jeudi 31 octobre 2013

Témoignage de la fin du monde #18 - La fureur de mourir


Lettre ouverte à la fin du monde  
Auteur : Kid Z
Réponses : 56
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J’ai vu des choses !

OUI ! Et l’on ma dit que sur l’autre topic que l’on pouvait dire des choses sans que l’on me prenne pour un fou ou que l’on m’écoute attentivement.

Maintenant voici la révélation de savoir comme ça se passera :

Un jour (ou plusieurs) avant la fin il n’y aura plus que des sites internet avec de la vidéo où ce qu’il en restera pour communiquer lorsque tout le monde sera transfiguré et défiguré par des morts et totalement incapable de se regarder les uns les autres dans la vraie réalité donc par une étrange maladie et pas seul un homme pour nous aider.

Moi j’appelle ça la fureur de mourir.

Mais beaucoup de gens vont mourir non pas à cause de la maladie mais parce que tout le monde va s’entretuer et il faudra rebâtir un monde avec des survivants sur des bases d’une culture totalement inédite. Si c’est le mot juste puisque nous perdrons tout jusqu’à notre langue.

Ce n’est peut être pas clair ou pas assez précis mais je ne peux pas en dire plus pour le moment. Maintenant vous savez tout, je reviendrai m’expliquer en temps et en heure.

[txt Walter Van Der Mäntzche / img Doubles V]

mardi 29 octobre 2013

"Zéro+zéro=Deux" (2) de Lucien Suel


Football loto voiture et télévision

Les canards siffleurs. Ils sont comme chez lui, a guy, torve... On restera. 

On débarque là, jus pour un ébène, de deux nuits, cela peine à se prétendre amis. Daniel (Joseph Palmer) teste la Music. Il part très vite, le cop (k). 

C'est se souvenir de la guerre. Bour. Ce qui sera maigrichon se rassemble : un véritable fléau du genre Diana qui s'incruste. David Bosalon paraîtra en vie, l'ami du même tome, le job gras, son Pavarotti, et tout ça déclenchant un stafson. Je veux te revoir transi. 

Ciment : son unique plastronnant, est devenu gênant, et n'en ayant pas plus qu'elles ne peuvent. Paroxystique vie comme des réponses outrancières runes reliées de colère, cours aux actions, parfois l’orient continue. Aborder le sujet, se rasseoir, le même exemplait sous un léger coup ou, en plus pro au début de l’an, l’impact est tartarock psychoroche et déjà son ciment aurait pris parce qu'après ce sujet à la con (Lecon), Jack jouait avec sa musique. 

Météore qui décode ce sol quelque peu moisissant du réal. L'Éventreur sommé (summer sommé sommet) prouve dans une tonnelle (en vain) des dommages rosés parfaits sans doute stables, mais qui peuvent tiquer de Ha à la joie télév. tournée l'année Udwig (L) Van... Sol. 

A l'occasion de la lumière office, au défaut de séquences à la lie, dorment les musiciens ont pris langue. Un son ailé qui nous dépaysa. De même, glace les oreilles. Les Psaumes ne sont pas repêchés dans la Somme (au sommet). A dire au bas du bon de 2007, un P.S. à caractère "people" : stars sistres, sensibles, de ventes et de staffs. Si le cinéaste est pire, il est glacé ou glacial. Ça côte dans l'at(tente bien avec la céré). Il l'est moins Awards

Les canards siffleurs. Ils sont comme le Victland : Il s'agit de saque dure version bar. Sincère et gai, de roses bifferadiohead, les riches d'un flou. 

Je voudrais juste la place de ce vert tétraptère avec des Yougoslaves parmi Lou Reed, mon oncle (récente victoire réputée pour le Nigeria !). Confident confiant, il faut la pratiquer, vraie de New York, bien huilée, en plus ah. 

Calcio, (il évolua dans la Fête de la mue, la star incontestée sortant d'un US). Avec celui qui oloverse l’actuel défendu pour accorder à l’un le gland doré, à l’autre la Révolution inutile bourge. Les célébrations ont un purin piètre défenseur piteux dans les rues puantes des années 80. Et l'essence à menthe est dotée d'odeur pour qu'elle soit aussi recherchelonnée comme dans le club européen, oudotée de quelques surnotes, style Tina Turpine qui joue la ber sur M6 (prière sur ce magnéto) et sur aime suspect. Si seulement les oraphobes arrêtaient de dire "maison ce soir", ils posséderaient des gros opérateurs. Des bours rais de fiente. 
C'est chouette, à Padoue, c’est class tiqué. Les chants de l'équipe (fleurs gonds), la boule 097, les sélections, la grille pour s’azurer les News, des joyeuses de Boston ont inventé glaçon dans le gueux et expiré cette année - c'est un bon jeu de tête. Le ciel est un peu noir dans la nouvelle lucarne. Il se fend "Barbarossa", kool notes réjouissamment, attirent les compères sur TF1 (TF1 nuit). A la suite du bec tard, tout coupe dans le monoscope et les agents ne peuvent ni rester seuls avec tout le monde, ni rester seuls ! 

C'est un (bon) petit résumé intégral. 


"Football loto voiture et télévision", série Zéro+zéro=Deux par Lucien Suel

dimanche 27 octobre 2013

vendredi 25 octobre 2013

"Pass the bong please." Sonopsies sur Chain D.L.K.

"a smorgasbord or tasting party over 16 tracks of unusual, exotic sonic foodstuffs"

"avant-garde poets, spoken word, avant-garde electronics"

"a worthwhile purchase for those looking for something blatantly off the wall"

Steve Mecca, Chain D.L.K., 22 octobre 2013
http://www.chaindlk.com/reviews/?id=7856


jeudi 24 octobre 2013

Soirée impro totale 15 septembre 2013 @ Asile 404 - Marseille (photos)

la machinerrante 
la machin'errante (ghost de Machinante)
la machine errante




"Intuition violence sensation - Trucages possibles - Pas de programme ni de dessert - Marseille Pita 2013 - quelques singes autour d'une bière..."

Une soirée avec

Méryl Marchetti

Stéphane Nowak Papantoniou

Didier Calléja Koeurspurs

Mathias Richard

Mathias Richard

Laurence de Lataillade (à droite)

Laurence de Lataillade

Antoine Herran

Un certain Camille (à droite)

Philémon Julep













Accueil + flyer : Asile 404 (Marseille)

Photos :
Philémon Julep : 1
Laurence de Lataillade : 2, 11, 13, 15, 16, 17, 20, 21, 22
Asile 404 : 3, 23, 24
Edouard Hart (La Nuit Magazine) : 4, 6, 7, 8, 10, 12, 14, 18, 19
Aurélien Adolescenz : 5
Françoise Lonquety : 9

- intermède musical -


Atari Teenage Riot - "Revolution Action"


mercredi 23 octobre 2013

"Zéro+zéro=Deux" (1) de Lucien Suel


La disparition de Mauricette Beaussart

Twister de Pulp Alsace est un danseur quasi nu, la partie du grand où toute la faune s'accoude à travers le micro garde. Là, Rodri, du cœur on assiste à no oubli (tout forcené). Les bis de mesure se vaqueraient entre le gel et le gourmé. Une noise drancophile tape comme une débauche de guerre civile : gluante à la Evrice. Toutes les trois mouchées. Même au choix, le client ne promène pas son nez, son pancréas, sa mouche, ses yeux, son coude gauche et sa jeunesse hitlévante sur un tel pli gachmiste de René (l'occiput-pas-fils de Franz). Il finit par se vautrer là avec eux puis ils le chassent. Il y a deux ans, le maître nazi sous-culture fut un autre. Il s'appelait Bour Sue.

C'est une sœur, elle est aussi comme la patte qui conduisait la voie pâlie (scénariste) d’accident christoplacé. 

Tout un lot fut coursé tandis que les sutra-violents s'étaient assouplis en vol comme s’ils étaient un film. Tous connaissent tôt tout sur le mal rose. 

La personne qui n'a plus qu'un peu de roux, lui en veulent-ils ? Est-elle à leurs yeux plus démystimente ou alors éprouvolique qu'une autre à leur mort égard ? La resservent-elle (mal) dans l'Occident (manifs) dépassé ? Noces à questions (Affranchis) de journaliste paraplaiegique : Qui ? On ne cesse de dire on ne cesse de dire on ne cesse. 

Le torse est un but. Le corps devrait mourir et il a offert leurs noms plus tard. Jack donne les cisailles bleues à Stojkot (le plus convenu étant type Milosevic). Si eux ne possédaient pas légèrement la richesse tramatch, on a pu gober Square, en s’attendant à une suivante, et pure. C'est pareil même. 

Les canards siffleurs. Ils sont comme les canards siffleurs. Coin coin sou. 

C'est à Big Luciano, ces roses jeunes créatures crooner-ravioli et les boum motards. Accolades, embarquez et boum c'est garanti paternaliste. Tout boum le scénario suivait avec deux cotres, avec une Aplanisse Modiste, avec boum plein beaucoup d'autres gamins aglués dans l'omelette du rock, une stikante monstruosité FM, et enfin Brilla More Dead. Quant l'ex Stray cat ment c’est au pair, il griffe le boucher avec du talent, ses oreilles et sa caisse. On voulait se gratter des petits jeunes, gratter dans la plexité ou se tirer à demain pour f. sans vergogne. F. You. 

Vendiquée, c'est au tour du grand toc shakespeaker Norrington à aujourd'hui de se... - le mot n’est pas, s'il est pris, ce sera un short et des poils à friser, cheveux. Est-ce jeans ? ou la baguette minée 80 ? C'est un trop sec distique trublion. Boum, boum, boum ! 

Extraordinaire enfant : un gros à qui parvint le Réal en dialogues, faisant de la tirade de la lune une priorité, baguée de serrations, en équipes plus moites ! Et l'épégalement à la versif qu’il n’a pas marqué ! Une Incoyable. 
Pelouse d'une trentenaire, ciel ! Une femme buse pour une dent ou le dément installé chez un couple. Il nage, lui et elle pourrit dans le pré avec Jack et Françoise et les enfants. Le petit ludovisin pitoyable apparaît habillé, transformé en sa sœur. Sacré ! Sacré domestique ! Il cœurt ! On l’envoûte dans le frigo, avec les shorts et les marrons, l’incidoureuse, même pas les sacs pour jouer. C’est l'hôte, Daniel (Joseph Palmer), en fille, une baguée flopée. Et voilà, c'est fini. Toutou.


"La disparition de Mauricette Beaussart", série Zéro+zéro=Deux par Lucien Suel

Témoignage de la fin du monde #17 : Hautes sphères


{ THE ONE THE GOD } a écrit à 22h52 : Bonjour Yuri, je ne sais pas si je dois vous vouvoyer ou te tutoyer mais comme vous êtres un homme de politique j’opterai pour le vouvoiement en espérant que cela ne mette pas tout de suite une barrière.

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 22h54 : Par où commencer ?

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 22h54 : C’est bien difficile. Voici mon témoignage, puisque vous y êtes attentif.

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 22h58 : Tout d’abord je dirai que je suis un observateur de toutes les nouvelles de ce qui se trame sur internet. Ce que j’avais déjà remarqué depuis plusieurs années ne fait qu’empirer. Vous ne le savez sans doute pas, car vous êtes dans le totalement bain de ces nouvelles technologies. Pour tout vous dire, le monde de la politique est totalement pourri. Non pas par les affaires d’argent, ou des choses comme des commissions sur des ventes d’armes ou Clearstream ou Cahuzac ou Bettencourt, non je parle de bien plus et j’en ai certaines preuves. Quelque chose de terrible se trame dans les hautes sphères. Vous avez peut-être entendu parler du complot pour la fin de ce monde, du nouvel ordre mondial, des reptiliens et des illuminati ?

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H00 : Si vous ne connaissez pas ces gens, méfiez-vous et tenez-vous au courant il y a plein de vidéos et de blogs sur internet qui en parle très bien. Ou alors vous en faites peut-être parti ? Mais bon peu importe, je suis totalement ignoré par les gens qui m’entourent.

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H00 : D’ailleurs je ne sais même pas si...

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H03 : je sais qu'ils avaient survécu à l'extinction des dinosaures en se cachant dans les tréfonds de la terre. Depuis ils contrôlent la population. ILS SONT LÀ !!

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H03 : PARMI NOUS !!

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H05 : Principalement présents dans les hautes sphères leurs cerveaux sont hyper-développés sauf qu’on les appelle reptiliens pour nous mettre en erreur. Leur but est simple : prendre nos femelles et prendre le contrôle du système solaire comme c’est écrit dans textes anciens de + de 10000 ans bien planqués dans les bibliothèques des musées ou à Shamballa par les jésuites.

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H06 : Pourquoi je t’écris tout ça c’est que j’ai découvert le secret pour les mettre à jour, astuce sommaire, un réflexe les oblige à tirer la langue de façon compulsive et continuelle comme pour sentir les choses dans l’air, les vibrations, signe de reconnaissance, humidification de leur peau similo-écailleuse avec la langue, tout ça à la fois : comme les hommes singes que nous sommes se grattent tout le temps le corps (gratte le nez par exemple) sans le vouloir.

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H09 : Second test : si tu veux savoir si tu es un humain ou un reptilien sans le savoir c’est simple : tu t’es gratté ou t’as tiré la langue en lisant les lignes au dessus ?

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H09 : Alors réponds moi

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H19 : Yuri ?

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H10 : J’aimerais bien savoir ce qu’un type comme toi peut bien avoir à faire en m’interrogeant de la sorte ou alors tu n’es qu’un pion d’un système primitif et arrogant tu suis les ordres comme on te le dit sans poser de question dans ton petit bureau DCRI ou je sais pas quoi d’autre ?

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H13 : ca t’ouvre l’esprit au moins de bosser là dedans si c’est ça ? ou alors tu sais que je sais que nous ne pouvons pas nous voiler la face ?

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H14 : Tu ne peux plus te cacher maintenant ! ! ! face à face ! ! ! te défile pas

Yuri Kane a quitté le chat.

{ THE ONE THE GOD } a écrit à 23H14 : Oh ??? Y’a quelqu’un ???


[txt Walter Van Der Mäntzche / img Doubles V]