samedi 31 mai 2014

Comme si de tout était

J'ai mal à mon pair. 
Ça tourne tout droit dans l'écriteau.

J'annule la dette des arboricoles.
Qu'on sy sente pieu c'est importable.

Tectonique borgne, étreint l'écorce du dos fiévreux.
Si je recherche la malice brute c'est pas pour tes beaux seins.

T'arrives dans une fourrière, et on déclenche un robot neuf.
J'arrache la glue puant l'oignon, j'étale le reste sur mon écran.

Pas s'arrêter, pour pas risquer de recommencer.
S'émancipent bien les lapins vieux qui prétendent plus.

C'est en oseille qu'on étourdit les saltimbanques.
C'est sur les banques qu'un petit malin désaltère rien.

J'apprend toujours dans une poussière.
Je connais trop bien tout l'univers.

T'arrives en retard, j'écorche en coeur pour la maitresse.
Ça sonne siphon dans les tritons du bord des lèpres.

Rhizome foutu à la poubelle, arrange ta tête avec des câbles.
Micro-métrage télescopique qui lance des flammes.

Le chantage des colibris m'exaspère plus, c'est bien dommage.
Soutire l'amour des dents du fisc, la gomme protège mes intérêts.

Le rêve parti reviendra pas, il s'amuse mieux sans nous.
Perturbe une mouche qui pleure des pattes, on l'écrira.

Si tu chantonnes mieux qu'une moutarde, reste enfourné dans la litière.
Si tu t'écrases derrière pixel vaut mieux tâter du beurre tout noir.

Plaisir violent ça ensorcelle comme un beignet.
Massage content comme une idole qui s'éparpille.

Ok reboote ma bière, je prie pour moi.
Délace les phrases diffuses qui tournent en bâcle.

Méchante migraine qui fait pas mal, coton carré.
Je gratte le fond des chaussettes propres en chine finale.

T'arbores une onde en guise de crosse, ça fait pitié.
Jécrase ma prune au front des gens qui savent pas mourir.


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