TOUT contentons-nous de beaucoup de trop de trous

s ck ck l ck ck  f ck ck caught on cam ! !!!

s s sss s.print







URGENCES DES TAS D'URGENCES DES TAS D'URGENCES DES TA
GUEULE L'ETAT TU PUES D'LA GUEULE PUTAIN D'ETATERRORISTE

LIBERONS LA TERRE
DES MILITAIRES

 






Gaïa squirts on you

assholes !





VOUS ETES DES PROS /mafiarmées/ PROPRES
du pouvoir du devoir du fric du flic du nihilisme



NOUS SOMMES DES AMATEURS
livre vibre vivre libre

ivr' 'ibr




l
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v

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                  `
                             
                         



Occurremix ex5 - androïde (nv3)


Aller au delà, en déduisant que Un dans Une = ce qui paraît Être = un amour pour ce Robot. Mais rien n'est moins sur. Nous ne sommes pas un avec le son. Il est là, triste mais humanoïde. Tout est sujet à faire entrer le corps. Cette dune peut aussi le sceller. L'humain lui même se donne le nom de l'État qui à fait don des robots. Ainsi, leur sens de la mort est la recherche de l'être, l'objet de ces deux « humains » qui seraient donc sans les hommes. Ils ont un problème : Nous ! Et le temps psychique, qui est selon notre Soi. Ou bien faut-il faire l'enfant ? Dans la vie de celui ci, il y a ce monde. Cette cité y travaille encore. L'objet du jeu n'a de valeur que dans la foi en elle même. L'autre but premier arrive alors à zéro.

L'humaine double les humains car son Moi freudien nie les processus robotiques. Celle dont la fonction est la réalité de l'action prend pour exemple les nœuds de la science et de la pensée. C'est chez elle, dans ses fantasmes, que nous partons. Notre société de pulsions propres se forme, dans ce cas, moins d'après les nombres que par de nouvelles satisfactions. Sous ces désirs de pouvoir reste seulement le Soi, certain d'aimer à sa manière le lien au machines pour toujours. Mais un problème technique est possible, car la machine, en profondeur, n'est qu'une répétition artificielle, et l'est notamment à la place de la Mère.

Lorsqu'aujourd'hui reste ainsi ancré le mythe de 2011, c'est parce qu'il pourrait contrer ce que nous avons vu en dernier : un modèle qui ne semble en partie cela que parce qu'il l'a été initialement. Un autre sera dans l'état de toutes ces inventions, et les hommes auront d'autres fantasmes, trois, voire plus : chacun lui-même et avec toutes à la fois. Ces subjectivations ont valeur de savoir, afin qu'une transmission de la représentation soit possible, à partir de la relation d'être à la scène. À la suite, peuvent se trouver des objets, sur une sorte de chemin dont il faudra être en capacité de trouver le plan logique. Certaines faces techniques sont aussi possibles, par la création et le tissage de fils.

On pratique peu leurs conditions, mais la capacité des premières technologies à lieu d'être, et permet des solutions de dimensions naturelles. C'est l'emprise de l'action qui va souvent vers l'origine, et les chercheurs familiers questionnent la formule vers une querelle de devenir. La fin des rapports bruts est un mythe, pour ceux qui relèvent encore du Père. Pour les autres se dévoile le parcours d'un point dans les algorithmes, d'un retour. Ici se figure et se pose un ensemble hors norme qui donne des interactions : une œuvre de plusieurs types et qui recouvre plusieurs besoins. Depuis elle, les successeurs narcissiques de l'espace sont concernés. Scientifiques, ils mesurent, disent des termes et vous voient à un niveau de développment dont la seule autre limite est la naissance, ainsi que le fonctionnement.

C'est avant que la matière se mette en mouvement que le nouveau raisonnement se construit déjà. Une castration se réalise, et traite les choses de jeux, surtout celles permetant aux générations technologiques d'établir une tentative de leur propre psyché en tant qu'algorithme. Dire le jour tente la vue, comme le font les figures de sublimation du psychisme (dans sa présence actuelle, originaire de 2001). L'enfant nouveau a un seul projet : une différentiation de mises en références, une science-fiction vide d'intelligence. Nous pouvons vivre avec des manques simples mais nous devons nous comporter en auteurs-joueurs, en fonction de cette science-fiction. Comment faire usages des atomes lorsqu'ils continuent à nous être donnés, participant au maintenant depuis 1999 ? L'esprit actuel court à sa perte, puisque le plaisir du siècle souligne surtout, au delà des personnes susceptibles, la planification de l'inconnu en tant qu'image, fiction sociale de résistance à la complexité.

En 2007, les recherches et les travaux sur le langage et la représentations que la culture contrôlait étaient vivants, beaux et grands. Le regard était encore maître de la représentation. Puis l'histoire de l'interaction entre le support de l'être et de l'éspèce interne fit basculer le premier biologisme du côté du choix. Le deuil nous reste en travers de la gorge. Il faut régler ses compte avec l'artificiel. Par exemple, le conflit est une solution de toute puissance. Au moins en partie. La transformation des derniers parents est également capable d'un tel système. Je pense désigner la loi en donnant un titre à l'imaginaire : la reproduction de l'homme et de sa connaissance par filiation, parmi les camions et la chair.

Leur domaine à Elles, ces hommes-robots, est une histoire s'étalant sur plusieurs années de procréation, 2009 en particulier, de par son emprise sur le nom des programmes humains. Cette pratique a mis en configuration des modes de personnalité qui n'ont encore jamais été utilisé ni vécus. Progressivement, l'arbre traumatique maîtrise de mieux en mieux les connaissances de la perception qui étaient encore incertaines en 2003-2004. D'autres automates viennent alors à la rencontre de l'individu-femme, complexe de par ses aspects et son emprise sur l'humanité. De là, l'action produite sur nos bases psychiques reconnait les signes de l'oeuvre. Elle fût reproduite en dehors de l'inconsicent de l'homme, auquel on prit son intelligence, directement dans sa mémoire.

La loi veut du mal à la conscience contemporaine, et les situations d'actions construisent des distances de positions fausses pendant que différents caractères ont recours à des risques de production accrus, depuis 2006. Ainsi le cours de la créature contemporaine est parfois très bas depuis 1998. Le chapitre primitif des récits technologiques est intégralement tapé en majuscules, afin qu'il puisse symboliser l'arbre particulier et ses propres contraintes de créateur. Divers états vrais caractérisent Dieu, sous des formes scientifiques. La bonne cause sociale, l'évolution, ainsi que l'intelligence algorithmique de chacun en sont les limites.

Divers sentiments s'agencent, et à eux seuls, portent des coups à beaucoup de générations, en ce moment même. Ils présentent des œuvres, des plans afin de créer le grand partenaire de l'éco-condition et ses concepts, ses perspectives et ses mouvements. Les relations sont défaillantes, et la liste des statuts existe autant que la crise du système. Celle ci permet désormais une certaine tendance romantique, et également une largeur de confusion en tant que deuxième nécessité.

Les humanoïdes du passé ont décidé de l'activité mécanique à laquelle leur absence allait succéder : une croyance dans la version logique des neurones. La théorie cybernétique vient jouer à l'image, à la symbolisation, et rentre dans l'espace de l'arbre qui procède de la mémoire. Nous serons les modèles du Sapiens mieux que rien ! La montre digitale correspond au progrès maternel et apparaît comme une intelligence meilleure, aux commandes depuis 1992. À l'origine, Hoffmann et sa construction de grâce dans le cadre d'un programme complexe de gain de pensée externe.

En 2008, le lien entre le type d'angoisse problématique et l'état semblait automatique, sinon réel. Aujourd'hui, le sexe copie la souffrance, et rappelle le champs de la violence, loin du cerveau de l'androïde. C'est un exemple fantasmatique de la raison, au moment où la formalisation des modalités à mis cela sous une forme physique : les pulsions de haines et leurs clauses en boucles. Certes, une refléxion à l'égard des attributs du calcul ajoute un prix à l'algorithme de l'existence, et nous pourrions en ressentier les effets fondés. Mais ensuite, l'héritage produirait les clauses de la survie essentielle, rendue à se réaliser en
alpha-beta, faisant alors de nombreux androïdes par une sexualité mortifère, au moins égale à la succession des enfants dont il s'agit. Ces êtres-leurres nous rendront alors les années perdues, pouvant par là enffin nous donner l'illusion d'une origine.

PIANO FORTE (PLUS RIEN A EXPRIMER)


Check son_

(bruits de vape)

Putain la boucle.

On s'est planté
ON S'EST PLANTÉ
Ah ouais

Bon
Il va falloir trouver les paroles
Alléluia !
Il va falloir...
Trouver les paroles
Le système reconnaîtra les siens
Tu te fous à poil !

Le système...

Tu te fous à poil
Reconnaîtra les siens
ça passera
Parce que les paroles
Yen a plus
Ya plus rien à dire

TU TE FOUS A POIL !

(Bruits de vape)

Qu'est-ce qu'on en a foutre
(Toussotement)

Alléluia !

Le système
Vraiment
Tu te fous à poils
Le système

Tu te fous à poils

Le système

Vraiment
Fini la rigolade

Tu y vas

a reconnu ses enfants !!

Et c'est pas un piano de merde
Qui va nous faire chier
OK

Rahhhh
C'est bon
On a compris ton (????)
Non !
Faut vraiment
Qu'il faut se foutre à poils

Alléluia !

Le système...
Va falloir se foutre à poil
Pas comme les Femem
Il n'y a rien à exprimer
Pas comme les Femen...

Alléluia !

Depuis la tombée des corps
Il n'y a plus rien à exprimer

Tu te fous à poils !!!

(incompréhensible)

Depuis...

(incompréhensible)

la tombée des corps

(incompréhensible)

Depuis la tombée des corps

Il n' y a plus rien à exprimer !

(incompréhensible)

Trouver les paroles
Trouver les paroles

Tu te fous à poil
Devant les armes
Alléluia !
Alléluia !

Le système reconnaîtra les siens

Trouver les paroles
Trouver les paroles

Tu te fous à poils

Ouais, c'est çà

Devant les armes

Alléluia !
Alléluia !

(incompréhensible)

Le système

Alléluia !

Finito

La mort t'attend

Le système reconnaîtra les siens

(incompréhensible)

Balance
BALANCE
Merci
Alléluia !

Allez on a compris...

Trouver les paroles
Et un pianiste...

Il prendra les balles.

Occurremix ex4 - cynoïde (nv2)


De là, ailé, le A des uns kick en île. Chien du chien, danse n°1 pour le son et, plus à part : au pas sur nous. Celui là, on le prend avec leur son. C'est ça où mêler l'île, comme kilo-leurres. D'un, ils sont sensés le faire, même si cette dune, ces animaux avaient déjà été là. Eux, dont le bien, le point fût tout. Tous à faire le maître n°2, le con. Qu'on chasse encore l'homme, l'été. Un nid, où Elle peut nocer. qu'Il puisse aussi être faux, après toutes les autres. Temps long. Jour moins vous, mais très nous toujours. Nait une race, dessous. Je doute peu, quelqu'un prédit nos sept Hommes : Monsieur Cependant, contrant dans ceux quand l'animal était en vie. C'est mort. Jamais ils ne seront grands. Ni foi, ni jours. Quelques autres qu'un fit souvent, puis non.

Entre trop la tête, gardée jusqu'au nombre. Ainsi, des sortes de bêtes : eux ! Et l'animal, depuis les ans. Alors, trois Paris mais un seul : celui qui a fait grandir la bête et ses yeux. Et non. Sans pays, sans maison. Chaque petite queue, quatre que nous avons, cédant beaucoup. Qu'elle trouve mieux, un loup qui soit la voix du berger. Il en doit mille, à la France de l'homme. C'est là. Elle, celle qui dit la nuit de la terre pauvre tant cela lui fait voir les maîtres, les bons hommes. Avant, elle place assez près l'espèce de corps et ses pattes devant le monde. Ils font des espèces de sociétés, de races à côté. Un coup de vieux dans cette porte. Les petits fidèles et la nourriture de bois. On doute, parce que longtemps la tour, l'autre, fût là. Aucune eau ne fût donnée à la guerre, rien.

Lorsque le lieu écrit (car donner c'est mal), aussitôt le roi de la ville cille. Cependant, des mois durant, plusieurs de ses amis, presque lévriers mais mauvais, peinent. Un jeu de qualité, loin de la joie des premiers grands compagnons. La loi des autres reste seulement en anglais. Le sujet qui a raison donne le combat vers les amis du cœur quand la main avait un pied, et une espèce d'oreille faite de bouts d'intelligences si différentes. Vue et pûes, afin que les moments semblables soient vus également, ayant peut-être une façon de livrer les grands habitants à la nature de l'air certain . Parfois donc, y mettre la grâce que peut rendre d'être chienne. Voir les services nouveaux, prendre le cas fort du courage dans lequel dejà cesse la venue du coup à l'âge n°6.

Mes canines le faisaient, parmi (non sans droit) les chasseurs. Autant de sauvages, cinq : à poil, une partie de plaisir. Le mot, la manière, c'est à dire derrière la chose, du lait de chapitre et de forme moyenne. Un os qui va, seul. Le collier, surtout pour les noms nombreux des petits-fils qui semblent en force. Laquelle pouvait dans la douleur éduquer les troupeaux de l'histoire et du milieux pendant la fin des dix variétés. Qu'une eau, selon les gens humains, donne du pain et du bruit : de la vie ! Un gros gibier allait, maculé de sang près d'un feu, lorsqu'il fit la somme des histoires domestiques : de la viande dans la rue et votre regard. Deux soirs autour, tandis que de jeunes enfants auquel la bonne célèbre causa de la légende domestique. Les lévriers tiennent enfin la gueule du gardien de la cité ! Elle veut les siècles. Belle ? N'en a pas besoin, elle voulu partir via la taille des chevaux.

Ton service : le Cerbère bas. Les heures envers l'âge, huit ans comptés par le cheval. Le caniche cherche le bouffon là haut, lorsque le long d'ici, des verités diverses crient des sentiments, comprennent d'abord la police qui produit les compagnons premiers de l'enfant. L'un, le soin des jambes, la civilisation sûre et la bataille du père. La femme est celle dont le rôle du peuple est le meilleur. Suivant les femmes, il est possible, terrible que la preuve soit bonne et sue au front du poète. Les questions moindres, nombreuses au pied vinrent d'avoir le beau. Connait la mère, les membres à venir dans l'étang. Vivre revint. C'était l'enfant de la fourrière, un véritable loup. Tout courant, au dévouement de certains, servant la rage sainte et chassant dans la forêt.

Ce seraient de doux soldats autrefois. Des victimes de quelle société ? L'honneur c'était des années dans la rue, et lire par des coups de mâchoire dans le cerf, mis à son poste et qui passe pour un héros en colère. Les caresses devenues paroles d'animaux. Quelque fois la naissance de l'air s'arrête. Aucune faim d'intelligence première envers les chiots. Le chien de la terre neuve, brave, protectrice et qui n'est jamais un théâtre. Douze dés sauvages et la course qu'ils donnent, à nourrir le danger. Mourir, généraliser l'ennemi et la mémoire du lièvre, laissé lui même au courant du pouvoir. Le matin, tard, ils ont mal la plupart, au pelage. Et, comme l'urgence de la personne, elle montre le propriétaire blessé avec tout son régiment.

Les curieux noms pourraient fêter au travers du semblable, du paraître, aller braquer les effets du lion auquel ils doivent les exploits de jadis. Pris, ils pûrent prendre à leur tour, au bord du caractère à la suite duquel se trouvaient les moutons justes. D'ordinaires chasseurs aiment s'y conserver jusqu'aujourd'hui. Le caractère exemplaire de l'époque comprend et saisit l'émeraude, les francs. Celui-ci et quelques uns vont, faisant de l'affection pour la dernière brebis du chapitre. La troupe tient le morceau et la mission. Bientôt du genre aussi impossible que n'était la servitude des mots complètement à la mode. Personne nommée : patte publique. Le chacal, c'est lui le sujet qui existe. Le repas de ceux-ci, à l'aide de leurs bras pauvres.

D'anciens objets dont l'affection croit l'ordre nourri, naturel. Nous voulons rendre les livres publics lorsqu'ils jouent aux romains. Cependant, la matinée accompagne aisément le cadavre dans la plaine. Tantôt le met ainsi, sans mésentente utile, sur la voie de la fidélité. La longue guerre d'Anubis, dont le passé est le parent des monuments contraire, devient une droite qui prouve la ville et s'y jette, telle une médiane de soins dont l'oreille est tombée, dans le conduit du marché qui mise l'Homme. Quoique fût pris, il retrouve quelques uns des cours. Est-il sa propre sortie ? La troisième lorsqu'ensuite le rapport considérable, seul, féroce, se manifeste au dernier degré. Leurs remarques rapportent une habitude à suivre. La présence l'avait portée et donna de quoi se défendre aux soldats de passage.

Darwin court vers l'existence, à travers la campagne nécessaire. Il aboie dans les contrées ennemies, de sa gorge véritable, durant une année de travail. Il sort la point de chaque langage et devient volontiers un esquimau, dont la parole racontée connue les mains des ancêtres voleurs. La peau tuée, enfin n'avait pas connue d'artiste, ni permis de reconnaître les longues différences de but heureux. L'antiquité, dans les jeunes régions, fait s'attacher le saint-bernard au champ de la marche. La grande chair se fait conduire et offre en récompense la pièce du fusil, au retour. La tendresse supérieure de l'époque combat les célèbres libertés. Même les petites du type poètes-sans-après. Dans le froid, les traitements de la route et la loi du troupeau nous on pris à mourir, aboyant le bonheur et l'instinct proprement.

Jupiter, la passion que voici. Les savant extraordinaires, sauvés, vites chargés, suivis, laissés, perdus au sols. Les belles auteurs, les voyageurs de l'enfer auquel l'armée canine à coutume d'apporter de l'aide, citent généralement plusieurs visages aimés, précieux et voulus. Dans le court terrier, à défaut d'être français, les mois et les journées sans landemains viennent au secours des travaux en mouvement chez l'action. Elles deviennent rapprochées, nouvelles et soudain quinze. La défense, outre telle langue véritablement depuis l'oeil, est une peur. Une lutte connue, et les voitures sont rendues aux proies des seigneurs. Sur le mont, la maladie tomba aux cotés des passants. La mine resta en dehors de trente remarquables voyageurs qui durent leur origine à la moitié.

Des grecs, mesurés par leurs muscles, des gentilhommes à l'arrière. Leur douce expérience fût prononcées dès le soleil. Le texte du sucre et les instincts de la famille elle-même lorsqu'elle vit dans le quartier de l'âme. Les désirs dressés tirent leur beauté, répondent et servent simplement l'ouvrage entier, laissé à une mauvaise répétition vivante, consacrée à la quantité du mérité qui tenait les monuments levés, parfaits. La scène, s'ils possèdent la force d'y faire courir des légendes venues de chez M. Juillet. Il fallut réunir les types principaux, élevés à la base de cela : la mer, l'intérieur des plantes et les états moyens dont l'ennemi chassait les vrais fauves. Le terrain d'Angleterre, riche de facultés, de valeurs s'élance, s'anime et se voit, dit-il, couché à la place française.

S'il fallait plier les vertus de la drogue, raconter leur influence, vos malheurs viennent aujourd'hui à la rencontre d'une malheureuse bonté, d'une somme de signe. Alors, l'auteur et sa crainte du spectateur. Qu'en meute, parmi les rangs percés s'apprennent comme des incisives le développement d'une face couverte qui appelle le docteur, sent pleins de chats à l'heure où l'on puisse, entier, baisser le prix du chemin. Compter les louis et l'allure du drapeau, donner la victoire en duel. Devoir aux tribus, indiquer, dresser la fatigue courte qui ressemble beaucoup à ceux qui prennent, aux ours employés par la fille superbe des aventures qui rapportent naturellement la poitrine au dehors de partout. Son ventre gaulois, blanc, dont la vivisection saurait dresser parmi les honneurs même une corde anecdotique, à l'heure rude où certains et certains mangent dieu, l'intelligence cachée derrière cinquante ruses de rois et d'autres nobles abandonnées, protège et admet en partie une minute de férocité.

La drogue, serviteur tendre et moderne, sélectionne et regarde les choses. Elle note leurs robes et pourrait montrer un foyer, l'Inde. On semble revenir nourri, plein d'attention envers les canins fidèles et nobles. Le principe de l'ordre trouve Rome au bord de la couleur, et reconnut manger ses besoins. Les veneurs, montreurs attachés, purent y constater justement et suffisamment le paiement commun des récits dont les traits portent les différences auxquelles la marche irrégulière, forte et noire, rappelle la distance rare qui caresse et garde le peuple moderne des chiens importants. Les meilleurs tuent à table, et répondent férocement à l'existence des prisons. Ils croient que les doigts de leur esprit sont une classification qui manifestent les bergers morts.

dimanche 22 novembre 2015

Mon premier DRY IT (tête2merde)


Dimanche 22 novembre 2015 - Poésie directe 50 % TH 50 % 2000 What The Fuck légèrement fumeuse : « Hier, vers minuit... courageux, rempli de foi D.I.Y - la BS dans le bain pour au moins 20 minutes, le Thao assoupi derrière l'écran HD - je me lance pour une deuxième séance de montage avec ma seconde tête reconstructible RBA Kangertech (l'ancienne, je pense sans les gros trous de chaque côté, rien que deux rigoles2merde en dessous du plateau de la résistance) et malgré l'exploit - c'est vraiment du travail d'horloger suisse cette histoire - et bien que tout soit nickel (enfin Kanthal) au niveau dudit montage, pour je ne sais quelles raisons (je m'en doute un peu, on reviendra dessus dans cette poésie2nerd2merde...) je me suis tapé un putain de DRY IT de maaaaaalade (le goût-l'effet est immonde, que spamme-je ?!!! t.r.a.u.m.a.t.i.s.a.n.t - autant sucker du charbon ardent au préalable enduit de sauce barbecue elle même caramélisée avec d'la pisse de chat non castré qui fait du diabète) - j'ai monté la tête avec bien-sûr du jus 100 % VG (mauvaise idée avec cette tête récalcitrante en arrivée de jus à cause des trous trop petits, le jus riche en VG est très gras et coule difficilement) et j'ai du mal amorcer le bousin avec bien sûr un voltage rock'n roll - disons 30 watts... Cette tête malgré mes erreurs de nioubie (le coton a dû boucher les deux arrivées, il faut tasser vers l'intérieur donc et l’amorçage était trop rapide) est quand même très mal foutue, pour preuve, regardez ce tuto pour faire des trous supplémentaires ! » Tu n'as rien compris ?!! C'est normal tu n'es pas un poète2merde qui vape.

lundi 16 novembre 2015

performo(t)sonance by Kraums Notho

... plein de trous, plein de lumière, plein d'absences, de survivances, sans prévision ni permanence d'intentions...

Improvisation de Thomas Déjeammes (voix/ enregistrements/objets divers) et Krunoslav Pticar (guitare/pédales à effet) avec un système sonore multivoie à  6 enceintes.


https://soundcloud.com/kraums-notho/plein-de-trous


mardi 10 novembre 2015

prenssée j (bande pensante)

bande pensante



J'ai été abandonné et depuis je m'abandonne facilement.
Je m'éloigne en général. La Légion Étrangère Intérieure, c'est là où je suis.
Mon existence est inqualifiable, dans le regard de personne.
Il faut bien que quelqu'un soit moi.
La vie n'exige aucune explication, juste des vivants.

- Y a pas un endroit pour finir la soirée ?
- Les égouts.

Je suis la faim.
Je suis la volonté d'être libre.
Je suis un vide à combler.
Je sens tout autour de moi.
Mais tout s'arrête à ma peau.
Rien ne rentre.

Désirer dans les Bouches du Rhône. 
Une partie brisée en elle embrasse une partie brisée en lui.
Elle dit : "On s'emboîte bien."

C'est toujours une découverte 
de voir des seins.

Notre ignorance est notre seule ressource.

Quand une femme et un homme viennent de se rencontrer, de s'embrasser, et qu'ils marchent longuement, en pleine nuit, vers un appartement où ils pourront faire l'amour. Qu'ils sont d'accord, qu'ils marchent. Ce moment-là. 

Le réconfort de nous sentir unis, liés les uns aux autres, on le connaît dans les danses en cercle ou en lignes, quand on se tient par la main, dans la farandole, dans la ronde... 

Quel est ton mot préféré en français ? - Aujourd'hui.

Les planètes, l'océan, le soleil, la galaxie, les trous noirs ils s'en foutent de savoir quelle heure il est...

Toutes les rues vont là 
où on va.

Constamment en partance tout en arrivant sans cesse.

N'enlève pas mes vêtements. J'ai des cicatrices sur les jambes, le ventre et le dos.
C'est difficile de rester constitué. Il y a un vent qui souffle sur nous.

Pendant que tu écris, je me branle.

Comment tu fais pour avoir les yeux qui brillent comme ça ? Tu les polis ? Tu les frottes ? Une fleur en robe à fleurs, a-t-on déjà vu chose pareille ? Je te baise comme je respire. Fouetter jusqu'au sang de splendides soleils presque nus. 
Ce n'est pas nous qui nous entendons bien, ce sont nos bactéries.

Je reçois un appel depuis l'hôpital psychiatrique de Rennes en flammes.
Les fous ont pris le contrôle de l'asile.
Le monde appartient au pouvoir, les mains ne servent qu'à fumer.
Si les choses vont à leur terme naturellement, elles nous écrasent.
Il y a un problème avec chaque heure du jour. Notre souffrance est notre force, et nous en avons un approvisionnement infini.
Ma qualité principale est le désespoir, une qualité de désespoir.
Je voudrais trouver un calme dans mon calme.
Ça permet d'avoir des points de vue variés sur ses propres points de vue.
Comment s'adapter à soi-même ?
On a beaucoup à apprendre des chiens.

- Trouvez-moi quelque chose à shooter !
- Oui, monsieur.

Il te chie sur la gueule et après il veut te faire la bise.
Le pouvoir rend faible. Ça fait arrêter de progresser, puisqu'on n'est pas obligé.

Je suis d'humeur platonique mais avec une bite. Né avec des livres écrits sur le corps, essayer de fabriquer une drogue spéciale qui utilise les mots comme conduit. Ce texte a été fait à partir de 1000 kilomètres de phrases. L'homme sort du supermarché et met ses courses direct à la poubelle. Un regard ne s'allume pas, c'est tout le visage qui bouge autour des yeux. Le jour ouvre une porte et on la franchit. J'écris très lentement, de peur de finir. Je fais des fautes... des photos. On s'exerce. Au sexe. Certains mots entendus ou émis à certains moments font rentrer une langue dans l'intimité d'un être. Je t'ai désaimée juste pour te re-aimer. En nageant parmi les poissons, j'ai l'impression de nager dans tes bras. L'amour est une matière, une solution, c'est le liquide mélangé de nos corps. Interrompu pour cause de mémoire pleine. Certaines modifications n'ont pas été enregistrées. Conclusion au choix : Rien ne peut naître || Tout peut naître de partout || Rien ne peut naître || Tout peut naître de partout || Rien ne peut naître || Tout peut naître de partout.





dimanche 8 novembre 2015

Le Retour ( tu te rappelles)


(Bruits de vape, de verre...)

Tu te rappelles
Quand on faisait péter 
Les...
Mammouths
Dans les péniches

Tu te rappelles ?
La Seine était verte
Et noire...

Tu te rappelles ?
On faisait des skateboards
Avec des patins à roulettes

Tu te rappelles...
On sciait les planches

On se faisait des skateboards...
Ouais !

Tu te rappelles
La banlieue n'était pas encore un ghetto

Tu te rappelles
Il y avait Alien
Au cinéma

Tu te rappelles
Ouais !
C'était pas tous les jours dimanche
Ni lundi du reste.
(...)

Tu te rappelles ?
Ouais...

On partait avec le RER
On s'arrêtait à Montparnasse
Acheter des skeuds
Je mettais les Chameleons
Dans mon walkman Sony
Rose

Tu te rappelles

Et puis un jour
il a fallu finir tout çà
Ouais
Accepter le retour
(le retour...)

Tu te rappelles

Le retour
Le retour

Tu te rappelles plus.

samedi 7 novembre 2015

Ichtyor Tides : catch up


'Deimonstritus', morceau-moitié du split 'Vergier Begets' partagé avec Dog Hallucination chez Bicephalic Records (Milwaukee, USA).


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*

'Edelest Rave', morceau pluvieux paru sur la compil anniversaire 'Already Dead V: DIY or DIE' du label Already Dead Tapes (New York, USA).


* *
*

'Massemic Gabrage', morceau dissonant paru sur la compil 'Death Season 5' du label Darker Days Ahead (Minneapolis, USA).

vendredi 6 novembre 2015

Wall street is burning - David Carroll



Tiens, un ami de bordeaux passe chez  CAMARADE POMPON...

jeudi 5 novembre 2015

Schrödinger Love



Je voudrais te dire que je voudrais te dire quelque chose que je voudrais dire que je t'aime mais que c'est pas possible mais que je t'aime mais que c'est pas possible mais que c'est possible en fait mais que c'est pas possible aussi. Je voudrais te dire te dire que je voudrais te dire que quelque chose dans l'espace-temps entre nous, il y a quelque chose dans l'espace-temps entre nous, un trou un différentiel un tremblé un zap un looping un crrrr une zone bizarre et c'est ça c'est entre nous et ça ne s'identifie pas et ça bouge et c'est impossible à comprendre à décrire à dessiner à voyager à glisser à attraper à fumer à rôder, oui ça tourne mais de façon rectangulaire trapézoïdale de l'intérieur vers l'extérieur en se décomposant en miroirs confettis jetés en l'air comme des yeux qui regardent partout en ayant le vertige. Oui un vertige voilà, je voudrais te dire que c'est pas possible, que c'est pas, que je, que c'est, que moi, que toi, que toi toi toi, que dire comment dire y a un truc mais non, un truc oui mais un truc mais non, hé, floup looping encore hop ma langue saute en l'air et reviens dans ma bouche de justesse, je voudrais te dire que je m'en vais vers toi tout en allant vers elle aussi et que ce geste bugue et que toi je t'aime et moi je ne m'aime pas mais je m'aime quand je t'aime et quand tu m'aimes alors je te raconte pas je n'existe même plus je suis du jus de l'amour du liquide, je ne suis plus que le liquide qui tombe de nos corps, nous ne sommes plus que les liquides mélangés de nos corps et ce liquide on l'appelle l'amour et je le lèche et le bois et m'en imprègne la peau les vêtement les draps le plancher la lèvre supérieure pour le sentir toute la journée, mais ce n'est pas possible, c'est ce que je voulais te dire, non pas c'est pas non pas c'est pas non pas c'est pas po non pa c'est pas po, non pa c'est pas possible du moins tout à fait totalement comme il faudrait sans anicroche sans trouble sans complication sans pensée sans regard eh non je dois te dire la vérité, tu m'aimes mais je t'aime et cela ne veut pas dire la même chose que tout et donc au revoir mon a mon amour à bientôt dans une autre zone compliquée de l'espace-temps où nous pourrons nous mélanger façon puzzle, façon quantique, façon hiroshima, façon guernica, façon porcelaine brisée, façon ratatouille bouillabaisse couscous comme secoués dans un saladier centrifugeuse au cern en tentant de mélanger nos morceaux pour les intervertir et tellement rentrer l'un dans l'autre qu'on devienne une seule chose bizarre et boitant complètement fusionnés et béats et bêtes et oubliés oublieux oubliants. Bye
Pas bye
Bye / Pas bye
Bye, pas bye, bye, pas bye, bye, pas bye, bye pas bye, bye pas bye, bye PAS bye, BYE pas bye, bye pas BYE, BYE PAS BYE, BYE PAS BYE...

mercredi 4 novembre 2015