vendredi 25 novembre 2011

NOUS N'AURONS QUE CE QUE NOUS SAURONS CRÉER

Une dernière nouvelle vient de tomber... le président de la république a été vue courant en string hier a barbés a minuit et criant, criant très fort: "vite allez écouter les derniers son des Starmasters Deejays"... mais que lui arrivait il, qu'arrivais t'il au président avait il fumer un gros joint ? je ne sait pas mais en tout les cas nous sommes vraiment gouverner par des débiles ...

Sûr qu’ils tremblent les bourges devant ces hordes apathiques réclamant à grands cris le droit de se faire exploiter et de jouir de loisirs produits par d’autres exploité-e-s (les fameux droit au travail et pouvoir d’achat) ! Ami-e-s, on se fout vraiment de nos gueules…

On en a ras le bol de trimer pour avoir le droit de recommencer le lendemain, que ce soit pour une durée de 40 ou 42 ans. Même vendre une heure de nos vies nous paraît abject ! Bien sûr, comme tou-te-s, nous y sommes (souvent) contraints mais cela ne veux pas dire que nous nous y résignons.

Nous voulons brûler nos prisons, pas y installer le câble et la clim’. Nous voulons créer un monde où nous pourrons utiliser nos têtes et nos mains en accord avec nos cœurs pour faire des choses qui profitent à nous-mêmes et aux autres, pas pour engraisser les patrons et l’État.

Oui, nous sommes des révolutionnaires, mais en cette sombre époque, n’est-il pas urgent de (re)penser à la révolution ? Pas celle qui consiste à remplacer une élite par une autre, mais celle qui permet à chacun de vivre libre et responsable, solidaire entre égaux. Ceci ne dépend que de toi, lui et elle, en somme : de nous

Plutôt que de perdre notre temps en de vaines protestations et revendications, nous voulons créer un rapport de force qui rende possible la fin de l’exploitation et de la misère, pas leur aménagement.


La honte, cet "affect" ou plutôt "expérience" à la jonction du privé et du social, du plus intime et du public,du psychique et du culturel, de la subjectivité désubjectivée et du culturel, mais qui marque la violence faite à la capacité de se représenter, laisse sans mots, sans voix aussi, et le corps propulsé veut disparaître, s’enfoncer et est condamné à l’assignation immobile.

Les enfants de l’actuel , qui hantent le social et certains divans ne sont pas tous psychotiques ni même pervers, loin de là... Mais si la folie enferme dehors, ceux dont je parle sont exclus de l’intérieur.

... comme si la notion de choix de l’économie de marché s’était emparée des représentations collectives et individuelles. Tout un chacun est incité à consommer le produit quitte à devenir lui-même objet de production comme finalité ultime.

L’individu est mis en place d’objet, avec assistance maternelle. Le désir est réduit au besoin. On assiste à une véritable promotion du droit à : droit à l’immortalité, droit à l’enfant. Tout devient produit consommable lié à la marchandise et à la productivité,...

les murs de la ville il ont des choses a dire... les cris de l'invisible c'est leur façon a eux de raconter le drame le silence est une arme plus ou moins valable en tout cas toujours plus... en couleur... laisser parler les murs... en couleur!!!!

CESSONS DE CREUSER NOS TOMBES EN DE VAINES NÉGOCIATIONS,
NOUS N'AURONS QUE CE QUE NOUS SAURONS CRÉER.

jeudi 24 novembre 2011

les seules histoires sans fins possibles sont celle qui n'ont jamais commencé ...








les seules histoires sans fin possible sont celle qui n'on jamais commencer

il était une fois a la fin du début le début de la fin et dans le même temps cette histoire que je raconterais encore demain cet aujourd'hui qui me dit que si je ne finit jamais rien c'est peut être pacque que ma passion est tournée vers l'infini, en continu, a suivre pour mieux survivre a ce vertige de l'éternité qui rend ivre quand il se saisi de l'instant sans laisser ni d'après ni d'avant juste le moment présent
il n'y as pas d'amour a ce qu'on dit il n'y as que des preuves d'amour alors qu'en est il de la haine, n’existe elle pas que par la preuve d'un incommensurable manque d'amour et si de l'amour peut naître la haine il se peu que de la haine naisse l'amour, quand le manque, le vide, devient trop plein, et vice et versa, tour a tour, amour et haine sans pouvoir se passer l'une de l'autre se joue de bien vilain tour
Le monde ressemble de plus en plus a un supermarché ou on devient tous produit a l'étalage tout le monde a quelque chose a vendre mais pratiquement personne n’achète jamais rien a ces vendeurs a la criée qui élèvent sans cesse la voix tous ensemble et font naître ce bruits cette cacophonie qui rend tout le monde sourd ici on n'aspire tous qu'a être écouter mais personne ne peut s'entendre...
nostalgie de l’exil qui fait qu'on est nul part a sa place et qu'il y as tout un monde entre nous qui rappel que tout ce dégoût laisse un arrière goûts de mort qu'il faudra trouver la force encore pour survivre a un jour de plus a ce lendemain qui nous livreras a notre triste sort loin des yeux et du coeur la ou la parole est un danger permanent et ou le silence nous endors...
Notre passé notre histoire notre souffrance est niée tronquée par notre besoin de se rassurer d'oublier et comme on ne retiens que le pire alors on transforme nos souvenir en ne gardant que le meilleur croyant pouvoir échapper a notre destin qui auras raison de nous a la fin malgré nos paradox temporel qui crée des fissures dans le tissus interdimensionnel de l'univers le continu-homme espace temps...
Le déni de nos trajectoires le mépris de nos ancêtres de ce chemin qui fut le notre ne peut nous mener qu'au néant si s'oublier et renier son parcours c'est d'une certaine manière changer son regard et prendre de la distance avec l'existence même, si nous n'avions pas été, si nous n'avions pas vécu ce qui s'est passé alors le présent aurait été un autre futur un autre point de vue ...
je suis le vide le silence un malaise une pulsion un cri un lendemain tout gris sans hier encore une journée a rien faire a tout vomir a fuir pour foncer dans le mur encore une rature une tache une éclaboussure de sang pour peindre la fracture la déchirure l'odeur putride de l'horreur de la démesure du froid du doute d’être plus sur de rien du désir sans fin d'une faim d'infini qui revient sans cesse comme un refrain...
je n'arrive plus a coller a ses étiquette a ses mots vidé de sens qu'on s’attribue et s'approprie qu'on dénature a l'usure comme l'amitié et l'amour qui s’efface au fur et a mesure qu'on s'éloigne et que s'oublie nos coeur perdu suspendu dans le temps qui cours cherche en vain l'espace ou savoir vivre est un art et survivre un espoir jusqu’à ce qu'on arrive plus a croire en rien même pas en nous même jusqu'ici je rêve!
Au clair d'une lune d'un soir ou se ruine l'âme ou la fortune damne le premier venu en panne d'envie qui a comme un goûts pour la tragédie et le drame d'une existence veine ou seul l'exploration de l'inconnu distrait de la peine de jouir de nous même de cet enfer qu'est l'autre qui transforme notre paradis en néant par son absence qui remplace notre coeur par le vide d'un trou béant ...
Préoccuper par notre personne on finit par ne plus avoir rien a se dire même quand on se parle entre nous pourtant tout reste a faire il faudrait mille ans pour se comprendre et un seul instant pour se sentir mais la peur la honte finit par détruire les sentiment qui nous inspire pour ne laisser que du vents que la tempête qui souffle en nous la dernière bougie et remplit l’espace des ténèbres de l’ennui...
A chercher la lumière on en devient obscur comme l'ombre de nous même qui grimace et se joue de nous quand on lui tourne le dos sans inventer de nouveaux mots le langage devient un handicap une nature morte qui nous rattrape et nous met au pied du mur de ces concept abstrait qui façonne le monde en une image dans une autre un visage un symbole une métaphore éphémère du vivant ..
Même si les charognard me dévore de leur regard qui se nourrit de cette viande qui avant de pourrir a pleinement pu jouir de ce don qu'est la parole même si le temps sur ce sol pour moi n'est pas venu encore de mourir même si l’indifférence des puissant arrive sans trêve a détruire la passion et le désir même si mon ciel dois s'assombrir il resteras toujours des étoiles pour briller bien au delà de nos rêves
Quelque part entre les contradiction et les paradoxe la ou se trouve l'exception comme au delà de la matière il y as l'antimatière j'imagine je crois suppose mais au fond je n'en sait rien on peut toujours essayer de faire de l’esprit si le mental est dérangé qui peut vraiment se vanter d'avoir la conscience tranquille quoi qu'il en soi ...
il faut d'abord se perdre pour se trouver et sans cesse recommencer pour se retrouver si le seul bénéfice vrai est celui de douter alors on peut le faire en y trouvant un peu de sérénité en étant détaché mais entre ce qu'on pense ce qu'on dit et ce qu'on fait ... le faux le vrai rien n'est sur et le sens devient un gouffre sans fond le bord d'une falaise d'ou on est prêt a se jeter sans aucun regrets.
le vide le néant est un équilibre un début et une fin au milieu rien n'est juste tout est rien tout est dans le regard de l'observateur et dans l'intention qui vas de pair avec l'intensité de la passion, le bonheur c'est l'exploration et le courage de dépasser sa peur face a l'inconnu l'infini l'éternel mystères sans égal que nous sommes pour nous même et devenir les enfants des étoiles ...
de l'un as l'autre il n'y as qu'un pas et d'une certaine manière nous sommes tous connecté a la manière d'une toile d'araignée a la croisée des lien et des chemins a travers nos réseaux humains on finit tôt ou tard par se croiser par hasard si on peut dire se retrouver si ce qui nous rassemble c'est qu'on se ressemble enfin il me semble ;)
je peine tellement a vivre qu'il se demande si la seule vrai joie qu'il connaîtras jamais sera celle de mourir. Peine a jouir morte de peine en ma chair putride je ne vois plus que cette viande qui parle pour ne rien dire me livrant a ce silence assassin bruit meurtrier désintégration totale de l'idée d’être et devenir ce cri qui déchire cette longue nuit qui dureras tout une vie en un instant a ce jour tout est dit...
je suis forcement le con de quelqu'un mais surement pas convaincu, a flirter avec la mort ce qui ne tue pas rend plus fort et ma force est dans le bénéfice que je tire de mes doutes qui font que seul mon coeur me guide sur la route d'autres appelleront ça l'instinct mais peu importe si l’essentiel et de comprendre que l'issue est une fin en soi et que ce qui compte et qui donne du sens a nos vies c'est le combat...
si je pardonne a autrui c'est que j'ai finit par apprendre que j'était mon pire ennemi , personne n'échappe a lui même et se laisser envahir par la haine c'est se soumettre a ce qu'il y as de pire en nous même, on peut mener une guerre a ce monde pour avoir la paix mais être un guerrier c'est être maître de soi même et cela demande un minimum de présence d’esprit ... rien n'est jamais acquis...
Selyan 2011
...
‎"Ce qui compte, ce n'est pas d'où viennent vos idées mais ce que vous en faites"
– Godard...
...
«Restons ce que nous avons toujours été : des gens libres.
C'est devenu suffisamment rare pour qu'on s'accroche ne serait-ce qu'à l'idée.»
[ Enki Bilal ] - Le sommeil du monstre

PEINE A VIVRE


GUERRE A LA DROGUE PEUR DE L IMMIGRATION RETOUR DE L INSÉCURITÉ 
DÉBRANCHE TON CERVEAU PAS BESOIN DE PENSER PAR SOI MÊME 
LAISSE FAIRE LE SYSTAIME

PRÊT A PORTER 
PRÊT A MANGER 
PRÊT A PENSER 
PRÊT A ETC
...
TOUT EST FAIT POUR TE LAISSER LE TEMPS D'ALLER TRAVAILLER 
DE TE DIVERTIR ET CONSOMMER 
SANS TE SOUCIER DE DONNER DU SENS A TA VIE 

TU N'EST RIEN 
TU N'EST PERSONNE 

ALORS TAIS TOI ET FAIS CE QU ON TE DIT 

C'EST PARTOUT PAREIL ET CE N'EST PAS UN HASARD 
COMME LA DROGUE SI C'EST ILLÉGAL 
CE N'EST PAS UNE COÏNCIDENCE 
AUTANT QUE L'ALCOOL LUI L'EST 
POUR DES RAISON NON LAÏQUE ET JUDEO CRÉTINE

CERTAIN SE VOILE LA FACE MEME DANS LES LIVRES 
MAIS CE SONT LA ENCORE LES DOGMES QUI S AFFRONTENT 

TU N EST QU'UN SOLDAT 
POUR QUI MENE TU TON COMBAT FILS
POUR QUEL DRAPEAU POUR QUELLE EGLISE POUR QUELLE FOIE
CELLE QUI TE SOUMET OU CELLE QUI FAIT LOI 

QUI TE PROTÈGE DE TOI-MÊME 

TU PEU TOUJOURS TE BOUCHER LE NEZ 
ÇA PUE QUAND MÊME
LES IDEES NAUSEABONDES ABONDE 
CAR C'EST L HUMANITEE QUI ES DANS LA MERDE
TOUS INFANTILISER PAR NOS MÈRES PATRIE 
ET NOS IDENTITEES NON CHOISIES 
TU NE SAIS PAS CE QUI EST BON POUR TOI 

JE SUIS TON PÈRE

QUE TU TE LE TIENNE POUR DIT 
SINON ON T'ENVERRA DANS TA CHAMBRE 
COMME CES GAMINS QU'ON ENFERME DANS DES CAGIBI 
COMME PUNITION POUR LEUR EDUCATION
LA CAROTTE ET LE BÂTON 

SOIS SOUMIS OU VAS MOURIR

TU RICANE 
ON PEUT TOUJOURS FAIRE PIRE 
MET TOI LE DANS LE CRANE
COMME QUAND VIVRE DEVIENT PEINE 
LA MORT DANS L’ÂME
UNE HAINE DE VIVRE 
QUI NOUS REND TOUS IVRE DE HAINE 
 C'EST PEU DIRE A SUIVRE 
PEINE A JOUIR ET PEINE SUR PEINE
DOUBLE TRIPLE EN BOUCLE INFINI

DANS L'ENFANCE DE L'ART
CELUI DE SOUFFRIR EN SILENCE
LE SOUVENIR CET ÉCRASANT FARDEAU
D'UNE MÉMOIRE RETROACTIVE
QUI POURRAS SURVIVRE ?

QU'UN SEUL TIENNE ET LES AUTRES SUIVRONT 
MAIS PERSONNE NE GUÉRIT DE SON ENFANCE 
ET DANS LE FOND C'EST DE CELA 
DONT ON MEURS TOUS QUAND ON Y PENSE 

COMME QUAND VIVRE DEVIENT PEINE 
C'EST PEU DIRE ET A SUIVRE 
OUI EN SOMMES C'EST LA SEULE CHOSE ICI BAS 
DONT LA FIN NOUS DÉLIVRE, 
 NOS PEINE A VIVRE ...


Selyan




mardi 22 novembre 2011

Voilà ou j'en suis, voilà mon enquête.


J'ai principalement peur de la mort, parce que je ne m'attendais pas à cette peur.

Or, j'ai fais l'essai de dormir. Je n'ai pas réussi, mais je ne désespère pas. J'ai bougé un peu de par le monde, et j'ai vu pas mal de personnes qui se disaient confrontées à beaucoup de problèmes. M'est avis que c'est rien du tout ces problèmes. Tout ce qui se passe en nous doit rester à l'intérieur de nous, compris ? Et voilà, j'en ai marre, je suis coincé vers le ciel, un ciel froid et lumineux.

Les gens nous assaillent. Mais si les gens nous assaillent, tant mieux, tant pis, il ne faut pas s'en faire. Je n'en suis pas réduit au bruit, bordel. Je sais pertinemment, et sans métaphores aucune, que je suis sous une quarantaine de sacs de sables, à qui mieux mieux, à tire-larigot.

Je ne veux décrire ma vie ni par la vue, ni par le toucher, ni par l'ouïe, ni par l'odeur, ni par la pensée.

Oui, mais l'éternel ? L'éternel est de tous temps, donc il ne m'intéresse pas.

Sinon, je suis une froide griffure, sur une feuille d'arbre, jusqu'à dans trois minutes.



Voilà ou j'en suis, voilà mon enquête.

Mutantisme sur Libr-critique

Le site Libr-critique consacre un dossier en quatre parties au Manifeste mutantiste 1.1, avec des analyses, des extraits, etc.
Par Fabrice Thumerel, novembre 2011

Partie 1 ::ici::

dimanche 20 novembre 2011

Mutantisme dans Chronic'art n°74 [scan]


Brève interview de Mathias Richard par Romaric Sangars
in Chronic'art n°74, "Mutatis mutandis", 12 novembre 2011

C'est un module de 2000 signes. Pour une version de l'interview complète, avec les réponses non coupées, voir pdf ::ici::

n-morph selfed (gigMach_cq4.0.1_r5n0)

mercredi 16 novembre 2011

Edito de Patrick Cintas sur le MM1.1

http://www.lechasseurabstrait.com/revue/spip.php?page=edito#edito77

"Entre la crasse commerciale et les ronrons des autres, plus rien n’arrive à l’esprit dans ce pays préoccupé d’abord par des rêves plus sommaires. (...)
Manifeste mutantiste 1.1 est d’une profondeur étonnante. Et d’une actualité qui informe et qui fonde."
Patrick Cintas, Revue d'art et littérature, musique, 15 novembre 2011

lundi 14 novembre 2011

Appel permanent / Permanent call

Si vous souhaitez proposer des machines pour de prochaines versions du manifeste mutantiste (la prochaine sera 1.2), c'est ici : contact@camerasanimales.com
Pas de date-butoir, ceci est un appel permanent.

If you'd like to submit machines for next versions of the mutantist manifesto (next is 1.2), it's here : contact@camerasanimales.com
No deadline, this is a permanent call.

Pour mémoire, texte de l'Appel des Machines précédent (1.1) :
http://mutantisme.blogspot.com/2011/03/lappel-des-machines.html

For the record, text of the previous Call of Machines (1.1) (look at comments to find the english version) :
http://mutantisme.blogspot.com/2011/03/lappel-des-machines.html

dimanche 13 novembre 2011

Mutantisme dans Chronic'art n°74

"Au mieux nous sommes des singes, des zombies et des machines réplicantes détraquées."
Mini-interview de Mathias Richard, par Romaric Sangars.

« La poésie du futur sera-t-elle "mutantiste" ? Intégrant toutes les nouvelles modalités technologiques pour produire des formes inédites, Mathias Richard et son réseau publient leur manifeste. »
Chronic'art n°74, "Mutatis mutandis", 12 novembre 2011

Chronique de Guénaël Boutouillet sur le MM1.1

http://livreaucentre.fr/2011/11/manifeste-mutantiste-1-1/

"Ce manuel de mutantisme est un ouvrage curieux, alerte. Vivant."

Le mutantisme post-cyberpunk

Dictionnaire de Réalité Tactique
Intelligence Culturelle et Contrôle Social (doc) {
link == dicorealitetactique.levillagenumerique
}

Animation.test[]:essai_1{
"dechet-numérique réactivant son code"
}
display == true(){

vendredi 11 novembre 2011

Manifeste Mutantiste en livre c'est officiel

Les éditions http://www.camerasanimales.com/mail/logo.jpg présentent

Manifeste Mutantiste 1.1
de Mathias Richard et al.

http://mutantisme.free.fr/img/Mutant_manif_couv__wwW.jpg

Le livre

« Le mutantisme est un logiciel psychique s'adressant aux personnes voulant penser et créer hors de ce qui est. »

La vraie mutation est intérieure.

Manifeste mutantiste 1.1 est un essai, un texte poétique, et une notice technique.
Il exprime les principes du « mutantisme ».

Mutantisme =
1/ un constat sur l'époque (ré-initialisation générale)
2/ une façon de créer

3/ un agrégat de personnes se déclarant « mutantistes »

Ce monde est devenu un espace lisse, vide. Mais nous pouvons y faire naître des plis, y faire pousser des reconfigurations.

Texte matriciel, méthode, hymne à la solidarité entre « différants » (voire « inadaptés »), Manifeste mutantiste 1.1, de Mathias Richard, propose des perspectives créatives et communautaires.

« Le mutantisme est un programme de réinitialisation d'où naissent de nouvelles catégories, de nouvelles classifications, de nouvelles formes. »

Présentation du livre plus détaillée : http://www.camerasanimales.com/livre07

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L'auteur

Mathias Richard est poète, écrivain et musicien.

Présentation plus complète ici : http://www.camerasanimales.com/auteurs03

Avec également la participation de Nikola Akileus, Gabriel Azais, Guénolé Boillot, Philippe Boisnard, Antoine Boute, Lucille Calmel, Cyrill Chatelain, Georges Cl4renko, Yvan Corbineau, Grégoire Courtois, Etienne Dodet, Christophe Esnault, Caroline Hazard, Hypsis, LWO, Méryl Marchetti, Cédric Micchi, Virgile Novarina, François Richard, Yannick Torlini.

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Pour se procurer Manifeste mutantiste 1.1

Par Internet, le plus simple et rapide est de commander directement par notre site éditeur :
http://www.camerasanimales.com/commander
Les livres sont envoyés rapidement, le port est gratuit pour la France, et peu élevé pour l'étranger.

Ce livre est également commandable chez votre libraire habituel.

Il est déjà disponible en rayons dans les lieux suivants (merci de soutenir ces libraires qui nous soutiennent !) :
Le Chercheur d'Art - 1 rue Hoche - 35000 Rennes
Le Livre - 24 place du Grand Marché - 37000 Tours
La Boîte à livres - 19 rue Nationale - 37000 Tours
Les Schistes Bleus - 10 rue François La Vieille - 50100 Cherbourg-Octeville
Parallèles - 47 rue Saint Honoré - 75001 Paris
Librairie Agnès b. - 44 rue Quincampoix - 75004 Paris

L'Ecume des pages - 174 Boulevard Saint-Germain - 75006 Paris
Un Regard Moderne - 10 rue Gît-le-Coeur - 75006 Paris
Bimbo Tower - 5 passage St-Antoine - 75011 Paris
Souffle continu - 20/22 rue Gerbier - 75011 Paris
Le Divan - 203 rue de la Convention - 75015 Paris
Le Monte-en-l'air - 71 rue de Ménilmontant / 2 rue de la Mare - 75020 Paris
L'Atelier - 2 bis rue du Jourdain - 75020 Paris
Le Comptoir des mots - 239 rue des Pyrénées - 75020 Paris
Obliques - 68 rue Joubert - 89000 Auxerre
Folies d'encre - 9 avenue de la Résistance - 93100 Montreuil
Millepages - 91 rue de Fontenay - 94300 Vincennes

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II - Mutantiste c'est officiel by R3PLYc4N

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Ceci est un message des éditions Caméras Animales : http://www.camerasanimales.com/

"Il est temps de s'entraîner à brouiller ses propres pensées."

Des scientifiques sur le point de lire dans les pensées d'autrui

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/27/des-scientifiques-sur-le-point-de-lire-dans-les-pensees-d-autrui_1578139_3244.html

"notre expérience visuelle naturelle est similaire à la vision d'un film", relève Shinji Nishimoto. Elle ouvre donc potentiellement la voie à une technologie capable de voir des images à l'intérieur de notre tête – comme des rêves ou le "film" de la mémoire –, estiment ces scientifiques de l'université de Californie, à Berkeley, aux Etats-Unis.

"nous ouvrons une fenêtre sur les films projetés dans notre esprit"

Nouvelle Aurore Meurs §

(Joy Division, New Dawn Fades)


Je sais, c'est archiconnu. Mais c'est est trop génial, parfait, et il faut que je
le poste pour m'en débarrasser !

Hare Krishnamurti !

"Ce n'est pas un gage de bonne santé que d'être bien intégré dans une société profondément malade." (Jiddu Krishnamurti)

(via Orin Camus)

mercredi 9 novembre 2011

Vie est une arrhe de cercle de rêve
entre mon mur, et le mur
de mon mur.
Jours passent comme des nuits d'insomnies

La figure de Jésus-Christ,
blême, nous rend fou
Et son oreille étrange
sussure sans arrêts
que tout dans
cerveau chute

vertige heureux

vendredi 4 novembre 2011

Axe Paris-Rennes


Rencontre au sommet avec Cédric Micchi et Lauriane, de passage à Paris.

Cédric Micchi, artiste et poète, participe au Manifeste mutantiste 1.1 avec son "émoticalphabet" et diffuse le mutantisme à Rennes.

jeudi 3 novembre 2011

Chronique de Régis Nivelle sur le Manifeste mutantiste

"C’est un ciel vertical, un arc électrique errant que la pensée ne peut totalement appréhender"
Chronique de Régis Nivelle (Lithoral.com) sur "Manifeste mutantiste 1.1" :
http://www.lithoral.com/article/index.php?id=130

mercredi 2 novembre 2011

FOXHALFE


"FOXHALFE" by Yves Fash Zag. 100 pgs. B&W texts. Limited edition. $15. Published by Awkwardist Productions.
for info: awa_zag@excite.com

mardi 1 novembre 2011

Some guys

(Réunion Section rue de la Jonquière)