dimanche 1 juin 2014

Alyens Thug Mutant For Life!

Dans ma cellule d'isolement, le quartier est un q.h.s, je suis invendable intraitable le public ennemi number one, tellement mis a part et de coté qu'en tant qu'artiste et fils d'immigré et descendant de colonisé, cette mise au ban n'est que la preuve que je dois faire les choses bien, la dissonance, comme la misère de la promiscuité au milieu des polémique stérile et des dualités de toute façon brouille les piste et nous prive de sens, et dans ce chaos, peut importe qui mène la danse ou tartine les mots en cadence, je chéris cette indécence qui met mal a l'aise leurs privilèges et aussi vrai que je suis de ceux a qui on as promis la défaite, je la savoure comme ma souffrance que rien n’abrège et qui alimente ce désir ce besoin profond de clamer ma rage, je ne suis qu'un cri, qu'un malvenus dont le premier crime est d’être né, présumé coupable de tout juger et condamner, par l'avocat du diable, il n'est de dieu pour nous sauver, si ce n'est le souvenir vivant de nos sacrifice, la mémoire et notre dignité mise sans cesse a l'épreuve, comme pour offenser nos morts, mais la réalité a vite fait de reprendre le pas sur les illusion, après le réveil le constat d'horreur est total, et la terreur est comme un flambeau, quand l'on est dominer par les lâches, si la solitude semble être rude comme un coup de hache, c'est qu'il était temps de déterrer celle de la guerre, puisqu'il ont refuser de fumer le calumets de la paix, et organise des journée même anti-tabac, alors qu'il passe leur vie a nous mentir et sans cesse nous enfume, et si il crois que comme eux l'on a peur du tonnerre ou des nuage c'est que dans le fond ce n'est pas nous les vrai sauvages, parole d’Hermite qui ne renie pas sa propre bestialité, je suis un prédateur isolé, mais je n'ai de proie que le temps et la mort que je défie a la force du silence, mon enveloppe n'est pas la principale incarnation de mon êtres, elle n'est même qu'annexe, alors que certain parle de crise identitaire la mienne flirte avec l'infini, j'ai l'esprit ailleurs, indigène urbain, et futuriste primitif je suis et reste ce paradoxe que rien ne retient, j'avancerais même vers la fin sans peur, détaché et serein, avec l'enthousiasme même qu'on a quand on se prépare a vivre une nouvelle expérience, a la fin était le début et la vie est un éternel recommencement, je ne serait donc que l’intemporalité de la permanence d'un relativisme absolu, qui se réfléchit en vous au travers de votre peur de l'inconnu.
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loin d’être pourtant anti-social, je finis par l’admettre, je ne suis pas sociable et je ne risque pas de le devenir dans les conditions actuelle, m’enfin l’ai-je jamais été en fait? … qui sait ?
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en cette époque ou l’entre-soi fait loi, il ne reste guère plus que des aliénés dans les espace de liberté, l’étau se resserre dans le virtuel comme dans le réel, et a force de nous écraser de toute part, il faudra pas se plaindre quand l’explosion viendras vous éclabousser.
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l’intolérance ne mérite pas d’être tolérée, j’ajouterais que si le racisme est une maladie le remède c’est aussi d’en parler et de confronter nos arguments pour mieux nous penser, et ne pas laisser passer l’injustice ou l’intolérance quand on la croise, il n’est pas si simple de la reconnaître, et ce n’est pas de la provocation de la combattre c’est aussi refuser de se rendre complice, m’enfin cela n’engage que moi bien sûr, et j’assume, car comme on dit c’est l’intention qui compte et je suis totalement désintéressé, car je sait que l’on ne tient debout que si l’on se serre les coudes, et que les division ne font qu’accélérer notre chutes a tous, au même titre que si tout a son importance rien en a vraiment, si ce n’est nous témoin impuissant d’un monde de mouvement perpétuel ou tout est sacré et rien ne l’est, m’enfin cela ne compte pas, car fort justement quand on s’aime on ne compte pas, qu’on se nomme Jean, ou Mohamed ou autres si tout est grave rien ne l’est, et a la fin on finis tous par s’en aller, et il est vrai qu’on a le choix de vivre sa vie dans le détachement ou en souffrant chaque instant, en nous brisant a chaque contrariété, pour tenter plus tard de recoller les morceaux, alors que même le verbe est liquide, et que tout ce qu’on peut faire c’est suivre le flux “and go with flow” comme un bateau ivres nos paroles s’envole parfois s’évapore ou même elle coule sans vraiment subir de pression si ce n’est celle de la gravité justement, mais malgré tout avec souplesse et légèreté, elle s’adapte au courant, pour rejoindre la mer puis l'océan qui comme l’amour lui même ne refuse aucune rivière … face a la sécheresse des coeur il ne reste qu’ a les inonder de joie ou même de tristesse et de humble mélancolie et d’humour piquant mais portant en lui la douceur que je vous souhaite de trouver dans vos rêves et sur ce je vous la souhaite belle et même plus encore excellente, c'te putain de vie, que vous soyez humanoïde ou pas, terrien ou bien même extra terrestre du reste cela ne regarde que vous, il parait que même les machines rêves ou du moins qu’elle le ferons un jour, puisse les nôtres a tous être encore divin et sublime, c’est bien la ma seule provocation et tout le mal que je nous souhaite car en soit ce qui nous définis le plus en tant qu’être humain, c’est notre sensibilité, soyons vivants, pourvu que cela chante et que cela danse et se décline dans des couleurs qu’on a même pas encore inventer, mais oui que diable pourvu que cela vibre a nous en faire chavirer …
il est des jours on l'on ravale ses mots, ou le coeur veut mourir, ou notre fardeau nous écrase, ou ce que nous sommes ne nous appartient plus, livré a l'autre et au circonstances que nous sommes, stupéfait de voir tout se liguer contre nous, s'en suit un état de mortification comme pétrifié, mais pourtant loin d'un état solide plus prés d'un gaz inodore notre condition comme notre bon sens s'évapore pour ne laisser qu' un amère souvenir, qu'une question, qu'un pourquoi est ce que je continue d'écrire malgré tout ça, de vomir des mots sans raison qui me livre un peu plus a la folie de ce monde, car encore une fois je suis aussi soumis a cet instinct de survie, de préservation qui me torture, couper en deux je ne suis plus rien, incapable de saisir le sens de toutes ces formes je m'enfonce vers le fond, vers le plat relief ou l'on écrit plus l'on crie en usant ses dernières force avant de s'éteindre a jamais, et même si je devais revenir de tout cela je hurlerais encore a la mort a la lune, a tout ce que je crois, je laisserais s'écouler mes doutes jusqu'à ce que l'ivresse m'étourdisse et que je perde conscience, si il est une revanche en ce monde c'est un esprit qui danse, jusqu'à tomber d'épuisement comme nourrissant l'espoir de ne plus avoir a se relever...
L’homme est fait pour rêver, c’est-à-dire pour combattre et non subir. Et surtout, l’homme est fait pour la poésie. Or, l’utopie est poétique. Et la poésie aura toujours raison contre le réalisme.
Miserere [ Jean-Christophe Grangé ]

« Les plus belles découvertes cesseraient de me plaire si je devais les garder pour moi. » Sénèque
“Every judgment teeters on the brink of error,” Leto explained. “To claim absolute knowledge is to become monstrous. Knowledge is an unending adventure at the edge of uncertainty.”
— Frank Herbert, Children of Dune
Cet espoir qui en soi est le seul contrôle sur notre propre haine la seule chose qui nous empêche de nous auto-dévorer, d'ailleurs tout les problèmes du monde se résume parfois a une histoire d'indigestion, mais cela, c'est une autre histoire, et je n'ai pas le temps de vous la raconter, je me dois de retourner a mon aventure a la recherche de la fugue et du fléau au royaume des devins ...
les idées sont portées par les vents et les grands esprit se rencontre en ce point précis cette 'exception cette synchronicité fruit d'un hasard qui n'existe pas ... d'ailleurs je crois que en fait c'est précisément ce qu'on appel un signe et il semblerait que l'univers a quelque chose a nous dire ....
Alyens thug mutant for life!, now is the future!!!

Selyan

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